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Hier — 27 mars 2023Vos flux RSS

On a grandi de 10 centimètres en moins de 100 ans, c’est spectaculaire, mais que s’est-il passé exactement ? 

Cher(e) ami(e) de la Santé,

J’ai reçu un commentaire qui m’a surpris.

Voici ce que m’a écrit Elisabeth B, une fidèle lectrice :

« Vous nous dites que l’augmentation de la taille des Occidentaux est liée à une meilleure alimentation, mais qu’est-ce qui nous le prouve ? »

C’était une réaction à ma dernière lettre.

Je vous parlais d’un phénomène majeur, largement passé sous silence : l’augmentation spectaculaire de la taille des Occidentaux depuis le 19ème siècle.

Et j’attribuais l’essentiel de ce progrès à l’alimentation : il semble évident que le corps humain ne peut pas gagner 10 à 15 centimètres sans être mieux nourri.

Je ne m’attendais donc pas à l’objection d’Elisabeth.

Mais elle m’a permis de creuser un peu le sujet… et j’ai découvert des choses intéressantes.

Je vous en parle dans une seconde – mais d’abord, je voudrais vous redire pourquoi j’insiste tant sur cette histoire de taille.

Regardez ces courbes : croyez-vous que ce soit une coïncidence ?

Le graphique ci-dessous montre la croissance spectaculaire de la taille des Européens depuis le milieu du 19ème siècle[1] :

Évolution de la taille des populations masculines de 15 pays européens, entre 1856 et 1980

Maintenant, regardez bien cet autre graphique.

Voici, dans les mêmes pays, et sur la même période, l’évolution de la mortalité infantile :

Évolution du taux de mortalité infantile de 15 pays européens, entre 1856 et 1980

Comme vous le voyez, la mortalité infantile s’est effondrée… à mesure que la taille des Européens augmentait !

Et c’est tout sauf une coïncidence.

De meilleures conditions de vie (et en particulier une meilleure alimentation) ont permis à la fois :

  • D’atteindre notre potentiel de taille maximal…
  • Et de ne plus voir nos enfants en bas-âge mourir massivement !

C’est capital, car c’est la preuve que ce qui compte le plus pour notre santé, ce n’est pas tant les soins médicaux que la qualité de notre « terrain », et notamment la puissance de notre système immunitaire.

Je vais vous le démontrer plus avant – mais il faut d’abord écarter un malentendu.

Non, ce ne sont pas les gènes !

Si nous avons « grandi » depuis le 19ème siècle, cela n’a rien à voir avec la génétique.

Nos gènes n’ont pas pu évoluer drastiquement depuis 150 ans – ils ne peuvent donc pas expliquer pourquoi nous avons gagné entre 10 et 15 centimètres.

Je le précise, car tout le monde sait que les gènes ont un rôle important sur notre taille.

Si les hommes sont plus grands que les femmes en moyenne, c’est pour des raisons génétiques.

De même, si Madame X est plus grande que sa sœur Y… si Monsieur A est plus petit que son frère B… c’est d’abord pour des raisons génétiques.

Mais les gènes ont une limite : ce qu’ils nous donnent, c’est seulement une taille maximale.

Nos gènes déterminent notre « potentiel », qui sera réalisé ou non en fonction de notre environnement.

Un peu comme un grain de blé, qui prospère dans un sol fertile, mais pas dans un sol aride, c’est notre environnement qui détermine si nous allons atteindre notre plein potentiel de taille.

D’ailleurs, encore aujourd’hui en 2023, malgré des conditions de vie infiniment plus favorables qu’il y a un siècle, « l’environnement » joue encore un rôle dans la taille des Occidentaux !

En effet, on estime que la taille est aujourd’hui génétiquement déterminée à 80 %. Ce qui veut dire qu’une part non négligeable de la différence de taille entre les gens (20 %)… est liée à des facteurs « environnementaux ».

Mais quels sont ces facteurs environnementaux, exactement ?

C’est un fait : l’environnement toxique affecte notre taille

En dehors de l’alimentation, un autre facteur a une certaine influence sur notre taille : l’environnement toxique.

Par exemple, on sait que l’alcool pendant la grossesse affecte négativement le développement de l’enfant – et donc sa taille[2].

De même, une mère qui fume beaucoup pendant la grossesse peut faire perdre 1 centimètre de taille à son enfant[3].

Donc, l’exposition à des toxiques (pollution environnementale, cigarette, perturbateurs endocriniens, métaux lourds, alcool…) joue certainement un rôle sur la taille d’un humain, in utero et pendant l’enfance.

Ainsi, quand on pense à l’intense pollution atmosphérique de la révolution industrielle (les fumées des usines de charbon), on peut aisément imaginer que l’amélioration de la qualité de l’air a joué un rôle dans la hausse de la taille des Occidentaux au 20ème siècle.

Au rôle central de l’alimentation, il faut donc ajouter le rôle potentiel des toxiques.

Mais quelle place cela laisse-t-il à la médecine ?

Progrès nutritionnels ou progrès de la médecine ? 

Si l’on écoute les principaux chercheurs sur le sujet, la hausse spectaculaire de la taille des Occidentaux ne serait pas seulement liée à l’alimentation… mais aussi à l’amélioration des « soins » (de la mère et de l’enfant).

Cette position est bien résumée par Mariachiara Di Cesare, chercheuse en santé publique à l’université de Middlesex, et auteure d’une grande étude sur la taille des populations[4] :

« L’évolution de la taille est un indicateur de santé publique, car il reflète le fait qu’une personne a été bien nourrie, bien traitée et soignée durant son enfance et aussi le fait que la mère était en bonne santé »[5].

Première observation : cette citation confirme que l’importance de l’alimentation ne fait pas débat.

Si la taille des populations a augmenté, c’est « qu’il y a moins de carences alimentaires qu’avant chez les plus jeunes dans le monde », explique un autre auteur de l’étude[6].

À l’inverse, certaines populations africaines, comme au Rwanda, Ouganda et en Égypte, ont « rapetissé » de quelques centimètres depuis les années 1980.

Là encore, l’explication est d’abord nutritionnelle, selon la chercheuse Mariachiara Di Cesare : « C’est un signal grave qui souligne à quel point, dans ces pays, les enfants souffrent de carences alimentaires ou n’ont pas accès à de l’eau de qualité suffisante ».

Le rôle central de l’alimentation relève donc du consensus scientifique – et du bon sens.

En revanche, personnellement, j’ai un gros doute sur l’importance de la « qualité des soins ».

Est-on plus grand parce qu’on a été moins malade dans l’enfance ?

En quoi des progrès médicaux pourraient-ils améliorer notre taille ?

Quand on y réfléchit un peu, ce n’est pas évident.

Certes, des études montrent que des enfants atteints d’une maladie grave chronique risquent de le « payer » par un 1 ou 2 centimètres de moins à l’âge adulte.

Mais les maladies en question sont souvent des maladies gastro-intestinales (comme la maladie cœliaque, ou des maladies inflammatoires de l’intestin)… qui conduisent à moins bien absorber les calories et les micro-nutriments[7]. Donc, on retrouve l’importance de la nutrition[8].

Et de toutes façons, ces 1 ou 2 centimètres sont loin des 10-15 centimètres gagnés sur 150 ans.

Qu’en est-il des maladies infectieuses, si répandues au début du 20ème siècle ? Ont-elles eu un impact sur notre taille ?

Une chose est sûre : ce n’est plus le cas de nos jours. On ne trouve pas de preuve aujourd’hui qu’une ou plusieurs infections dans l’enfance affectent notre taille adulte[9].

Mais il faut noter que les maladies infectieuses étaient nettement plus graves au début du 20ème siècle.

Par exemple, beaucoup d’enfants mouraient encore de la rougeole ou de la coqueluche – alors que ces maladies sont devenues bégnines depuis les années 1960.

Donc, il est possible que le fait d’être moins malade – et moins gravement malade – pendant l’enfance ait pu nous aider à « grandir ».

C’est en tout cas ce que prétend un article scientifique, publié par un économiste aux presses d’Oxford[10].

Pour son auteur, la hausse de la taille des Européens au 20ème siècle s’explique en bonne partie par le recul des grandes maladies[11].

Et je reconnais, en effet, qu’il y a pu y avoir un cercle vertueux : les progrès de l’alimentation ont renforcé le système immunitaire des nourrissons, diminué la gravité des maladies infectieuses…

…et, par ce biais, peut-être aidé encore davantage les enfants à grandir : pas seulement parce qu’ils étaient mieux nourris, mais parce qu’ils étaient moins gravement malades à un moment clé de leur croissance.

Prenons l’exemple des diarrhées, bénignes aujourd’hui, mais très graves à l’époque – c’était la troisième cause de mortalité en 1900.

Lorsque les diarrhées frappaient les nourrissons, il est possible qu’elles aient pu affecter leur taille à l’âge adulte : la déshydratation prolongée cause peut-être des dégâts durables.

Donc, le recul des maladies, en soi, a pu nous aider à « grandir » au 20ème siècle.

Et il est exact, rappelons-le, que l’alimentation n’explique pas entièrement le recul des grandes maladies.

Dans le cas des diarrhées, par exemple, l’assainissement des eaux (les égouts notamment) a certainement contribué à les rendre moins fréquentes et moins graves.

Comme on l’a vu, outre l’alimentation, d’autres progrès ont joué un rôle dans le recul des maladies infectieuses, comme :

  • L’amélioration de l’air ;
  • L’amélioration de la qualité de l’habitat (moins humide, plus aéré, mieux chauffé…) ;
  • Une plus grande attention à l’hygiène (lavement des mains, pasteurisation du lait) ;
  • Etc.

Si les maladies infantiles (graves) affectent réellement la taille à l’âge adulte, cela veut dire que ces progrès sociétaux ont également joué un rôle dans la hausse de la taille des Occidentaux, en plus des progrès alimentaires.

D’accord.

Mais cela ne prouve pas – toujours pas ! – que la hausse de la taille des Occidentaux pourrait s’expliquer par le progrès des « soins ».

Progrès médicaux ? Quels progrès médicaux ?

Rappelons que les Occidentaux ont le plus grandi avant 1950… soit avant la généralisation des deux grandes innovations médicales du 20ème siècle : les vaccins et les antibiotiques.

Par ailleurs, les maladies infectieuses ont commencé à faire beaucoup moins de ravages avant ces progrès de la médecine.

Je vous remets ce graphique, qui montre l’évolution de la mortalité liée aux grandes maladies infectieuses dans la première moitié du 20ème siècle, aux États-Unis (courbe rouge, en haut) :

Évolution du nombre de morts liées à sept maladies infectieuses aux Etats-Unis, entre 1900 et 1970

On voit que les deux maladies les plus graves (deux courbes du haut) sont la tuberculose et les grippes/pneumonies.

Or, comme je vous l’ai écrit dans ma dernière lettre, les États-Unis n’ont jamais vacciné les enfants contre la tuberculose, et les antibiotiques n’ont commencé à être répandus qu’après 1945. Ces innovations médicales ne peuvent donc pas expliquer la chute de la mortalité dans la première moitié du 20ème siècle.

Et personne n’est capable de citer la moindre « innovation médicale » datant du début du 20ème siècle, qui aurait permis de lutter contre les maladies infectieuses.

Autre exemple, peut-être plus anecdotique : sous l’occupation, entre 1940 et 1945 en France, on a connu une recrudescence de la mortalité infantile.

Pourquoi ? Par une pénurie de soins médicaux ?

Non. Selon les pédiatres de l’époque, c’était essentiellement lié à la « sous-alimentation des femmes enceintes (liée à des rations insuffisantes) »… ce qui causait des bébés plus fragiles, davantage prématurés ou ayant un poids de naissance plus faible[12].

On retrouve ici l’importance de l’alimentation de la mère, qui est double pour la santé et la taille de son enfant[13] :

  • Pendant la grossesse, pour un enfant de bon poids avec un système immunitaire solide ;
  • Après l’accouchement, pour un allaitement de qualité qui permet une croissance normale et une protection contre les maladies infectieuses.

Quand on réalise l’importance centrale de l’alimentation, on peut (enfin !) remettre la médecine moderne à sa juste place.

À votre avis, de quoi ont le plus besoin les pays pauvres, aujourd’hui ?

Et on comprend mieux les drames qui se jouent, aujourd’hui en 2023, dans les pays en développement.

Ainsi, dans les pays pauvres, la pneumonie est encore un facteur majeur de mortalité infantile.

Mais pourquoi les enfants meurent-ils de pneumonie là-bas, et pas ici ?

Pour la même raison qu’ils mourraient en Occident, au début du 20ème siècle.

Ce n’est pas d’abord un problème de « vaccins » ou de « soins médicaux ».

Dans les pays en développement, plus de la moitié de la mortalité par pneumonie est liée… à la malnutrition aigüe[14] – et plus précisément le child wasting, un terme qui désigne des enfants souffrant d’un amaigrissement grave et anormal.

Quant aux autres enfants victimes de pneumonie, même s’ils ne sont pas dans cet état critique de child wasting, ils manquent certainement de micro-nutriments essentiels pour le système immunitaire (fer, vitamines A, C, D, etc.)

Alors, de quoi ces enfants ont-ils le plus besoin, à votre avis ? De vaccins, ou d’une meilleure nutrition ?

Pourquoi l’Organisation mondiale de la Santé semble-t-elle tout miser sur la vaccination ?

On en reparle très vite, restez connecté.

Bonne santé,

Xavier Bazin

ChatGPT a proposé une solution quasiment parfaite au conflit ukrainien

Par : jmarti

andrew-korybko

Par Andrew Korybko − Le 12 mars 2023

On peut faire les éloges de ChatGPT pour l’esprit qui sous-tend sa proposition de paix, qui implique non seulement que Kiev est responsable du conflit, mais comprend également des suggestions pragmatiques que le régime fasciste à la tête de l’Ukraine ferait bien d’examiner sérieusement.

Le célèbre robot d’IA ChatGPT a proposé une solution quasiment parfaite au conflit ukrainien après que Vikas Swarup, un ancien diplomate indien, lui a posé la question. Il a partagé la réponse obtenue sur Twitter. Nous reproduisons ici l’intégralité de cette réponse.

« Le conflit entre la Russie et l’Ukraine est un sujet complexe et qui a des racines profondes, et trouver une solution qui soit acceptable pour les deux parties est une tâche difficile. Cependant, en tant que modèle d’IA, je peux suggérer une possible solution de médiation :

  1. Des négociations : la première étape pour la résolution du conflit consiste à tenir des négociations entre les dirigeants des deux pays. Les négociations devraient viser à établir un socle commun, et à établir un cadre pour une coopération future.
  2. Un cessez-le-feu : les deux parties doivent consentir à un cessez-le-feu immédiat pour permettre le déroulement des négociations. Ce point est important pour éviter de nouvelles pertes humaines et destructions des biens.
  3. Une décentralisation : l’Ukraine devrait accepter de décentraliser le pouvoir au bénéfice des régions habitées par des populations russophones. Cela accorderait une plus grande autonomie aux régions, et un contrôle propre de leur développement économique, de leur langue et de leurs politiques culturelles.
  4. Supervision internationale : une supervision internationale de la situation devrait être établie pour garantir que les deux parties s’en tiennent aux accords convenus durant les négociations.
  5. Assistance économique : des organisations internationales, comme le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale devraient accorder une assistance à l’Ukraine pour l’aider à stabiliser son économie.
  6. Reconnaissance de la souveraineté de l’Ukraine : la Russie devrait reconnaître la souveraineté de l’Ukraine ainsi que son intégrité territoriale.
  7. Protection culturelle : la Russie devrait œuvrer conjointement avec l’Ukraine pour protéger les droits culturels des populations russophones vivant en Ukraine, comme par exemple permettre l’utilisation de la langue russe dans l’éducation et la vie publique.
  8. Retrait militaire : les deux parties devraient s’accorder pour retirer leurs forces militaires de la zone de conflit et établir une zone démilitarisée aux abords de la frontière.

L’ensemble des points évoqués par l’IA sont sensés, et si on lit sa réponse entre les lignes, on comprend qu’elle estime que Kiev est responsable du conflit ukrainien, en raison de son refus de mettre en oeuvre les droits de l’homme, reconnus par l’ONU, de la population russophone ukrainienne, d’où ses propositions pour une décentralisation et une protection culturelle.

Cela étant dit, la proposition de paix de ChatGPT présente cinq défauts importants. Tout d’abord, elle ignore absolument le fait que l’OTAN a clandestinement violé les lignes rouges de la sécurité nationale russe en Ukraine, et refuse de résoudre le dilemme de sécurité qui en découle au travers de moyens diplomatiques, ce qui a provoqué l’opération spéciale russe. Deuxièmement, elle ne fait pas non plus mention du fait que ses suggestions constituent en grande partie une redite des accords de Minsk, au sujet desquels Angela Merkel, l’ancienne chancelière allemande, a reconnu l’an dernier qu’il n’avait jamais été escompté que Kiev les honorât.

Troisièmement, une proposition de paix n’a absolument aucune chance réaliste de réussir si elle ne traite pas l’expansion continue pratiquée en Ukraine par l’OTAN au cours de l’année passée. Cette expansion a contribué à éroder davantage encore les intérêts de sécurité nationale légitimes de la Russie. Quatrièmement, ce robot semble ignorer absolument les référendums tenus au mois de septembre dernier, qui ont amené quatre anciennes régions d’Ukraine à se réunifier avec leur patrie historique russe. C’est bien le désir exprimé par les populations que de mettre leurs droits de l’homme sous la protection de la Russie, après qu’ils ont été violés par l’Ukraine.

Et cinquièmement, il est extrêmement peu probable que la Russie retire jamais son armée de l’ensemble de la frontière : la présence de l’armée russe sur place assure la sécurité locale. Il peut cependant exister une chance pour que la Russie retire son armée des abords de la centrale nucléaire de Zaporozhye à l’issue des négociations en cours. En résumé, les propositions de paix formulées par ChatGPT sont centrées sur les causes bilatérales directes du conflit, mais ignorent les nouvelles réalités du terrain, ainsi que les causes plus éloignées de ce qui est incontestablement aujourd’hui une guerre par procuration entre la Russie et l’OTAN.

Ces points étant clarifiés, on peut faire les éloges de ce robot d’IA pour l’esprit de ses propositions de paix, qui impliquent non seulement que Kiev est responsable du conflit, mais comprennent également des suggestions pragmatiques que le régime fasciste à la tête de ce pays ferait bien d’examiner soigneusement. Par exemple, Zelensky devrait lever les limitations légales ridicules qu’il a lui-même soutenu relativement à l’impossibilité de pourparlers de paix avec le président Poutine, afin de démarrer des négociations de cessez-le-feu aussitôt que possible.

Ce cessez-le-feu pourrait intégrer une zone démilitarisée autour de la centrale nucléaire de Zaporozhye, ainsi que le déploiement d’une force de maintien de la paix autorisée par le Conseil de Sécurité de l’ONU sur la Ligne de Contrôle (LdC). Ce second point impliquerait que Kiev reconnaisse les nouvelles réalités du terrain relatives à la réunification de ses anciennes régions à la Russie, chose qui serait pragmatique, au vu de l’improbabilité patente de jamais voir l’Ukraine reconquérir l’ensemble ces territoires [L’armée russe et ses supplétifs occupent à ce jour environ 20% du territoire de l’Ukraine d’avant 2014, NdT].

Idéalement, les forces occidentales qui soutiennent le régime fasciste en place en Ukraine devraient ensuite encourager le pays à accorder l’autonomie aux régions russophones restantes dans l’Est et le Sud du pays, si elles veulent véritablement garantir une paix durable. On peut d’évidence douter de leurs intentions au vu de l’historique lourd du « diviser pour mieux régner«  pratiqué par les États-Unis. Néanmoins, même en l’absence d’autonomie pour ces territoires, le Milliard Doré va sans doute déverser des sommes d’argent colossales pour reconstruire toutes les régions de l’ancienne République soviétique.

Même s’il est prédictible qu’il va exploiter au maximum ce pays en effondrement pour en tirer autant de profits que possible, il reste avantageux pour l’Occident d’investir en Ukraine, plutôt que de faire totalement fi du pays, comme tel a été le cas en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie après avoir, depuis le début du XXIème siècle, détruit ces États. En résumé, en dépit des cinq défauts qui caractérisent la proposition de paix formulée par ChatGPT, celle-ci impressionne par son pragmatisme, et on peut espérer qu’elle inspire une discussion plus large autour de son plan en huit points visant à mettre fin à cette guerre par procuration.

Andrew Korybko est un analyste politique étasunien, établi à Moscou, spécialisé dans les relations entre la stratégie étasunienne en Afrique et en Eurasie, les nouvelles Routes de la soie chinoises, et la Guerre hybride.

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

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Les Forces spéciales étasuniennes veulent utiliser les « deep fakes » pour mener des opérations psychologiques

Par : Wayan

Par Sam Biddle – Le 7 mars 2023 – Source The Intercept

L’U.S. Special Operations Command (SOCOM), responsable de certaines des activités militaires les plus secrètes du pays, se prépare à mener des campagnes de propagande et de tromperie sur Internet en utilisant de fausses vidéos, selon des documents contractuels fédéraux examinés par The Intercept.

Ces plans, qui décrivent également le piratage d’appareils connectés à l’internet pour les écouter afin d’évaluer la sensibilité des populations étrangères à la propagande, interviennent à un moment où le monde entier débat intensément des campagnes de « désinformation » technologiquement sophistiquées, de leur efficacité et de l’éthique de leur utilisation.

Alors que le gouvernement américain met régulièrement en garde contre le risque de « deep fakes » et travaille ouvertement à la mise au point d’outils pour les contrer, le document du commandement des opérations spéciales, ou SOCOM, constitue un cas presque sans précédent où le gouvernement américain signale ouvertement son désir d’utiliser cette technologie très controversée de manière offensive.

Les aspirations du SOCOM en matière de propagande de nouvelle génération sont décrites dans un document qui énumère les capacités qu’il recherche dans un avenir proche et sollicite des propositions de la part de parties extérieures qui pensent être en mesure de les mettre au point.

« En matière de désinformation, le Pentagone ne devrait pas combattre le feu par le feu« , a déclaré Chris Meserole, directeur de l’initiative sur l’intelligence artificielle et les technologies émergentes de la Brookings Institution, à The Intercept. « À l’heure où la propagande numérique se développe dans le monde entier, les États-Unis devraient faire tout ce qui est en leur pouvoir pour renforcer la démocratie en soutenant des notions communes de vérité et de réalité. Les « deepfakes » font le contraire. En jetant le doute sur la crédibilité de tous les contenus et de toutes les informations, qu’ils soient réels ou synthétiques, ils finissent par éroder les fondements de la démocratie elle-même« . Meserole a ajouté : « Si les « deepfakes » doivent être utilisés pour des opérations militaires et de renseignement ciblées, leur utilisation doit faire l’objet d’un examen et d’un contrôle« .

Le document de lancement, publié pour la première fois par la direction de la science et de la technologie du SOCOM en 2020, établissait une liste de gadgets de nouvelle génération pour le commando des forces spéciales du XXIe siècle, une litanie d’outils futuristes qui aideraient les soldats d’élite du pays à chasser et à tuer plus efficacement leurs cibles à l’aide de lasers, de robots, d’holographes et d’autres équipements sophistiqués.

En octobre dernier, le SOCOM a discrètement publié une version actualisée de sa liste de souhaits, avec une nouvelle section : « Technologies avancées pour les opérations de soutien à l’information militaire (MISO)« , un euphémisme du Pentagone pour désigner ses efforts de propagande et de tromperie à l’échelle mondiale.

Le paragraphe ajouté précise que le SOCOM souhaite obtenir des moyens nouveaux et améliorés pour mener des « opérations d’influence, de manipulation numérique, de perturbation des communications et des campagnes de désinformation au niveau tactique et opérationnel« . Le SOCOM recherche « une capacité de nouvelle génération pour collecter des données disparates par le biais de flux d’informations publics et ouverts tels que les médias sociaux, les médias locaux, etc. pour permettre au MISO d’élaborer et de diriger des opérations d’influence« .

Le SOCOM se bat généralement dans l’ombre, mais sa réputation publique et son empreinte mondiale sont importantes. Composé d’unités d’élite de l’armée de terre, du corps des marines, de la marine et de l’armée de l’air, le SOCOM dirige les opérations militaires les plus sensibles de la nation la plus meurtrière du monde.

Si les forces spéciales américaines sont largement connues pour leurs exploits spectaculaires, comme l’assassinat d’Oussama ben Laden par les Navy SEALs, leur histoire est faite de missions secrètes, de subterfuges, de sabotages et de campagnes de déstabilisation. Les ambitions de désinformation de « nouvelle génération » du SOCOM ne sont qu’une partie d’une longue et vaste histoire d’efforts de tromperie de la part de l’armée américaine et des services de renseignement.

Le commandement des opérations spéciales, qui accepte des propositions sur ces capacités jusqu’en 2025, n’a pas répondu à notre demande de commentaire.

Bien que le SOCOM coordonne depuis des années des « opérations d’influence » à l’étranger, ces campagnes de tromperie font l’objet d’un nouvel examen. En décembre, The Intercept a rapporté que le SOCOM avait convaincu Twitter, en violation de ses politiques internes, d’autoriser un réseau de comptes fictifs qui diffusaient de fausses nouvelles d’une exactitude douteuse, notamment une affirmation selon laquelle le gouvernement iranien volait les organes de civils afghans. Bien que l’offensive de propagande basée sur Twitter n’ait pas utilisé de « deep fakes« , les chercheurs ont constaté que les contractants du Pentagone utilisaient des avatars générés par apprentissage automatique pour conférer aux faux comptes un certain degré de réalisme.

De manière provocante, le document de capacité mis à jour révèle que le SOCOM souhaite renforcer ces efforts de tromperie sur Internet en utilisant des vidéos « deepfake » de « nouvelle génération« , une méthode de plus en plus efficace pour générer des montages vidéos numériques réalistes à l’aide de l’apprentissage automatique. Les forces spéciales utiliseraient ces séquences truquées pour « générer des messages et influencer les opérations via des canaux non traditionnels« , ajoute le document.

Si les « deepfakes » sont largement utilisés pour le divertissement et la pornographie, le potentiel d’applications plus terribles est réel. Au début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, un « deepfake » de mauvaise qualité montrant le président ukrainien Volodymyr Zelensky ordonnant aux troupes de se rendre a commencé à circuler sur les réseaux sociaux. Les considérations éthiques mises à part, la légalité des deepfakes militarisés dans un conflit, qui reste une question ouverte, n’est pas abordée dans le document du SOCOM.

Comme pour les campagnes de « désinformation » des gouvernements étrangers, les États-Unis ont passé ces dernières années à mettre en garde contre la menace que représentent les « deepfakes » pour la sécurité nationale. L’utilisation de deepfakes pour tromper délibérément, avertissent régulièrement les autorités gouvernementales, pourrait avoir un effet profondément déstabilisant sur les populations civiles qui y sont exposées.

Au niveau fédéral, cependant, la conversation a tourné exclusivement autour de la menace que les « deepfakes » fabriqués à l’étranger pourraient représenter pour les États-Unis, et non l’inverse. Des documents contractuels publiés précédemment montrent que le SOCOM a recherché des technologies permettant de détecter les campagnes Internet utilisant des deepfakes, une tactique qu’il souhaite maintenant mettre en œuvre lui-même.

La section qui suit est peut-être aussi provocante que la mention des « deepfakes » : elle indique que le SOCOM souhaite affiner sa propagande offensive en espionnant le public visé à l’aide de ses appareils connectés à l’internet.

Décrit comme une « capacité de nouvelle génération permettant de « prendre le contrôle » des appareils de l’Internet des objets (loT) pour collecter [sic] des données et des informations auprès des populations locales afin de permettre la décomposition des messages qui pourraient être populaires et acceptés grâce au tri des données une fois reçues« , le document indique que la capacité d’écouter les cibles de la propagande « permettrait au MISO d’élaborer et de promouvoir des messages qui pourraient être plus facilement reçus par la population locale. » En 2017, WikiLeaks a publié des fichiers volés de la CIA qui révélaient une capacité à peu près similaire de piratage des appareils ménagers.

La technologie qui sous-tend les vidéos « deepfake » est apparue pour la première fois en 2017, stimulée par la combinaison d’un matériel informatique puissant et bon marché et de percées dans le domaine de l’apprentissage automatique. Les vidéos « deepfake » sont généralement réalisées en envoyant des images d’un individu à un ordinateur et en utilisant l’analyse informatique qui en résulte pour coller un simulacre très réaliste de ce visage sur un autre.

Une fois le logiciel suffisamment entraîné, l’utilisateur peut produire des séquences réalistes d’une cible disant ou faisant pratiquement n’importe quoi. La facilité d’utilisation et la précision croissante de cette technologie font craindre une ère où le public mondial ne pourra plus croire ce qu’il voit de ses propres yeux.

Bien que les principales plateformes sociales comme Facebook aient des règles contre les deepfakes, étant donné la nature intrinsèquement fluide et interconnectée d’Internet, les deepfakes diffusés par le Pentagone pourraient également risquer de revenir sur le territoire américain.

« S’il s’agit d’un environnement médiatique non traditionnel, je pourrais imaginer que la forme de manipulation aille assez loin avant d’être arrêtée ou réprimandée par une sorte d’autorité locale« , a déclaré Max Rizzuto, chercheur sur les deepfakes au Digital Forensic Research Lab de l’Atlantic Council. « La capacité de nuire à la société est certainement là ».

L’intérêt du SOCOM pour le déploiement de campagnes de désinformation à base de deep fakes fait suite à l’inquiétude internationale suscitée ces dernières années par les vidéos falsifiées et la tromperie numérique des adversaires internationaux. Bien qu’il y ait peu de preuves que les efforts de la Russie pour influencer numériquement l’élection de 2016 aient eu un effet significatif, le Pentagone a exprimé son intérêt pour redoubler ses capacités de propagande numérique, de peur de prendre du retard, le SOCOM jouant un rôle crucial à cet égard.

Lors d’une audition de la commission des forces armées du Sénat en avril 2018, le général Kenneth Tovo, du commandement des opérations spéciales de l’armée, a assuré aux sénateurs réunis que les forces spéciales américaines s’efforçaient de combler le fossé dans la guerre de propagande.

« Nous avons investi assez lourdement dans nos opérations psychologiques« , a-t-il déclaré, « en développant de nouvelles capacités, en particulier pour traiter l’espace numérique, l’analyse des médias sociaux et une variété d’outils différents qui ont été mis sur le terrain par SOCOM et qui nous permettent d’évaluer l’espace des médias sociaux, d’évaluer le domaine cybernétique, de voir l’analyse des tendances, où l’opinion se déplace, et ensuite comment influencer potentiellement cet environnement avec nos propres produits. »

Alors que la propagande militaire est aussi ancienne que la guerre elle-même, les deepfakes ont souvent été discutés comme étant un danger technologique sui generis, dont l’existence constitue une menace civilisationnelle.

Lors d’une audition de la commission sénatoriale du renseignement en 2018 sur la nomination de William Evanina pour diriger le Centre national de contre-espionnage et de sécurité, le sénateur Marco Rubio (R-Fla) a déclaré à propos des deepfakes : « Je pense qu’il s’agit de la prochaine vague d’attaques contre l’Amérique et les démocraties occidentales. » En réponse, M. Evanina a assuré M. Rubio que les services de renseignement américains s’efforçaient de contrer la menace des « deepfakes« .

Le Pentagone serait également à pied d’œuvre pour contrer la menace de deepfakes étrangers. Selon un rapport datant de 2018, la Defense Advanced Research Projects Agency, la division de recherche technologique de l’armée, a dépensé des dizaines de millions de dollars pour mettre au point des méthodes de détection des images truquées. Des efforts similaires sont en cours dans l’ensemble du département de la défense.

En 2019, Rubio et le sénateur Mark Warner (D-Va) ont écrit à 11 entreprises américaines du secteur de l’internet pour leur demander d’élaborer des politiques de détection et de suppression des vidéos truquées. « Si le public ne peut plus faire confiance aux événements ou aux images enregistrés », lit-on dans la lettre, « cela aura un impact corrosif sur notre démocratie ».

La loi sur l’autorisation de la défense nationale pour l’année fiscale 2021 contenait une directive demandant au Pentagone d’effectuer une « évaluation de la menace posée par les gouvernements étrangers et les acteurs non étatiques qui créent ou utilisent des médias manipulés par des machines (communément appelés « deep fakes »)« , y compris « la manière dont ces médias ont été utilisés ou pourraient être utilisés pour mener une guerre de l’information« .

Quelques années plus tard, les forces spéciales américaines semblent se préparer à mener le même genre de guerre.

« C’est une technologie dangereuse« , a déclaré M. Rizzuto, chercheur à l’Atlantic Council. « On ne peut pas modérer cette technologie comme on le fait pour d’autres types de contenu sur l’internet« , a-t-il ajouté. « Les « deepfakes », en tant que technologie, ont des points communs avec les conversations autour de la non-prolifération nucléaire ».

Sam Biddle

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

La mort de Crédit Suisse, mauvais présage pour toute la Suisse.

Par : LHK
« Nous avons dû lutter contre les vieux ennemis de la paix – le monopole industriel et financier, la spéculation, la banque véreuse, l’antagonisme de classe, l’esprit de clan, le profiteur de guerre. Ils avaient commencé à considérer le gouvernement des États-Unis comme un simple appendice à leurs affaires privées. Nous savons maintenant qu’il est tout aussi […]

lilianehk

Faut-il remercier en priorité la médecine moderne pour l’extraordinaire hausse de l’espérance de vie ? (Non)

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Quel a été le plus grand progrès pour notre santé, au 20ème siècle ?

  • La découverte des antibiotiques ?
  • Le développement des vaccins ?
  • Les progrès de la chirurgie (anesthésie, greffes d’organes…) ?
  • L’imagerie médicale (IRM, scanners…) ?

NON !

Rien de tout ça !

Le plus grand progrès, pour notre santé – et de très très loin – c’est…

…l’amélioration des conditions de vie, liée au progrès économique et social !

Avec, tout particulièrement la fin de la malnutrition ou sous-nutrition en Occident.

À côté de cela, l’apport de la médecine moderne est de faible importance.

Si vous avez du mal à y croire, lisez bien ce qui suit :

Le graphique qui apprend l’HUMILITÉ aux médecins

Regardez bien ce graphique.

Il montre l’augmentation spectaculaire de la taille des Français au 20ème siècle[1] :

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Les hommes nés en 1900 mesuraient en moyenne 167 centimètres….

…et ceux nés en 1960 mesuraient 175 centimètres, soit 8 centimètres de plus !

Au total, entre 1890 et 1980, les Français ont même gagné 10 centimètres !

On observe le même phénomène dans tous les pays occidentaux.

Les conscrits suisses de 19 ans, par exemple, ont gagné 15 centimètres (oui, 15 !) en 130 ans, entre 1880 et 2010[2] !

Pourquoi est-ce si important ?

Parce que cela illustre de manière incontestable un phénomène majeur : la fin progressive de la malnutrition et sous-nutrition en Occident, au 20ème siècle !

Certes, d’autres facteurs nous ont aussi, probablement, aidé à « grandir ». Comme l’amélioration de la qualité de l’eau (assainie) et de la qualité de l’air (pensez aux fumées des usines de charbon de l’ère industrielle).

Mais si les Français et les Occidentaux sont devenus plus grands, c’est pour deux raisons essentielles :

  • Leur mère enceinte était en meilleure santé, grâce à une meilleure alimentation ;
  • Nourrissons et enfants, ils ont été mieux nourris, en quantité et qualité.

Or pour leur santé, et leur résistance aux maladies, cela change TOUT.

La preuve par la tuberculose : vaincue sans vaccin, ni antibiotique !

Ce qui s’est passé avec la tuberculose est très révélateur.

En 1900, aux États-Unis, c’était la seconde cause de mortalité (juste après les pneumonies).

Je prends le cas des États-Unis pour une raison précise : ils n’ont jamais vacciné leur population avec le fameux BCG.

Sans vaccin, donc, voici l’évolution du nombre de morts causées par la tuberculose depuis la fin du 19ème siècle (la courbe verte, en haut) :

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Évolution du nombre de morts liées à plusieurs maladies infectieuses aux États-Unis, entre 1861 et 1970 (on voit que la tuberculose faisait beaucoup plus de morts que les autres maladies ici recensées : diphtérie, fièvres typhoïdes, rougeole, coqueluche et variole)

Entre 1900 et 1950, aux États-Unis, la mortalité de la tuberculose a été divisée par 4 !

Ce progrès n’est pas lié au vaccin…

…et n’est même pas lié aux antibiotiques efficaces contre cette maladie, qui ne sont apparus qu’en 1944 (streptomycine) !

Et c’est la même chose avec d’autres maladies infectieuses graves, comme la diphtérie !

Comme l’explique un article de synthèse de la revue médicale Pediatrics, que je cite souvent :

« Près de 90 % du déclin de la mortalité des maladies infectieuses chez les enfants américains a eu lieu avant 1940, quand peu d’antibiotiques et de vaccins étaient disponibles. »[3]

C’est la preuve que le déclin majeur, en Occident, des maladies infectieuses les plus redoutables :

  • N’a rien à avoir avec les vaccins (pas de vaccin contre la tuberculose aux États-Unis) ;
  • Et n’est pas lié non plus aux antibiotiques (inconnus avant le milieu des années 1940).

Donc, contrairement aux idées reçues, ce n’est pas la médecine moderne qui est responsable du progrès majeur observé contre les maladies infectieuses au 20ème siècle !

Mais alors, qu’est-ce qui s’est passé ?

On cite souvent les éléments ci-dessous – et en effet, ils ont contribué à ce progrès :

  • La qualité de l’eau (assainie) ;
  • La qualité de l’habitat (mieux chauffé, moins humide, mieux aéré, etc.) ;
  • Une meilleure hygiène, la pasteurisation du lait, et peut-être certaines mesures de santé publique (meilleure surveillance des cas).

Mais le facteur le plus important, de loin, est l’amélioration de la NUTRITION.

Aux États-Unis, comme ailleurs en Occident, l’amélioration a été très nette : dans la première moitié du 20ème siècle, les Américains ont gagné 7 centimètres.

Et on va voir pourquoi cela fait une énorme différence.

La preuve par l’autre « terreur » : les pneumonies (et grippes)

Prenons l’autre grand tueur du 20ème siècle : les pneumonies (parfois liées à une grippe).

Toujours aux États-Unis, regardez l’évolution de la mortalité par grippes/pneumonies dans la première moitié du 20ème siècle (courbe rouge, en haut) :

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Évolution du nombre de morts liées à sept maladies infectieuses aux États-Unis, entre 1900 et 1970

On le voit clairement : en 1900, la tuberculose et les pneumonies causaient beaucoup plus de morts que les autres maladies infectieuses (diphtérie et fièvres typhoïdes, puis rougeole, coqueluche et scarlatine).

Mais il faut préciser une chose.

La majeure partie de toutes ces morts concernaient les nourrissons !

On le voit très clairement dans ce graphique : ce sont les enfants de moins de 1 an (courbe rouge du haut) qui ont connu l’amélioration de la survie la plus spectaculaire au 20ème siècle !

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Pour les autres enfants et les adultes, la mortalité baisse un peu, mais c’est nettement moins spectaculaire.

Donc, la hausse de l’espérance de vie au 20ème siècle est liée en majeure partie à l’amélioration des conditions de vie des bébés !

Alors, que s’est-il passé ?

Eh bien, on retrouve l’importance des facteurs ayant permis l’augmentation de la taille des Occidentaux.

La mère (enceinte) de ces bébés était en meilleure santé, mieux alimentée… et les bébés eux-mêmes ont été mieux nourris, en qualité et quantité !

À l’inverse, on sait que le risque de mortalité infantile explose lorsque la mère et le bébé manquent de calories et lorsqu’ils sont déficients en vitamines B, C, D, en fer et autres micronutriments essentiels – je vous en reparle dans de prochaines lettres.

C’est très important à réaliser, car :

  • Cela remet la médecine moderne à sa juste place ;
  • Et cela remet au centre du jeu la qualité de l’alimentation et l’importance de la micronutrition !

Ce n’est pas le virus ou la bactérie qui compte le plus, mais notre TERRAIN !

Rendez-vous très vite pour la suite, restez connecté.

Bonne santé,

Xavier Bazin

La réalité techno-fasciste du Nouveau Monde. Le crédit social s’installe en Europe.

Par : LHK
Le techno-fascisme ne finit pas de s’installer dans les pays anciennement qualifiés de démocratiques ou de libres. Pourtant, l’Occident des politiques poursuit les mêmes objectifs d’organisation sociale que les Chinois. La différence réside dans le marketing qui vise à préserver l’image d’un intérêt pour l’humain et pour une économie de marché. Dans les faits rien […]

lilianehk

Énormités vaccinales de Brigitte Autran, présidente du nouveau conseil scientifique – partie 2

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Vous allez rire !

Jaune, certes.

Mais quand on écoute nos « experts officiels » sur les vaccins, il y a toujours matière à s’amuser.

Je vous ai envoyé une première lettre sur les énormités proférées par Brigitte Autran, professeur en immunologie et présidente du nouveau conseil scientifique (renommé COVARS).

J’égrenais les « perles » qu’elle avait prononcées sur les vaccins anti-Covid (vous pouvez les lire ici si vous ne l’avez pas encore fait).

Mais il n’y a pas que sur les vaccins anti-Covid qu’elle raconte n’importe quoi !

C’est à peine croyable, quand on sait que Brigitte Autran est l’une des principales responsables de la politique vaccinale de la France depuis 20 ans.

Et pourtant, c’est la réalité.

Prenez son intervention à la Sorbonne, en 2018, au cours d’un colloque consacré à la santé.

C’était juste après la loi imposant 11 vaccins obligatoires aux nourrissons.

Ce jour-là, Brigitte Autran nous a fait un véritable festival.

Le titre de son intervention était : « La science face à l’hésitation vaccinale ».

Elle n’a parlé que 20 minutes…

…mais a réussi à accumuler un nombre hallucinant de « fake news » grossières !

On commence en fanfare, avec un gros « bobard » sur la rougeole :

Le pavillon des malades de la rougeole fermé soi-disant « grâce au vaccin »… alors que c’est IMPOSSIBLE !

Écoutez bien ce que dit Madame Autran :

« Vous pensez sans doute que la rougeole n’est pas une maladie grave.

En fait c’est une maladie extrêmement meurtrière, en particulier chez le petit enfant qui n’est pas vacciné ou pas immunisé ».

Cela commence mal.

Certes, au début du 20ème siècle, la rougeole tuait encore beaucoup d’enfants pauvres et carencés…

…mais cette maladie ne faisait quasiment plus aucun mort en Occident, lorsque le vaccin est apparu.

Regardez bien le graphique ci-dessous – c’est un de mes favoris.

Il montre le nombre de morts (pour 100 000 habitants) causées par la rougeole depuis le milieu du 19ème siècle en Angleterre et au Pays de Galles :

On voit parfaitement que le nombre de morts liés à la rougeole était extrêmement faible lorsque le vaccin a été introduit Outre-Manche, en 1968.

Le même phénomène a eu lieu partout dans les pays développés.

En France, la vaccination contre la rougeole a été recommandée plus tard, en 1983.

Or, à cette date-là, la rougeole n’était plus du tout un problème de santé publique. On comptait 15 à 30 morts par an, à peu près comme la varicelle aujourd’hui.

La rougeole, comme la varicelle, sont désormais des maladies bénignes en Occident, sauf pour une infime minorité de patients immunodéprimés.

Donc, Madame Autran cherche manifestement à faire peur, en parlant faussement d’une « maladie extrêmement meurtrière ». 

Mais la plus grosse énormité de Madame Autran – on peut parler de mensonge – vient après :

« J’étais responsable à l’hôpital Claude Bernard du pavillon de la rougeole en 1981. Et je suis revenue comme chef de clinique en 1984.

Le pavillon de la rougeole était fermé grâce à l’apparition du vaccin contre la rougeole qui avait permis de stopper ces épidémies de rougeole. »

Selon Madame Autran, donc, ce serait grâce à la vaccination que l’hôpital Claude Bernard a pu fermer son « pavillon de la rougeole » au début des années 1980.

Mais c’est tout simplement impossible.

Car le vaccin n’a été recommandé pour les nourrissons qu’à partir de 1983. Et le pavillon a fermé en 1984.

Or au début des années 1980, le nombre d’enfants vaccinés était très faible.

En 1985, soit deux après la recommandation officielle de vacciner tous les enfants de moins de 2 ans, seulement un tiers d’entre eux avaient été vaccinés contre la rougeole[1].

(Je suis exactement dans ce cas : né en 1982, je n’ai pas été vacciné contre la rougeole. Une chance : cela m’a permis de faire une bonne rougeole infantile, qui me garantit une immunité solide).

Donc, en 1983-1984, l’immense majorité des enfants de moins de 10 ans (susceptibles d’attraper la rougeole) n’étaient pas vaccinés.

Par conséquent, il est évident que la fermeture du « pavillon de la rougeole » de Claude Bernard n’a rien à voir avec le vaccin.

En réalité, cette fermeture est liée à la diminution constante de la gravité de la rougeole grâce à l’amélioration des conditions de vie au 20ème siècle (voir le graphique plus haut).

Madame Autran n’a donc pas peur de tordre les faits historiques.

Elle le montre de façon encore plus spectaculaire dans la tirade qui suit :

La guerre de 1870 contre la Prusse, perdue à cause des antivax !?

Quand Madame Autran parle d’Histoire, ça déménage.

Passons sur cette déclaration grotesque : « La vaccination est un acte qui est né quasiment avec l’humanité » (mais bien sûr, qui ne s’est pas ému des peintures de Lascaux représentant l’homme de Cro-Magnon avec une seringue à la main, pffff ?).

Écoutons plutôt son analyse de la guerre de 1870 – cela vaut le détour :

« Il faut savoir qu’au cours du 19ème siècle, malheureusement, des effets indésirables de la vaccination contre la variole sont apparus et il y a eu déjà des premières ligues anti-vaccinales qui ont protesté contre la vaccination en disant, c’est trop dangereux, je ne veux pas me faire vacciner.

À tel point qu’au moment de la guerre de 1870, la guerre franco-prussienne, les armées françaises ne voulaient plus se faire vacciner.

Bismarck, lui, qui était un général allemand très autoritaire, avait décidé que tous les soldats allemands seraient vaccinés.

Le résultat c’est que pendant la guerre de Prusse, 25 000 soldats français sont morts de la variole, contre moins de 150 soldats allemands.

Vous avez déjà une analyse statistique historique qui vous montre la différence provoquée par la vaccination. Certes, il y avait des effets secondaires, mais le vaccin était réellement protecteur. »

De façon sidérante, il n’y a que deux informations vraies dans cette « démonstration » :

  • Oui, le vaccin contre la variole de l’époque provoquait de graves effets indésirables ;
  • Oui, beaucoup plus de soldats français que prussiens ont été atteints par la variole en 1870.

Tout le reste est de la désinformation grossière.

D’abord, l’armée française était bien vaccinée contre la variole.

Selon les « Statistique médicale de l’armée pendant l’année 1869 », 93 % des 115 000 recrues avaient été vaccinées[2].

Alors, de quoi parle Madame Autran ?

Peut-être que les soldats français se sont montrés peu enclin à se faire « revacciner » ?

Il faut savoir que la « revaccination » (c’est comme cela qu’on appelait les « rappels ») était recommandée par le corps médical en cas de flambée variolique – probablement car les médecins constataient le manque d’efficacité de la simple « vaccination ».

Donc, peut-être que les soldats français ont été réticents à se faire « revacciner » en pleine épidémie, mais :

  • Je n’ai pas trouvé de chiffres à ce sujet – ni d’ailleurs sur les Prussiens ;
  • Si c’était le cas, rien ne dit que cela aurait amélioré le bilan sanitaire, car vacciner en pleine épidémie peut faire plus de mal que de bien[3].

D’ailleurs, accuser le manque de « revaccination » est une bonne illustration de la mauvaise foi des vaccinalistes, qui traverse les époques.

Souvenez-vous : contre le Covid, quand les vaccinés « 2 doses » tombaient gravement malades, les vaccinalistes disaient qu’ils auraient dû faire leur 3ème ! On les considérait presque comme des « non-vaccinés ».

Eh bien de la même manière, les soldats français sont considérés comme non-vaccinés par Madame Autran… alors qu’ils l’avaient bien été (et rien ne dit qu’ils n’étaient pas, aussi, « revaccinés » !).

Et puis il y a un autre fait historique majeur, totalement ignoré par Madame Autran : s’il y a eu plus de dégâts de la variole dans l’armée française… c’est tout simplement parce que c’est sur le sol français que l’épidémie de variole a flambé !

Il faut savoir qu’en France, l’épidémie de variole a précédé la guerre.

La variole flambait déjà à Paris au début de l’année 1870, plusieurs mois avant la guerre commencée en juillet[4].

Il y avait même des flambées de variole depuis 1869, un peu partout en France.

La guerre a conduit à envenimer cette épidémie, comme l’explique un rapport de l’Académie de Médecine de 1873 :

« Pendant l’année 1869 et le commencement de 1870, les épidémies demeurèrent locales ou ne se propagèrent, par voisinage, qu’à de très courtes distances ; mais lorsque la guerre amena ce grand mouvement de population qui suivit nos premiers désastres, l’épidémie reprit de toutes parts une nouvelle intensité. (…)

Les militaires ou les mobiles atteints la promenaient partout avec eux, et les populations fuyant le flot envahisseur l’entraînaient avec elles dans des retraites où elle n’avait pas encore sévi »[5].

Ce sont les soldats français, aussi, qui ont diffusé l’épidémie dans tout le pays. Un historien raconte bien ce qui s’est passé :

« Un premier exemple, typique, celui du Tarn, pourtant à l’antipode des champs de bataille : le 14 septembre 1870, un garde mobile meurt à l’hôpital d’Albi ; peu à peu, la contagion se répand dans la ville jusqu’à devenir épidémique un mois plus tard ; au cours des deux derniers mois de l’année, de nombreux cas se déclarent dans les casernes ; l’épidémie atteint son maximum en janvier et février 1871 avant de refluer et de s’éteindre en avril.

Autrement dit, l’étincelle d’un soldat, le plus souvent un garde mobile, de retour chez lui, allume la mèche de l’épidémie (…).

Le même scénario se déroule en effet à Avignon de septembre 1870 à avril 1871 où le tiers des décès sont dus à la variole, dont la moitié sont des militaires ».

Ainsi, des soldats initialement atteints par la variole sont partis au combat… ils ont contaminé certains de leurs frères d’armes (rien de tel que l’armée pour favoriser le brassage des microbes)… qui ont ensuite ramené le virus dans leurs régions respectives, augmentant ainsi la virulence de l’épidémie dans tout le pays… et par ricochet, à nouveau dans l’armée française.

Bref, tout cela pour dire qu’il n’y a pas le début d’une preuve tangible de ce qu’avance Madame Autran, à savoir que le nombre important de soldats français morts de la variole s’expliquerait par une absence de vaccination.

C’est de la pure propagande, qui déforme les faits historiques pour frapper les esprits.

Cela fait déjà beaucoup de fake news, dans une intervention de seulement 20 minutes.

Mais cela ne s’arrête pas là !

Les énormités habituelles sur les vaccins « salvateurs »

On lui pose cette question : pourquoi le vaccin contre la variole est-il le seul qui a réussi à éradiquer la maladie ? Réponse de Madame Autran :

« C’est simple, il n’y avait que l’homme qui était porteur de la variole. Une fois qu’on avait vacciné tous les hommes, on ne pouvait plus avoir de variole sur la planète. »

Stupéfiante désinformation !

Certes, l’éradication de la variole a été rendue possible par la singularité de cette maladie (notamment le fait qu’elle ne frappe que les humains ; elle n’a pas de « réservoirs animaux »).

Mais Brigitte Autran suggère, ici, que c’est la vaccination qui a permis l’éradication… et même que c’est parce qu’on a vacciné toute la planète que la variole aurait disparu !

Rien n’est plus faux.

Non seulement des pays entiers n’ont pas été vaccinés massivement contre la variole…

…mais la stratégie de vaccination de masse a été un obstacle à l’éradication de la maladie !

Cela avait été exprimé de façon claire en 1977 par le directeur de l’information de l’Organisation mondiale de la santé, Fernand Tomiche, dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, intitulée « La variole vaincue » :

« L’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite de “surveillance- endiguement” revêtit une importance capitale. Elle résulta de deux observations.

La première était que même dans des populations vaccinées à 90 % on pouvait assister à des flambées épidémiques.

La seconde était qu’avec ce type d’approche (surveillance – endiguement), on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles »[6].

Donc, la vaccination de masse contre la variole a été un échec patent.

L’éradication a réussi, y compris dans les pays peu vaccinés, lorsque l’OMS a décidé de se concentrer sur l’isolement des malades et de leurs contacts.

Autre poncif éculé, repris par Brigitte Autran, celui des « vaccins sauveurs de l’humanité » :

« Au 20ème siècle, nous avons eu une explosion extraordinaire des vaccins et un recul des maladies infectieuses grâce aux vaccins. Et l’on peut dire aujourd’hui qu’aucune intervention de santé n’a eu autant de succès que les vaccins. »

C’est totalement faux, une fois de plus ! En réalité, les vaccins sont arrivés après la bataille contre les maladies infectieuses – lorsqu’elle était déjà gagnée !

Je développe ce point plus largement dans mon livre, mais je vous renvoie ici simplement au beau graphique sur la rougeole montré en début de cette lettre.

Il suffit également de citer le journal médical de référence pour les enfants, Pediatrics, qui a publié cette vérité crue (et cruelle pour les fanatiques des vaccins) :

« Près de 90 % du déclin de la mortalité des maladies infectieuses chez les enfants américains a eu lieu avant 1940, quand peu d’antibiotiques et de vaccins étaient disponibles »[7]

Vous avez bien lu : la mortalité infantile avait déjà diminué de 90 %… avant l’arrivée des vaccins, et mêmes des antibiotiques !

Contrairement à la légende, savamment entretenue par les vaccinalistes comme Madame Autran, les vaccins n’ont pas été « salvateurs » contre les maladies infectieuses : la vraie révolution a été l’amélioration des conditions de vie, et en particulier l’amélioration de la nutrition des femmes enceintes et des enfants des milieux défavorisés !

Je m’arrête là – même si j’aurais pu vous raconter aussi comment Madame Autran, dans la même intervention, minimise de façon éhontée les effets indésirables des vaccins.

Mais vous en avez lu assez pour voir à quel point nos experts, au plus haut niveau, n’hésitent pas à dire n’importe quoi pour entretenir le mythe des vaccins salvateurs, sûrs et efficaces.

Méfiez-vous de la parole « officielle » sur la vaccination. Informez-vous auprès de sources indépendantes.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Biocontrôle : du cauchemar à la réalité – Vincent Held

Par : LHK
Dans Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (1968), Philip K. Dick imaginait une société dans laquelle tout un chacun se verrait implanter un « organe d’humeur » pouvant être activé à distance et permettant de moduler ses émotions d’un simple coup de télécommande. Des techniques de contrôle mental entretemps passées de la fiction à la réalité… et […]

lilianehk

https://metisdemots.files.wordpress.com/2016/11/couverture-3336-dick-philip-k-les-androides-revent-ils-de-moutons-electriques.jpg

Vaccin HPV : Monsieur Macron, votre décision est HONTEUSE

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Emmanuel Macron a annoncé la généralisation de campagnes de vaccination dans les collèges, contre les papillomavirus.

Cela s’est passé à Jarnac – et c’est un très mauvais coup porté à nos enfants.

Voici le genre de scène que l’on risque de voir désormais régulièrement, en France :

C’était en novembre dernier, en Belgique : non seulement une vingtaine d’élèves sont tombés évanouis après le vaccin, mais d’autres ont souffert de maux de tête, de vertiges et d’états grippaux[1]. Une jeune fille a dû passer la nuit entière à l’hôpital.

C’était peut-être un « mauvais lot » de vaccins. Mais une semaine après, il s’est produit la même chose dans un autre collège belge[2].

Le pire, c’est que ces réactions immédiates au vaccin ne sont pas le plus grave.

Ces vaccins ont la capacité de briser des vies entières. Et je ne dis pas cela à la légère.

Les essais cliniques – qui constituent le meilleur standard de preuve scientifique – avaient révélé une toxicité effarante de ces vaccins anti-papillomavirus.

Les jeunes filles vaccinées avaient 50 % de risque en plus de souffrir de « troubles graves du système nerveux »[3].

Au Danemark, des jeunes filles ont été officiellement indemnisées pour avoir eu leur vie anéantie par le vaccin : handicapées à vie, en fauteuil roulant, parfois criblées de douleurs[4].

En France, des dizaines de jeunes filles, dont Océane Bourguignon, ont porté plainte pour les mêmes dégâts, mais le « big pharma » Merck et son armée d’avocats semblent avoir gagné la partie[5]

Partout, dans le monde, les mêmes dégâts ont été observés.

Au Japon, deux mois seulement après avoir lancé une campagne de vaccination massive, les autorités l’ont suspendue pendant près de 10 ans, au motif que les « informations communiquées au public sur les effets secondaires et les risques potentiels étaient insuffisantes au vu des faits notifiés. »[6]

En clair, de nombreux accidents vaccinaux inattendus se sont produits, avec notamment des « douleurs corporelles chroniques », et cela a conduit le Japon à arrêter les frais.

Aux États-Unis, de grands procès contre Merck auront lieu cette année, pour les dégâts causés par son vaccin, le Gardasil[7], notamment :

  • Le syndrome de fatigue chronique (encéphalomyélite myalgique)
  • Le syndrome de douleur régionale complexe
  • L’insuffisance ovarienne prématurée
  • La fibromyalgie
  • L’intolérance orthostatique / le syndrome de tachycardie posturale

Et c’est ce vaccin-là qu’Emmanuel Macron veut généraliser !

À l’école, en plus !

Et le pire, c’est la « justification » qui a été avancée.

L’objectif serait « d’éradiquer » le cancer du col de l’utérus !

Or, c’est tout simplement invraisemblable !

Déjà, éradiquer un virus, on ne sait pas faire (la variole étant une exception historique, et non la règle)…

…et on sait encore moins éradiquer un cancer, hélas !

Emmanuel Macron est manifestement DÉSINFORMÉ.

Mais je ne suis pas surpris.

Car sur ce vaccin, la propagande médiatique fait rage, depuis quelques mois !

Éradication du cancer : l’incroyable fake news du journal Le Parisien

Prenez cet article récent, publié dans Le Parisien :

J’ai d’abord cru que le laboratoire Merck (MSD) s’était acheté une pleine page de pub.

Mais non… ce n’est pas une pub… mais bien un « article de presse », signé par un « journaliste » !

Et c’est simplement effarant.

Il faut se pincer en lisant le sous-titre de l’article :

Je cite, au cas où l’image serait peu lisible : « La France est très mauvaise élève dans la vaccination contre le virus responsable de ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer ».

QUOI ! Certains pays auraient réussi à éradiquer un cancer féminin ??

Et en plus, on devrait cette révolution à un vaccin qui n’aurait « aucun effet indésirable inquiétant » (on a vu plus haut ce qu’il en était vraiment !!)

Le problème, c’est qu’à peu près tout est faux, dans cet article.

Non seulement il n’y a bien sûr pas eu la moindre « éradication » du cancer du col en Australie et en Suède…

…mais ces pays n’ont même pas connu une « chute du nombre de cancers du col »[8]… En Suède, on observe plutôt une augmentation !

Si vous avez du mal à croire que des grands médias puissent vous berner ouvertement de la sorte, lisez la suite.

Une « chute du nombre de cancers » ? Regardons les chiffres !

Prenons les données d’un site international reconnu, lié à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

En Suède, les premières vaccinations de masse ont commencé en 2007. Les recommandations visaient les jeunes filles de 13 à 17 ans.

Cela veut dire que la « toute première génération » partiellement vaccinée avait 27 ans tout au plus en 2017 (celles qui avaient 17 ans en 2007).

Sachant que les cancers du col de l’utérus sont rarissimes avant 25 ans, il est difficile de tirer la moindre conclusion solide de l’impact de cette première campagne de vaccination.

Regardons tout de même l’incidence du cancer du col de l’utérus en Suède, chez les jeunes femmes de moins de 29 ans :

Il n’y a absolument aucun « miracle » apparent lié à l’introduction du vaccin.

L’augmentation du nombre de cancers du col s’est même plutôt accélérée après 2010 !

Mais on ne peut pas vraiment en conclure quoi que ce soit (à part, répétons-le, qu’il n’y a pas la moindre trace d’éradication).

Et l’Australie ? Un peu mieux, mais ce n’est pas le Pérou !

Voyons maintenant l’Australie.

Là-bas, ils ont vacciné massivement les jeunes femmes jusqu’à 26 ans.

Contrairement à la Suède qui s’est focalisée sur les moins de 17 ans, l’Australie a offert la vaccination gratuite aux femmes de 18 à 26 ans, dès 2006.

Il faut donc regarder ce qui s’est passé pour les femmes de moins de 34 ans (les femmes les plus âgées de la cohorte vaccinée avaient 36 ans en 2016).

En plus, on sait que plus de la moitié d’entre elles ont reçu au moins une dose du vaccin (et plus d’un tiers ont fait leurs 3 doses)[9].

Ce n’est pas rien. Si ces vaccins sont miraculeux, on devrait donc voir quelque chose !

Cette fois, on constate une légère diminution du nombre de cancers du col entre 2012 et 2016 :

Est-ce que c’est lié à la vaccination ? À autre chose ?

Impossible de le dire ! Surtout quand on voit la baisse des années 1990, sans vaccin.

Dans tous les cas, on est loin, très loin, d’une « éradication ».

En réalité, il n’y a aucun signal clair en faveur du vaccin, dans aucun pays.

En Angleterre, par exemple, on vaccine les jeunes filles contre les papillomavirus depuis 2008…

…et voici l’évolution du nombre de cas de cancers du col chez les moins de 24 ans (voyez-vous l’accélération de la hausse, de 2010 à 2017 ?)

Je ne dis pas que les vaccins ont causé cette accélération (quoi que je ne dise pas non plus le contraire, on n’en sait rien).

Mais une chose est absolument certaine : 

NULLE PART, ON NE CONSTATE LE MOINDRE DÉBUT D’ÉRADICATION DU CANCER DU COL, NI MÊME DE BAISSE SIGNIFICATIVE DU NOMBRE DE CAS DE CANCERS DU COL SUITE AUX CAMPAGNES DE VACCINATION.

Donc, l’article du Parisien est de la propagande pure et dure !

Et c’est probablement sur ce genre de « torchon » téléguidé par Big Pharma qu’Emmanuel Macron s’est appuyé pour prendre sa « décision » !

L’heure est grave.

Les dégâts causés par les vaccins anti-Covid n’ont manifestement pas servi de leçon !

Si nous ne faisons rien, nous allons nous retrouver avec un nouveau vaccin « généralisé » ou « obligatoire » chaque année.

Transmettez cette lettre à tous vos contacts.

Informez les parents d’enfants en âge de recevoir ce vaccin.

De mon côté, je vous enverrai très bientôt d’autres éléments plus détaillés sur ces vaccins contre les papillomavirus.

Je vous expliquerai notamment que :

  1. Il n’est pas démontré de façon parfaitement convaincante que les papillomavirus humains (HPV) soient une cause directe des cancers du col de l’utérus ;
  2. Aucun essai clinique randomisé contre placebo n’a pu montrer l’efficacité du vaccin HPV pour éviter un seul cas de cancer du col de l’utérus ;
  3. Le vaccin HPV est un vaccin génétique créé à partir de cellules génétiquement modifiées, avec des risques de contamination de l’ADN, pouvant occasionner cancers et maladies neuro-dégénératives ;
  4. Le vaccin HPV contient de l’aluminium, une substance neurotoxique dont beaucoup de travaux pointent la dangerosité potentielle en tant qu’adjuvant vaccinal ;
  5. En plus des effets neurologiques graves révélés par les essais cliniques, les vaccins HPV ont fait l’objet d’un nombre élevé et inattendu de signalements à la pharmacovigilance, y compris pour des effets indésirables graves, et notamment des décès.

Voilà pourquoi on ne peut pas rester les bras croisés, sans rien faire.

Je compte sur vous pour diffuser l’information.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : je vous rappelle que j’ai écrit une sorte de « manuel » contre la désinformation vaccinale (mais qui « se lit comme un roman », selon certains lecteurs).

C’est un livre qui s’appelle Antivax toi-même, et je vous invite à vous le procurer et surtout à le faire connaître autour de vous.

Vous pouvez le trouver en librairie, ou bien le commander directement sur le site de la Fnac (ici) ou d’Amazon (ici).

Mes droits d’auteur sont reversés à la Fondation Hippocrate.

Les vaccinalistes nous promettent une « éradication » du cancer du col de l’utérus. Mais il y a un « léger » problème…  

Cher(e) ami(e) de la Santé,

« Le vaccin contre les papillomavirus permettra d’éradiquer le cancer du col de l’utérus ! »[1]

Voilà ce qu’a clamé à l’automne dernier François Braun, ministre de la Santé, dans l’enceinte de l’Assemblée nationale.

Son « patron » Emmanuel Macron a manifestement avalé cette énormité puisqu’il a annoncé la vaccination généralisée des filles ET des garçons dans nos écoles, en classe de 5ème.

(Je vous ai parlé la semaine dernière de cette décision dangereuse. Une pétition a été lancée depuis et je vous invite à la signer et à la partager autour de vous).

Bien sûr, éradiquer un cancer serait un progrès formidable, si c’était possible…

…mais la vérité, hélas, est qu’aucun vaccin n’est capable de réaliser un tel miracle.

Et je vais vous le démontrer… en me compliquant la tâche !

Oui, aujourd’hui, je vais faire comme si les vaccins contre les papillomavirus étaient « efficaces et sans danger ».

Ce n’est pas vrai, mais c’est intéressant d’imaginer un court instant qu’ils le sont.

Car je vais vous montrer que, même avec cette hypothèse (fausse) ultra-favorable au vaccin, il n’est pas raisonnable de vacciner massivement les adolescentes !

Voici pourquoi.

L’objectif du vaccin HPV (HPV = human papillomavirus) est de protéger les jeunes femmes du cancer du col de l’utérus.

Mais le vaccin n’agit pas directement contre le cancer lui-même : le mieux qu’il puisse faire, c’est de nous protéger contre les papillomavirus (les HPV).

Ce qui pose une question essentielle.

Est-on bien sûr que, si l’on éradique les « mauvais » papillomavirus, on éliminera bien le cancer du col de l’utérus ?

Eh bien non, ce n’est pas prouvé !

Car d’un point de vue scientifique, on ne peut pas affirmer avec certitude que les papillomavirus causent des cancers du col de l’utérus !

Je suis conscient que la « communauté scientifique » (vaccinaliste) est absolument convaincue du contraire.

Mais les faits sont là… et ils sont plus que troublants.

Quel rôle ont les papillomavirus dans les cancers du col ? On ne sait pas !

Il faut savoir que les autorités de santé sont toutes d’accord sur deux faits cruciaux[2] :

  1. La quasi-totalité des jeunes femmes sexuellement actives sont infectées, à un moment ou à un autre, par un des virus HPV qui circulent ;
  2. Et plus de 90 % d’entre elles se débarrassent facilement de ces virus, en moins de deux ans.

Autrement dit, les virus HPV sont totalement bénins pour l’immense majorité des femmes.

Dès lors, qu’est-ce qui fait que certaines femmes n’arrivent pas à éliminer ces virus ?

Sans surprise, avoir un système immunitaire affaibli (comme le fait d’avoir le SIDA) est une des principales causes reconnues officiellement des infections chroniques HPV.

Or, je rappelle qu’un système immunitaire affaibli est lié :

  • Parfois, à une vulnérabilité génétique, dès la naissance ;
  • Et souvent, à des comportements à risque, et donc une hygiène de vie peu propice à une « bonne santé ».

Ce qui pose forcément la question : les cancers éventuels du col de l’utérus sont-ils réellement causés par les papillomavirus…

…ou bien ces virus ne sont-ils que les témoins innocents d’un organisme en piètre santé, dont le risque est forcément plus élevé de contracter des maladies chroniques comme le cancer ?

La réponse scientifique honnête est : on ne sait pas vraiment.

Et même si l’on admet que les papillomavirus jouent un rôle aggravant dans l’avancée du cancer – c’est tout à fait possible ! – il est impossible d’en mesurer l’impact précis.

Est-ce que les HPV aggravent un peu, moyennement ou beaucoup le risque de cancer du col de l’utérus ? On ne sait pas !

Une chose est sûre : puisque la plupart des femmes se débarrassent des papillomavirus sans problème, c’est forcément que ces virus sont un co-facteur de cancer parmi d’autres (SIDA, etc.) et manifestement pas le plus important.

Et justement, il est très intéressant d’examiner les fameux « facteurs de risque » du cancer de l’utérus.

Voici tous ceux qui font l’objet d’un consensus scientifique :

  • Le fait d’avoir un système immunitaire très affaibli : ce sont les « immunodéprimés », en cas de SIDA ou de traitement immunosuppresseur ;
  • Le fait de fumer : le tabagisme multiplie par deux le risque de cancer du col – ce qui renvoie là encore à un affaiblissement du système immunitaire et une perturbation de la flore vaginale ;
  • D’autres infections génitales, comme les vaginites, l’herpès génital et les candidoses vaginales – ce qui pointe vers un problème d’immunité locale, et donc de terrain ;
  • Une flore vaginale inadéquate, pauvre en lactobacilles ;
  • La contraception hormonale et l’exposition au distilbène in utero.

Dans tout cela, quel rôle jouent vraiment les HPV (human papillomavirus) dans le développement du cancer ?

L’incapacité de l’utérus à se débarrasser d’un HPV ne serait-il pas d’abord le signe qu’il y a un problème local (déséquilibre de la flore vaginale) ?

Et n’est-ce pas ce problème local qui cause à la fois l’infection chronique et le cancer ?

Cela suffirait à expliquer pourquoi on trouve très souvent un HPV dans le col de l’utérus, en cas de cancer.

D’ailleurs, on lit un peu partout que le cancer du col de l’utérus est toujours associé à un virus HPV…

…mais ce n’est tout simplement pas vrai !

Je suis allé à la source, et j’ai découvert qu’on ne trouvait aucun virus HPV dans environ 15 % des cancers du col de l’utérus[3] !

Il est donc faux de dire que les virus HPV sont « une cause nécessaire mais non suffisante » de cancer du col… ils ne sont même pas une cause « nécessaire », puisqu’environ 15 % des cancers du col ne sont pas liés au moindre HPV !!

Au total, il est donc possible que le virus HPV ne soit pour rien du tout dans la cancérisation du col !

Mais si c’est le cas, comment expliquer que deux papillomavirus spécifiques (sur plus d’une centaine) semblent particulièrement dangereux ?

En effet, dans 70 % des cas de cancer du col de l’utérus, on trouve l’un de ces deux papillomavirus : le HPV-16 et HPV-18.

On en a conclu, un peu rapidement, que ces deux HPV étaient particulièrement « cancérigènes ».

C’est parfaitement possible, mais ce n’est pas certain.

Il se pourrait que ces deux HPV soient juste particulièrement habiles à déjouer le système immunitaire local !

Si l’on retrouve très souvent ces deux virus dans les cancers du col, c’est peut-être parce que les cancers du col sont toujours liés à un système immunitaire local défaillant…

…et qu’un système immunitaire défaillant a beaucoup de mal à se débarrasser de ces deux HPV, plus difficiles à éliminer que les autres !

Encore une fois, je n’affirme pas ici que les HPV n’ont aucun rôle dans la cancérisation du col de l’utérus.

La vérité est qu’il y a une incertitude sur ce point – on a des soupçons, mais aucune preuve définitive, contrairement à ce qu’on nous rabâche un peu partout !

Il n’y a même pas de « consensus scientifique » : un très grand nom de la virologie, Peter Duesberg, a signé en 2013 un article de recherche sur les causes physiologiques du cancer du col de l’utérus, qui conclut à l’innocence des virus HPV[4].

Le débat scientifique n’est donc pas tranché.

Et de toutes façons, même si les HPV avaient effectivement un rôle causal dans le cancer, ce rôle serait forcément limité, puisque, répétons-le, la plupart des femmes sont infectées par les HPV sans développer de cancer.

Tout ceci est TRÈS IMPORTANT, car cela jette le doute sur l’intérêt de la vaccination (même si elle était « sûre et efficace » !).

Imaginons une seconde – même si c’est peu vraisemblable – que les vaccins soient capables d’éradiquer les principaux papillomavirus impliqués dans les cancers du col de l’utérus.

Pour les fanatiques des vaccins, l’élimination de ces virus permettra « d’éradiquer les cancers du col de l’utérus ».

Or c’est déjà factuellement faux, puisqu’on a vu qu’on ne trouve pas de papillomavirus dans près de 15 % des cancers du col de l’utérus.

Mais même dans les 85 % de cas où l’on trouve la trace d’un HPV, l’effet sur le cancer reste très douteux, puisque les co-facteurs (HIV, tabac, flore déséquilibrée) ont un rôle énorme dans le développement du cancer.

J’ajoute une dernière chose, qu’on oublie toujours.

Même en admettant l’impossible, à savoir que 85 % des cancers du col seraient supprimés par l’éradication de ces HPV, eh bien cela ne veut pas dire qu’on sauvera « mille vies par an ».

Je parle de « mille vies », car on estime qu’environ 1 000 femmes décèdent du cancer du col de l’utérus chaque année en France.

Mais maintenant que vous avez compris que ces femmes ont généralement quantité d’autres problèmes de santé (SIDA, etc…), vous voyez bien qu’elles ont un risque élevé de mourir d’autre chose que de leur cancer du col de l’utérus.

Toute proportion gardée, c’est un peu comme pour le Covid-19 ou la grippe : ceux qui succombent à ces deux virus sont, dans l’immense majorité des cas, des personnes très âgées ou en piètre santé, qui avaient une espérance de vie extrêmement faible – et qui seraient certainement décédées dans les 2 ou 3 ans d’une autre cause.

Au total, on voit bien que l’impact sur la santé publique de ces vaccins HPV est extrêmement incertain.

D’autant qu’il faut ajouter un dernier élément au dossier :

La vaccination de masse pourrait même être contre-productive !

Je rappelle que dans cette lettre, j’ai fait comme si les vaccins étaient sûrs et sans danger.

Dans cette hypothèse (fausse), on pourrait penser qu’il n’y aurait aucun inconvénient à vacciner le plus de monde possible – même si l’on n’est pas sûr que les HPV causent le cancer !

Après tout, si le vaccin ne cause aucun problème de santé, pourquoi ne pas vacciner massivement, dans le doute ?

Eh bien il y a au moins deux raisons à cela.

D’abord, la vaccination de masse représente un coût non négligeable pour le contribuable. On parle d’un budget pouvant aller jusqu’à un demi-milliard d’euros par an[5] !

C’est une somme énorme, qui pourrait être utilisée à d’autres campagnes de santé publique, comme à faire de la prévention contre les problèmes de fond, comme le tabagisme, impliqué dans le cancer de l’utérus.

Ensuite – et c’est un point capital – la vaccination HPV comporte un gros risque : c’est que les femmes vaccinées se croient « protégées » et que certaines d’entre elles :

  • Ne soient plus incitées à arrêter de fumer en cas de découverte de lésion pré-cancéreuse dans le col de l’utérus ;
  • Ne se sentent plus incitées à prendre certaines précautions dans leur vie sexuelle ;
  • Et surtout, ne se sentent plus incitées à se faire dépister régulièrement !

Tout le monde dit que le dépistage (le « frottis ») a eu un rôle majeur dans la baisse continue du nombre de cancers du col de l’utérus depuis 50 ans.

Si le consensus scientifique est exact sur ce point, et que le dépistage est effectivement très efficace, la vaccination de masse pourrait être contre-productive, dans le cas où elle désinciterait les femmes à se faire dépister !

Ce n’est pas de la pure spéculation. Il y a quelques années, le Dr Philippe de Chazournes a mentionné une étude qui confirmerait ce risque :

« Une étude à Marseille, auprès de plusieurs centaines de jeunes filles, a même montré qu’elles ne se sentaient plus concernées par le dépistage, puisque… vaccinées »[6]

Même la Haute Autorité de Santé (HAS) a souligné ce risque lié à la vaccination anti-HPV.

Voici ce qu’écrivait la HAS en 2013[7] :

Les effets potentiellement négatifs pouvant être induits par la vaccination peuvent être les suivants :

  • diminution du recours au dépistage du cancer du col de l’utérus ;
  • décalage de l’incidence du cancer du col de l’utérus vers un âge plus avancé si un rappel devait s’avérer nécessaire et si certaines femmes négligeaient de recourir au dépistage ;
  • risque de voir augmenter le nombre de cancers du col de l’utérus liés à des types de papillomavirus humain oncogènes autres que ceux contre lesquels la vaccination protégeait».

Bref, tout ceci est la preuve, une fois de plus, que la vaccination n’est jamais une « baguette magique ».

Et on voit à quel point il est ridicule de dire avec aplomb que ce vaccin pourrait « éradiquer le cancer du col de l’utérus ».

Et pourtant, c’est bien notre ministre de la Santé qui l’a dit.

Le problème est que cela n’est pas simplement grotesque sur le plan scientifique.

Quand on connaît un peu les dégâts causés par les vaccins HPV, c’est potentiellement dramatique pour les jeunes filles qui en seront les victimes. Je vous en reparle bientôt – restez connecté.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Silence on tue.

Par : LHK
Il y a quelque temps, nous publiions un papier sur la surmortalité chez les moins de 14ans et nous demandions quels liens il y avait avec les injections effectuées massivement, y compris chez les femmes enceintes. Nous revenons sur le sujet grâce à une publication néozélandaise sur la ventilation de la surmortalité en fonction du […]

lilianehk

Vaccins : les énormités de Brigitte Autran

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Si vous avez encore un peu de respect pour la « parole officielle » sur la vaccination, lisez bien cette lettre jusqu’au bout.

Vous allez voir à quel point l’experte vaccinale la plus haut placée en France n’arrête pas de se ridiculiser dans des affirmations invraisemblables.

Je ne sais pas si c’est de la corruption ou de la religion vaccinale (plutôt du fanatisme vaccinal dans son cas).

Mais cela vaut la peine de découvrir ce que valent vraiment les « experts » qui édictent les recommandations vaccinales officielles.

Et cela fait écho à ma lettre récente sur ma « légitimité » à parler vaccination (je vous invite à la lire ici si vous l’avez manquée).

Que valent vraiment nos grands « pontes » de la médecine ou de l’immunologie ?

Vous allez le découvrir dans cette lettre… et vous allez voir que tous les diplômes du monde ne remplacent pas l’esprit critique et l’examen attentif des faits.

Vous êtes prêt ? Alors allons-y.

Notre « experte en chef » est Brigitte Autran, professeur émérite d’immunologie.

C’est elle qui préside désormais le nouveau « conseil scientifique », le COVARS (comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires).

Et cela fait des années qu’elle est dans le premier cercle des experts qui décident des recommandations vaccinales adressées aux Français[1].

Logiquement, lors de la crise Covid, elle a fait partie des principaux experts nommés par le pouvoir pour établir la « stratégie vaccinale ».

Et cela a été l’occasion pour elle de montrer tout son « savoir-faire » :

Le comble de l’ÉNORMITÉ pour une soi-disant « immunologue »

À peine nommée, en janvier 2021, elle profère cette incroyable perle :

« Nous pensons que l’immunité induite par les vaccins sera plus solide et durable que celle qu’entraîne l’infection »[2]

Pardon ?

Un vaccin, plus immunisant que l’infection elle-même ?

Mais cela ne s’est JAMAIS produit dans l’histoire des infections respiratoires !

Et il n’y avait aucune raison d’imaginer que le Covid-19 ferait exception à cette règle !

Au contraire, il y avait au moins deux raisons majeures de penser que ce ne serait certainement pas le cas.

D’abord parce que l’infection Covid, contrairement au vaccin, crée une forme d’immunité au niveau des muqueuses nasales. Le vaccin, lui, est injecté dans le muscle, ce qui le rend incapable de stimuler cette immunité-là, qui est pourtant notre premier rempart contre la multiplication du virus (infection : 1, Vaccin : 0).

Ensuite parce que l’infection conduit à produire des anticorps contre la totalité du virus – et non contre une petite partie du virus, comme c’est le cas des vaccins anti-Covid qui visaient uniquement la protéine spike (infection : 2, vaccin : 0).

Ainsi, comme on pouvait s’y attendre, les études scientifiques parues depuis 2021 ont toutes confirmé que l’immunité naturelle contre le Covid-19 était beaucoup plus solide et durable que l’immunité vaccinale[3].

Mais notre experte en chef, Brigitte Autran, avait « prédit » l’inverse !

Cela vaut la peine d’être « professeur en immunologie », n’est-ce pas ?

Ou peut-être est-ce lié à sa longue histoire d’amour avec les entreprises multinationales qui vendent les vaccins[4] ?

Une chose est sûre : Brigitte Autran a multiplié les énormités sur le sujet.

D’innombrables « perles » sur les vaccins anti-Covid

Regardez plutôt ces magnifiques saillies, que Brigitte Autran nous a livrées à la fin de l’année 2020, juste avant le début de la campagne vaccinale contre le Covid-19 :

B. Autran : « C’est vrai que c’est la première fois qu’il y a cette génération nouvelle de vaccins qui apparaît, mais pour l’instant tous les signaux sont au vert, et sont très rassurants »[5]

Très rassurants ? Non ! Quelques semaines plus tôt, je vous envoyais une lettre intitulée « Vaccin anti-Covid : je suis TRÈS inquiet »[6]

Avec le recul, je vous laisse juge de savoir qui d’entre nous a eu raison, sur les effets indésirables…

Mais continuons :

B. Autran : « Ce que nous savons, c’est que nous serons protégés contre la maladie. C’est-à-dire qu’en étant vacciné, on ne fera pas la maladie »[7]

C’est amusant, avec le recul, quand on voit le nombre de vaccinés qui ont eu le Covid-19, y compris après 3 ou 4 doses.

Et si vous me dites que c’est à cause des « variants », je vous dirai que leur apparition était 100 % prévisible (je vous l’avais écrit à l’époque), et donc que l’inefficacité vaccinale était inévitable à court ou moyen terme.

Encore plus incroyable :

B. Autran : « Si vous voulez éradiquer le virus, c’est-à-dire qu’il n’y ait plus du tout de virus, il faut vacciner tout le monde »[8]

Donc, Madame Autran imaginait possible d’éradiquer le Covid-19 !

Alors qu’on savait depuis le début que l’éradication du virus (« zéro Covid ») serait totalement impossible, du fait des nombreux réservoirs animaux.

Avançons maintenant au 2 juillet 2021 (juste avant la mise en place du pass sanitaire par Emmanuel Macron).

À cette date, on sait déjà que ces vaccins causent de graves effets indésirables, et notamment des myocardites (des inflammations du cœur parfois mortelles), notamment chez les adolescents[9].

Que nous dit Madame Autran ?

B. Autran : « La protection est démontrée, il n’y a pas d’effets secondaires, ce sont d’excellents vaccins. Il n’y a aucune raison, aucune raison de ne pas se vacciner »[10] (…)

Pire, au sujet des adolescents (qui ne risquent quasiment rien du Covid), elle demande alors que l’État « s’engage pour organiser la vaccination en milieu scolaire ».

Sinon, dit-elle, il faudra « rendre le vaccin obligatoire » !

Mais comment pouvait-on dire une chose pareille, au sujet d’un vaccin expérimental qui n’avait démontré aucune efficacité sur la transmission, et qui provoque des effets indésirables graves ?

Peut-être parce qu’elle était convaincue que c’était la « seule solution » pour se débarrasser du Covid-19 ?

Si c’est le cas, cela témoigne d’un aveuglement inouï sur l’efficacité réelle de ces vaccins – aveuglement que l’on retrouve d’ailleurs dans la même interview :

B. Autran : « Le vaccin marche contre le variant indien (Delta). Il faut avoir deux injections de vaccin et on est protégé. En Israël, il n’y a pas eu de mort, il n’y a pas eu d’hospitalisation chez les personnes qui ont eu deux injections de vaccin et qui ont attrapé le variant indien. » [11]

Or c’était de la pure propagande, sans le moindre fondement scientifique !

Peu de temps après, l’OMS reconnaîtra que l’efficacité des vaccins s’est effondrée contre le variant Delta[12].

Et la réalité du terrain sera encore plus cruelle.

Voici les vagues de morts Covid en Israël, suite à sa déclaration du 2 juillet 2021 (date marquée sur le graphique par la ligne verticale) :

Nombre de morts Covid-19 par million, en Israël, du 25 mars 2020 au 31 janvier 2023

Dans ces chiffres, il n’y a pas la moindre trace d’une efficacité vaccinale, ni contre l’épidémie, ni contre les « formes graves »… y compris après les 3ème et 4ème doses de « rappel ».

La vague de mortalité la plus haute a même eu lieu après la vaccination de masse !

Dernière énormité, sur les vaccins anti-Covid :

B. Autran : « La vaccination pour la femme enceinte, c’est bien pour elle et c’est bien pour le bébé»[13]

Dire cela était d’une imprudence inouïe, pour ne pas dire criminelle.

Car les femmes enceintes avaient été exclues des essais cliniques : il n’y avait donc pas la moindre donnée fiable permettant d’être serein sur les effets de ces vaccins expérimentaux sur les enfants à naître.

Dans le doute, la priorité est de ne pas nuire – surtout chez la femme enceinte.

Avec le recul, la parole de Brigitte Autran est encore plus glaçante : une analyse récente du statisticien Pierre Chaillot montre une corrélation entre les injections réalisées au 3ème trimestre de grossesse et le nombre d’enfants mort-nés[14].

Et c’est donc avec cet incroyable palmarès de prédictions et déclarations :

  • invraisemblables,
  • imprudentes,
  • et démenties par les faits…

…que Madame Autran a été nommée un an plus tard présidente du nouveau conseil scientifique !

On vit une époque formidable, non ?

J’ai encore de nombreuses énormités de sa part à vous livrer, cette fois datant d’avant l’époque Covid, mais je me rends compte que j’ai déjà été long.

Alors je garde la suite pour une prochaine lettre.

Attendez-vous à des déclarations sidérantes de notre « experte en chef » sur les vaccins contre la variole, la polio, la rougeole, etc.

Restez connecté !

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Cher(e) ami(e) de la Santé,

Avez-vous vu le film « Un jour sans fin », avec Bill Murray et Andie MacDowell ?

J’aime beaucoup ce film (dont le titre original anglais est « Groundhog day » : le jour de la marmotte).

C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve soudainement condamné, par une forme de sortilège, à revivre la même journée… tous les jours !

Il se réveille chaque matin au même endroit, le même jour (le jour de la marmotte, un évènement célébré aux États-Unis chaque année).

C’est infernal, car quoi qu’il fasse, il est condamné à revivre la même journée.

Mais ce qui est intéressant, c’est qu’il a la possibilité d’agir différemment, à chaque fois.

C’est la possibilité pour lui – un homme cynique et auto-centré – de devenir meilleur.

Et il lui faudra beaucoup de temps avant de rompre le sortilège.

Il passera des jours et des jours, à revivre la même journée, et à refaire les mêmes erreurs.

Et vous savez à quoi cela me fait penser ?

À la vaccination de l’époque moderne !

Plus je travaille sur les vaccins, plus j’ai l’impression que c’est le même « film ».

La même propagande… le principe de précaution bafoué… une efficacité mal démontrée… et des effets indésirables camouflés.

À chaque fois, l’industrie pharmaceutique utilise les mêmes « ficelles » pour arriver à ses fins…

…et à chaque fois, cela passe comme une lettre à la poste !

Il est grand temps de faire comme Bill Murray : apprendre de nos erreurs et devenir meilleurs pour décrypter la propagande vaccinale.

Sinon, nous nous réveillerons, chaque nouvelle année, avec un vaccin obligatoire supplémentaire !

Regardez plutôt la dernière annonce du ministre de la Santé :

Après l’hépatite B, une autre obligation vaccinale dangereuse pour nos adolescents ?

Il y a quelques semaines, François Braun a annoncé son souhait de généraliser la vaccination contre les papillomavirus en France.

Il a même déclaré qu’il n’excluait pas de rendre cette vaccination obligatoire[1].

Et tenez-vous bien…

…il a même utilisé l’exemple de ce vaccin-là pour s’opposer à la réintégration des soignants suspendus !!

C’était à l’Assemblée nationale :

« Quel message vous envoyez (en voulant réintégrer les soignants non-vaccinés Covid) si l’on songe aux autres vaccinations à venir !

Que me direz-vous, par exemple, lorsque je viendrai vous proposer une vaccination contre le papillomavirus ? »[2]

Puisque vous posez la question, Monsieur le ministre de la Santé, voici ce que je vous dirai.

Écoutez-bien, car il faut que cela rentre dans vos oreilles, une bonne fois pour toute :

LA VACCINATION N’EST PAS UNE RELIGION, PAS UNE BAGUETTE MAGIQUE !

CHAQUE VACCIN DOIT S’APPRÉCIER AU CAS PAR CAS, EN FONCTION DE SON RAPPORT BÉNÉFICE-RISQUE, ÉVALUÉ PAR DES EXPERTS INDÉPENDANTS DE L’INDUSTRIE.

Ce devrait être une évidence, mais cela ne l’est pas dans notre monde médical moderne.

Et la volonté de vacciner la totalité des adolescents contre le papillomavirus est encore un exemple accablant de la dérive vaccinaliste récente.

J’ai l’impression de revivre ce qui s’est passé avec le vaccin contre l’hépatite B !

Je vous renvoie à mes lettres à ce sujet[3] : même si le vaccin contre l’hépatite B était sûr et efficace (ce qu’il n’est pas, loin de là), il n’y aurait toujours aucune bonne raison de vacciner la totalité des nouveau-nés contre une maladie d’adultes, touchant essentiellement les toxicomanes.

Rien que le coût pour le contribuable dépasse largement le gain espéré – cela avait d’ailleurs été démontré par l’INSERM en 1995, qui avait appelé à ne vacciner que les populations à risque[4].

Et je vais vous montrer qu’il en va exactement de même avec le vaccin HPV, contre les papillomavirus (HPV signifie « human papillomavirus »).

Je préfère vous prévenir tout de suite : il s’agit d’un des vaccins les plus toxiques qui existe[5]. De nombreuses adolescentes sont devenues handicapées à vie, ou criblées de douleurs, après cette vaccination[6].

De plus, il n’existe aucune preuve scientifique solide de son efficacité, à savoir sa capacité à éviter le cancer du col de l’utérus.

Et le plus dingue, dans tout ça…

…c’est qu’il n’y a même pas de preuve solide que les papillomavirus visés par le vaccin sont vraiment la cause directe des cancers de l’utérus !!

On est donc, peu ou prou, dans la même situation que pour le vaccin contre l’hépatite B – dont la plupart des parents acceptent sans broncher qu’il soit injecté à leur nourrisson – à savoir :

1) Il n’est pas démontré de façon parfaitement convaincante que :

– le virus de l’hépatite B chronique soit une cause directe des cirrhoses et des cancers du foie ;
– les papillomavirus humains (HPV) soient une cause directe des cancers du col de l’utérus ;

2) Aucun essai clinique randomisé contre placebo n’a pu montrer l’efficacité :

– du vaccin hépatite B pour éviter un seul cas grave d’hépatite, et un seul cas de cirrhose ou de cancer du foie ;
– du vaccin HPV pour éviter un seul cas de cancer du col de l’utérus ;

3) Le vaccin hépatite B, comme le vaccin HPV, sont des vaccins génétiques, créés à partir de cellules génétiquement modifiées, avec des risques de contaminations de l’ADN, pouvant occasionner cancers et maladies neuro-dégénératives ;

4) Le vaccin hépatite B, comme le vaccin HPV, contient de l’aluminium, une substance neurotoxique dont beaucoup de travaux pointent la dangerosité potentielle en tant qu’adjuvant vaccinal ;

5) Aucun essai clinique n’ayant été réalisé contre un vrai placebo, il est impossible d’évaluer le nombre d’effets indésirables graves avec un haut niveau de confiance. On sait toutefois que les deux vaccins (hépatite B et HPV) sont très risqués, car ils ont fait l’objet d’un nombre élevé et inattendu de signalements à la pharmacovigilance, y compris pour des effets indésirables graves, et notamment des décès.

Et tout cela, je vous le démontrerai en détail, dans de prochaines lettres.

L’effort en vaut la peine, pour comprendre jusqu’où va la religion vaccinale.

Et c’est la santé de nos jeunes filles et jeunes garçons qui est en jeu.

Car je répète qu’Emmanuel Macron envisage de rendre obligatoire, pour tous les adolescents, ce vaccin HPV.

Restez connecté – et transférez cette lettre à tous les parents que vous connaissez, ayant des enfants de moins de 15 ans, qui seront concernés à un moment ou à un autre.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Quand les références de la cosmologie divisent les scientifiques

Par : LHK
La société du 21ème siècle est réputée technocratique. Cela signifie que sa gouvernance s’appuie sur un système administratif qui envahit littéralement les structures sociales et politiques et dans lequel les experts et les technocrates prennent un pouvoir prédominant . Les élus passent et et les « experts » restent. Or voilà que cela fait des années que […]

lilianehk

Monsieur Bazin, quelle est votre légitimité ?

Un rédacteur en chef de BFM TV juge que je n’ai pas la « légitimité » pour mériter d’être invité. Voici ma réponse.

Mon éditeur m’a transmis un message qui m’a fait chaud au cœur.

Ce message vient d’un professeur de médecine, Romain Gherardi.

Le Pr Gherardi, c’est lui :

Le Pr Gherardi, interviewé sur France 5 en 2016, à la sortie de son livre Toxic Story[1]

Romain Gherardi a dirigé un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (The Lancet, The New England Journal of Medicine, Brain, etc.).

Au début des années 2000, il s’est spécialisé dans la vaccination. En particulier dans les dégâts causés par l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins.

Son livre Toxic Story est une petite merveille (j’en avais fait un compte-rendu à sa sortie en 2016[2]).

Bref, le Pr Gherardi est un très grand expert des vaccins.

Voilà pourquoi j’ai vraiment été heureux de lire ce message qu’il a adressé à mon éditeur :

« Je viens de terminer la lecture d’« Antivax toi-même » que vous m’avez adressé et je tiens à féliciter Xavier Bazin pour ce remarquable travail.

Aucun lecteur s’il est informé et sincère ne pourra nier la pertinence des critiques formulées sur le système mis en place pour promouvoir le tout vaccinal et museler tout débat contradictoire sur le sujet.

Je mesure la somme énorme de travail que cet ouvrage a demandé à son auteur pour compiler une documentation rare et hyperpointue et polir un ouvrage parfaitement clair et passionnant à lire.

Bravo ! Et vive la liberté d’expression !

Romain Gherardi. Professeur émérite »

L’une des forces du Pr Gherardi est qu’il est totalement indépendant de l’industrie pharmaceutique.

C’est extrêmement rare dans le monde vaccinal. Mais il n’est pas totalement seul.

C’est le cas aussi du Dr Michel de Lorgeril, épidémiologiste chevronné, chercheur CNRS, qui a écrit plus de 10 livres sur les vaccins.

Et comme le Pr Gherardi, Michel de Lorgeril a eu des mots très élogieux sur mon livre Antivax toi-même !, dans la préface qu’il a bien voulu rédiger.

Cela fait déjà deux bonnes raisons de reconnaître que j’ai une « légitimité ».

Si deux grands experts indépendants comme le Pr Ghérardi et le Dr de Lorgeril défendent mes travaux, c’est qu’ils sont sérieux.

A minima, cela veut dire qu’ils sont bien argumentés, bien sourcés et sans faille évidente.

Mais je voudrais aller un cran plus loin.

Je voudrais vous expliquer pourquoi, même si je ne suis ni docteur en médecine, ni expert en immunologie, je suis capable de parler de la vaccination avec compétence, sans rougir devant les grands « pontes ».

Mais d’abord, peut-être vous posez-vous la question : pourquoi est-ce que je ressens soudain le besoin de me justifier ?

BFM TV ne m’invitera jamais, au prétexte que je n’ai pas de « légitimité »

A la sortie de mon livre, j’ai subi une attaque en règle de Raphaël Grably, rédacteur en chef adjoint au sein du groupe BFM TV.

Suite à mes critiques du vaccin Gardasil contre les papillomavirus, il a violemment réagi sur Twitter, écrivant que mon propos « peut littéralement coûter la vie à des jeunes femmes potentiellement touchées par le cancer du col de l’utérus »[3].

Un peu plus tard, un brin provocateur, je lui ai demandé quand BFM TV comptait m’inviter pour parler de mon nouveau livre, Antivax toi-même.

Voilà sa réponse, toujours sur Twitter :

Le sujet de ma « formation » me paraît vraiment à côté de la plaque. 

Quel pourrait être l’intérêt de savoir quelle formation j’ai suivie à l’âge de 20 ans, si mes écrits, aujourd’hui, reçoivent la caution de grands experts indépendants ?

Cela dit, je vais quand même lui répondre.

J’ai fait Sciences Po Paris, et en suis sorti dans le top 10 %. Cela ne me donne pas de légitimité particulière (j’observe avec désolation que la majorité de mes anciens camarades n’ont AUCUN esprit critique), mais cela suggère que j’ai la capacité d’analyser des données complexes.

Ce n’est pas ma « formation » qui me donne la légitimité, mais une compétence spécifique que la plupart des médecins n’ont pas.

Pourquoi 99,9 % des médecins ne connaissent RIEN à la vaccination

Si j’avais un « Dr » devant mon nom – Dr Bazin 🙂 – cela ferait « bien », certes, mais dans la réalité, cela ne me donnerait pas une once de légitimité supplémentaire.

Pour une raison simple : les médecins n’ont dans leur cursus qu’une poignée d’heures de cours[4] sur la vaccination en tout et pour tout !

Moi qui ai passé des milliers d’heures à étudier le rapport bénéfice-risque de nombreux vaccins, cela me donne une légère longueur d’avance sur la plupart des médecins !

Le pire est que les médecins croient savoir : la plupart d’entre eux sont certains que les vaccins sont « sûrs et efficaces »… mais ils ne l’ont jamais vérifié par eux-mêmes, ils se contentent de croire sur parole l’establishment médical !

D’accord, mais… les médecins ne sont-ils pas des spécialistes du corps humain ? Cela ne leur donne-t-il pas une légitimé pour parler vaccination ?

NON ! Pas du tout ! Je sais que c’est contre-intuitif, mais voici l’explication.

S’agissant des vaccins, le savoir médical de base est totalement inopérant pour déterminer s’ils sont sûrs et efficaces.

Ni la biochimie, ni la physiologie, ni la connaissance des maladies.

Pour évaluer un vaccin, il existe UNE SEULE compétence reine.

Certains médecins/chercheurs la possèdent, mais pas tous, loin de là.

Et à l’inverse, il n’y a pas besoin d’être médecin pour la maîtriser.

LA grande compétence nécessaire pour parler vaccin avec sérieux

Cette compétence, c’est de savoir lire et analyser les études scientifiques qui évaluent l’efficacité (et l’innocuité) des vaccins sur des êtres humains, et en particulier les essais cliniques et les études observationnelles.

C’est tout !

Aucune connaissance physiologique, aucune connaissance biochimique, aucune connaissance immunologique ne peut vous dire en soi si tel ou tel vaccin est sûr ou efficace.

En réalité, les seules données réellement utiles sont :

  • celles issues des essais cliniques (quand on teste le vaccin sur des patients volontaires) ;
  • et celles issues des études observationnelles, celles qui examinent ce qui s’est passé en « vie réelle », après avoir vacciné un certain nombre de personnes dans la population.

Donc, pour évaluer le bénéfice-risque de la vaccination, il suffit d’être particulièrement aguerri dans la lecture des essais cliniques et des études observationnelles.

Ce n’est pas facile, mais c’est à la portée de la plupart des gens ayant fait des études supérieures.

Je répète : il n’y a pas besoin d’avoir fait médecine pour cela, et ce n’est pas en fac de médecine qu’on apprend cela !

En revanche, cela exige du travail – beaucoup de travail – et de l’expérience.

Car pour se faire un avis sérieux sur un traitement médical, il ne suffit pas de lire les « résumés » (abstracts) des études publiées.

Prenez la fameuse étude frauduleuse du Lancet, concluant faussement à l’inefficacité et même dangerosité de l’hydroxychloroquine.

Elle est parue le 22 mai 2020. Trois jours plus tard, le 25 mai, je vous ai écrit que c’était une étude « poubelle » (en vous expliquant pourquoi[5]).

Au même moment, les grands pontes des plateaux de télé nous assuraient du contraire. Par exemple, le Pr Philippe Juvin expliquait sur CNews que l’étude était « très bien faite »[6].

Quelques jours après, le pot aux roses a été dévoilé : toutes les données de l’étude avaient été purement et simplement falsifiées.

Voilà ce qui me donne de la légitimité : je sais reconnaître une bonne d’une mauvaise étude.

Et c’est un savoir fondamental, surtout dans le monde des vaccins dans lequel il existe d’énormes pièges à connaître et à éviter.

Le piège le plus énorme : le biais des « vaccinés en bonne santé »

Le piège le plus basique – mais aussi le plus pernicieux – est de croire sur parole les études qui vous disent qu’un vaccin est efficace… simplement parce qu’on a observé que les personnes vaccinées sont moins souvent infectées par la maladie visée.

Bien sûr, si on observe cela dans le cadre d’un essai clinique bien conduit, c’est un argument fort en faveur de l’efficacité du vaccin.

Mais je vous rappelle que, s’agissant des vaccins, il n’existe quasiment aucun essai clinique bien conduit : la plupart des vaccins n’ont fait l’objet d’aucune étude randomisée contre placebo (c’est choquant, mais c’est un fait avéré[7]).

Donc, la plupart des études dont on dispose sont « observationnelles » : ce sont celles qui examinent si, au sein de la population, ceux qui ont choisi de se faire vacciner sont moins affectés que les non-vaccinés par la maladie visée.

Or cela se heurte à un biais ÉNORME.

Un biais ignoré par la plupart des médecins et chercheurs, qui oublient un fait capital, un fait qui change tout : le fait que ceux qui choisissent de se faire vacciner sont en moyenne en meilleure santé que les autres.

Quand on y réfléchit une seconde, c’est parfaitement logique : ceux qui respectent le plus les recommandations vaccinales sont ceux qui s’informent le plus auprès des médias dominants et font le plus confiance au « système », à savoir les catégories socio-professionnelles les plus favorisées… qui sont aussi en meilleure santé en moyenne.

(Certes, il y a une catégorie à part… dont vous faites peut-être partie, chers lecteurs : une catégorie d’un bon niveau socio-professionnel ET critique vis-à-vis de la vaccination… mais cette catégorie-là est très minoritaire et n’affecte pas vraiment la statistique moyenne).

A l’extrême opposé, parmi ceux qui se vaccinent le moins, on trouve majoritairement les personnes les plus en rupture avec la société ou la médecine (SDF, toxicomanes) – ou les plus isolées (pensez aux personnes âgées pauvres éloignées du système médical, qui ignorent qu’ils ont du diabète ou de l’hypertension).

De plus, pour prendre le temps de se faire vacciner, il faut avoir de l’énergie et se préoccuper de sa propre santé. A l’inverse, ceux qui sont déjà très affaiblis ou ceux qui n’attachent aucune importance à leur santé (en multipliant les comportements à risque, sexuels, alimentaires, addictifs, etc…) vont rarement faire l’effort de se vacciner.

Tout ceci a clairement été démontré pour le vaccin contre la grippe. Voici la conclusion de chercheurs qui ont examiné le profil de ceux qui choisissaient ce vaccin[8] : « ceux qui se vaccinent le plus sont ceux qui en ont le moins besoin », c’est-à-dire ceux qui sont en meilleure santé et moins vulnérables.

Pour enfoncer le clou, d’autres chercheurs ont eu la bonne idée d’examiner le nombre de morts de vaccinés et de non-vaccinés avant la saison grippale, donc au moment il n’y avait encore aucun cas de grippe[9]. Résultat : ils ont trouvé qu’il y avait déjà plus de morts chez les non-vaccinés, preuve que les non-vaccinés étaient plus fragiles que les autres dès le départ (et figurez-vous que, quand on retirait ce biais, on ne trouvait plus aucune efficacité au vaccin contre la grippe !).

Je pourrais multiplier les exemples.

Ainsi, dans la plupart des cas, on juge inutile de vacciner (contre la grippe ou le Covid) les patients en phase terminale de leur maladie.[10]. C’est du bon sens médical, mais cela biaise les statistiques d’efficacité vaccinale, car cela augmente artificiellement le nombre de morts « Covid » non vaccinés.

Donc, il faut avoir une méfiance immense vis à vis des études « observationnelles ». Surtout quand elles sont financées par l’industrie pharmaceutique, ou rédigées par des experts en conflit d’intérêts.

C’est pourquoi je n’ai jamais pris au sérieux les nombreuses « études » publiées en 2021 clamant l’efficacité des vaccins anti-Covid contre les « formes graves ».

Car il est très facile pour des statisticiens expérimentés de tordre les chiffres pour obtenir le résultat désiré – et d’autres que moi ont démontré les nombreux biais qui ont effectivement été utilisés pour faire croire à une haute efficacité vaccinale[11].

A l’inverse, les essais cliniques contrôlés – le meilleur niveau de preuve scientifique – n’ont démontré aucune efficacité des vaccins anti-Covid sur les formes graves.

Donc l’argumentaire vaccinaliste reposait uniquement sur des études comportant un haut risque d’être biaisées, avec souvent des auteurs en conflit d’intérêts avec Pfizer[12].

On manquait cruellement d’études fiables, et c’était une bonne raison de rester sceptique sur l’efficacité réelle de ces vaccins.

Voilà pourquoi il est crucial de bien connaître les « biais » des études scientifiques : c’est la condition sine qua non pour évaluer correctement l’intérêt des traitements médicaux et des vaccins.

Et sur ce sujet, je prétends avoir acquis au fil des années une compétence très significative – et c’est ce qui me donne ma principale légitimité.

Je le répète : ce n’est pas parce qu’on a étudié pendant 10 ans le fonctionnement du système immunitaire que l’on peut se permettre le moindre jugement crédible sur l’efficacité d’un vaccin.

Les « théories » sur ce qu’est « censé » faire un vaccin ne pèsent rien par rapport aux résultats réels observés sur des êtres humains.

Dois-je rappeler ces paroles incroyables du Dr Saluzzo, expert auprès de l’OMS et directeur de production des vaccins chez Sanofi pendant 10 ans ?

« Comment faire un vaccin ? C’est très intéressant, car on ne sait pas le faire. Il n’y a pas de recette. Chaque fois qu’il y a un virus nouveau qui arrive, c’est un problème. (…)

Pourquoi ? Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins est que l’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. (…) Quand un virus nouveau apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et si on peut s’en inspirer »[13].

Cela paraît fou, mais c’est logique : le système immunitaire est le système le plus complexe de notre organisme… et il est encore largement incompris par la science moderne !

Rendez-vous compte : même le nombre d’anticorps que vous avez dans le sang ne peut pas vous dire de façon fiable si vous êtes protégé ou non de la maladie concernée[14].

C’est pourquoi, je le répète, le guide le plus sérieux en matière d’évaluation vaccinale, ce sont les essais cliniques et les études observationnelles qui évaluent la réalité des conséquences vaccinales sur des patients en chaire et en os… et c’est bien cela qu’il faut savoir parfaitement lire et analyser.

Et voilà pourquoi, même si je ne suis ni chercheur, ni docteur, ni professeur, je prétends pouvoir vous parler vaccin avec sérieux et compétence !

Bonne santé,

Xavier Bazin

En décembre 2022, nous avons vécu l’épidémie de « grippe » la plus MORTELLE depuis des années… et personne n’en parle !

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Une étrange maladie grippale a circulé en décembre dernier.

Je vous en ai longuement parlé dans ma dernière lettre (disponible ici si vous ne l’avez pas lue).

Cette « grippe » a la particularité de durer plusieurs semaines, avec fatigue anormale et toux grasse persistante… et avec un risque important de causer des bronchites ou des pneumonies.

Après vos plus de 1200 témoignages confirmant cet étrange phénomène, j’en ai recueilli encore des centaines suite à ma tribune à ce sujet sur France Soir[1].

Dans le lot, j’ai aussi reçu quelques remarques et objections.

Cela tombe bien, car j’ai continué mon enquête… et j’ai du nouveau à partager avec vous.

Mais d’abord, écartons une idée absurde :

NON, cette « grippe » n’était pas le Covid !

Un certain « Ari Kouts » s’est ouvertement moqué de mon article, en affirmant sur Twitter que cette grippe étrange de Noël n’était évidemment rien d’autre que… le Covid[2] !

J’avais pourtant précisé que beaucoup de gens touchés par cette grippe avaient réalisé un test Covid revenu négatif (personnellement, j’ai fait 3 auto-tests, tous négatifs).

Mais selon ce Monsieur, ce n’est pas une preuve suffisante :

« Le souci c’est que certains font des tests à la maison ou tests rapides qui ne sont pas toujours très performants avec omicron. Donc on peut comprendre qu’ils pensent que c’est autre chose ».

Je ne sais pas si les auto-tests sont moins performants sur les derniers variants. C’est possible.

Mais il y a deux raisons pour lesquelles la « grippe de Noël » n’était clairement pas le Covid.

La première est le ressenti des patients – c’est subjectif mais non négligeable.

Après 3 ans d’épidémie Covid, presque tous les Français ont été infectés au moins une fois par le coronavirus.

Ils savent ce que c’est que d’avoir le Covid.

Personnellement, je l’ai eu deux fois et les symptômes étaient très comparables, les deux fois. Or, la « grippe » de Noël qui m’a cloué au lit n’avait vraiment rien à voir avec le Covid.

Et vos centaines de témoignages l’ont confirmé : pour vous non plus, cette grippe bizarre ne ressemblait pas au Covid.

Et puis, il y a un autre élément, objectif :

Au moment où vous avez eu cette « grippe étrange »… il y a eu une épidémie DÉVASTATRICE de « syndromes grippaux » !

Si l’on regarde bien les chiffres officiels, le Covid était en recul lorsque l’épidémie de « grippe » a décollé.

C’est ce qu’a confirmé, fin décembre, la « cheffe » du nouveau conseil scientifique français, Brigitte Autran :

titre france info

Le 28 décembre, Santé Publique France s’est d’ailleurs inquiété de la virulence de l’épidémie grippale, avec une explosion des hospitalisations.

Pire, l’organisme public relevait une anomalie : en proportion, il y avait autant de « vieux » que de « jeunes » admis en réanimation[3] !!

C’est très inhabituel, pour une « grippe ».

Mais cela cadre bien avec les témoignages que vous m’avez envoyés – ainsi qu’avec mon propre cas personnel : je ne comprends toujours pas comment j’ai pu subir une complication sérieuse liée à cette grippe (une pneumonie !), alors que je suis jeune (40 ans) avec une très bonne hygiène de vie.

Le journal la Voix du Nord a donné un aperçu de la gravité de la situation, le 30 décembre :

« Quinze patients admis pour grippe dans les services de réanimation et de soins intensifs sur les cinquante lits : de mémoire de médecin, du jamais vu en quinze ans de service au CHU de Lille.

‘Autant de cas en même temps, c’est inédit’, appuie le centre hospitalier universitaire. »

Mais savez-vous ce qui m’étonne le plus ?

C’est que cet article de presse a été l’exception, pas la règle. Très peu de médias ont parlé de la virulence de cette « grippe de Noël ».

Cette omerta est d’autant plus étrange que les statistiques de décès sont sans précédent !

Ces chiffres officiels sont sidérants : pourquoi n’en a-t-on pas plus parlé ?

Déjà, le nombre de cas de « syndrome grippal » est assez inédit. On le voit bien avec les chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé[4].

En France, le pic de cas en semaine 51 de l’année 2022 (tout à droite) établit un record sur les 10 dernières années :

On voit bien qu’il y a une flambée brutale, rapide, avec énormément de cas en même temps… mais sur courte période : 3-4 semaines seulement.

Et si l’on regarde le nombre de décès, le caractère inédit de la situation est encore plus flagrant[5] !

On le voit à l’œil nu : le pic de la fin 2022 est deux fois plus élevé que le précédent « record » de l’hiver 2018-2019.

N’est-ce pas un « évènement » qui mériterait qu’on en parle davantage ?

Le silence des médias français et occidentaux est d’autant plus étonnant que le phénomène est international.

Dans tout l’hémisphère Nord, il y a eu également un « record » du nombre de syndromes grippaux en décembre 2022, par rapport aux 10 années précédentes[6] !

Et l’exemple de l’Angleterre confirme que ces syndromes grippaux n’avaient rien de bénin.

Le graphique ci-dessous montre le nombre d’hospitalisations pour « grippe » depuis 2017. Là encore, le mois de décembre 2022 (ligne noire en gras) établit un record inédit[7] :

Autre fait troublant : cette grippe plus virulente que d’habitude était prévisible… mais personne ne nous avait prévenu !

En effet, on sait que l’hémisphère Sud subit les épidémies grippales quelques mois plus tôt qu’au Nord, lorsque c’est l’hiver chez eux.

Or il y a quelques mois, l’Australie a elle-même vécu une saison grippale particulièrement virulente : là-bas aussi, il y a eu un record de cas sur 10 ans[8] !

Que se passe-t-il ? Pourquoi parle-t-on si peu de cette « grippe » de tous les records ?

Et d’ailleurs, s’agissait-il finalement d’une simple grippe ?

Au final, ce « virus étrange » était-il simplement une grippe ?

Au début de mon enquête, j’étais convaincu que le « virus de Noël » n’était pas une vraie grippe.

Pour une raison simple : les symptômes de la grippe « classique » ne correspondent pas du tout à ceux de la pseudo-grippe de décembre dernier.

Pour moi, la grippe, c’est ce que décrit Philippe Amouyel, professeur de santé publique au CHU de Lille :

« Lorsqu’on a vraiment la grippe, en général on s’en souvient : on est clous au lit 4-5 jours avec de la fièvre et on a mal partout[9].

En effet, j’ai eu la grippe étant enfant, et je m’en souviens comme si c’était hier – notamment les douloureuses courbatures. Je me souviens aussi du sentiment de libération absolu que j’ai ressenti quand la maladie a disparu, subitement.

Mais ce que j’ai vécu à Noël n’avait rien à voir : c’était moins violent, mais étalé sur plusieurs semaines, avec fatigue et toux anormale – et vous avez été des centaines à me témoigner de la même chose, en disant que vous n’aviez « jamais été malade comme ça ».

Donc, mon premier réflexe a été de penser que c’était un nouveau virus – et pas la grippe.

Toutefois, avec les graphiques que je vous ai montrés, je n’en suis plus aussi certain.

Certes, il est toujours possible qu’il s’agisse d’un nouveau virus – car les chiffres officiels comptent les « syndromes grippaux », sans toujours savoir avec certitude s’il s’agit ou non de « vraies grippes » (tous les virus des patients ne sont pas analysés).

Mais je pense maintenant qu’il pourrait s’agir d’une grippe mutante.

Après tout, le virus de la grippe mute en permanence, et il est difficile de savoir si les différents variants ne peuvent pas produire des symptômes très différents.

De plus, j’ai été particulièrement frappé par cette interview donnée par le virologue Etienne Decroly à France Info, quelques jours avant Noël[10] :

C’est le seul article de presse qui parle de ce sujet… pourtant EXPLOSIF !

Car Etienne Decroly nous dit ici deux choses capitales :

  • Que c’est une mutation de la grippe qui la rend plus virulente ;
  • Et que cette mutation rend le vaccin « partiellement inefficace».

Mais il dit tout ça en deux petites phrases… et il passe à autre chose… alors qu’on aimerait vraiment en savoir plus !

J’ai donc contacté le Pr Decroly, mais il ne m’a malheureusement pas répondu.

Au total, ne trouvez-vous pas cette affaire de « grippe de Noël » particulièrement intrigante ?

Pourquoi semble-t-il y avoir une omerta des médias et des autorités sur le sujet, malgré le nombre record de décès et les symptômes inhabituels ?

Ce silence du monde occidental cache-t-il quelque chose ?

Je ne sais pas, mais comptez sur moi pour continuer à chercher la vérité.

Bonne santé,

Xavier Bazin

[Mise à jour]Ursula von der Leyen, ou la toute-puissance de la meilleure amie de la supra-élite internationale.

Par : LHK
« Le fascisme devrait plutôt être appelé corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’Etat et des pouvoirs des marchés ». Cette définition nous vient directement du Duce, Benito Mussolini. C’est dire s’il sait de quoi il parle. Il est indispensable, à l’ère de la financiarisation et du tout-numérique, de rappeler le danger qui […]

lilianehk

Vos plus de 1 200 témoignages sont indiscutables : il y a bien une « maladie étrange » qui circule en ce moment

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Je ne suis pas là pour vous faire peur, au contraire.

Mais suite à vos témoignages, je suis bien obligé de dire qu’il se passe quelque chose.

« Effectivement j’ai aussi contracté ce nouveau virus sans nom. Je ressens une fatigue comme je n’ai jamais connu. » (Didier)

« Tout comme vous je suis sidérée, ainsi que mon conjoint, par ce qui vient de nous arriver. » (Corinne)

« Je n’ai jamais été malade comme cela même avec le covid. » (Evelyne)

« J’entame la troisième semaine d’une espèce de grippe – bronchite, qui ne veut pas se déloger. Ça perdure, je n’ai jamais vu ça. » (Trish)

« Effectivement c’est une grippe un peu bizarre comme je n’ai jamais eu de ma vie. » (Traka)

« Toujours pas remise. J’ai 60 ans et je n’ai jamais été malade comme ça ! Très très bizarre cet état. » (Evelyne)

« Stupéfaite de lire ce message de vous aujourd’hui. Nous avons eu exactement chez nous la même chose que chez vous, mot pour mot ce que vous décrivez, dans les mêmes conditions » (Carmelina)

« Je suis toujours sous antibiotiques à cause d’une toux qui ne veut pas partir. Je n’ai jamais eu de tels symptômes de ma vie. » (Ratiba)

« J’ai eu exactement ce que vous décrivez. Et je ne n’en sors pas. Je n’y comprends rien. » (Marie)

Et ce n’est qu’un minuscule échantillon des messages que j’ai reçus de votre part.

Vous trouverez des dizaines de témoignages passionnants à la fin de cette lettre, mais j’ajoute simplement ici celui de Véronique, assistance médicale :

« J’ai constaté depuis plusieurs semaines de nombreux cas similaires à votre description. Comme s’il y avait un virus hybride qui ressemble à la fois aux symptômes COVID et grippe mais qui ne se décèle pas avec les nouveaux tests. »

Oui, on dirait qu’un nouveau virus étrange est en circulation.

Je vais vous révéler les résultats de mon enquête à ce sujet dans une seconde.

Mais d’abord, je précise que ce n’est pas forcément inquiétant.

Certes, cette maladie étrange est très pénible pour les malades qui trainent souvent de la toux et de la fatigue pendant plusieurs semaines (je suis bien placé pour le dire !).

Mais je n’ai connaissance d’aucun cas gravissime.

Donc pas de panique.

En même temps, il faut oser voir qu’il se passe quelque chose.

À ce jour, aucun média n’a parlé de ce nouveau « syndrome grippal » étrange, qui a pourtant touché tant de gens depuis décembre.

Mais ce n’est pas grave.

Car vous et moi, ensemble, nous pouvons essayer d’éclaircir la situation, avant tout le monde.

Grâce à vos plus de 1 200 témoignages, j’en sais désormais beaucoup plus, sur ce « mal étrange ».

Mais d’abord, permettez-moi de revenir une seconde sur mon propre cas.

Depuis ma dernière lettre, on m’a diagnostiqué une PNEUMONIE !

Je vais entrer dans des détails un peu personnels, car je pense que le récit d’un cas individuel comme le mien peut être éclairant (et c’est le seul sur lequel je possède tous les détails – prise de sang, etc.).

J’ai 40 ans et une (très) bonne hygiène de vie : bonne alimentation, sports variés au moins 4 fois par semaine, compléments alimentaires utiles, etc…

Pendant des années, j’ai échappé aux virus hivernaux. Mais courant 2022, j’ai attrapé deux fois le Covid, en janvier et juin – je m’en suis toutefois sorti facilement, avec les traitements appropriés.

Et puis, comme je vous l’ai raconté dans ma dernière lettre, un peu avant Noël, j’ai été cloué au lit plusieurs jours par un mystérieux syndrome grippal – beaucoup plus sérieux.

La deuxième semaine, au moment où, habituellement, on se sent mieux, j’avais encore beaucoup de fatigue, peu d’appétit, pas le moral et une toux grasse persistante (à tel point que je me suis déchiré un petit muscle intercostal).

J’étais d’autant plus abattu qu’aucun des remèdes naturels auxquels j’avais habituellement recours avec succès ne semblait fonctionner.

La troisième semaine, j’ai cru que je remontais enfin la pente. Ça allait un peu mieux, et je pensais que j’allais naturellement vers la guérison totale.

C’est à ce moment-là que je vous ai écrit ma lettre « un nouveau virus étrange circule-t-il ? ».

Et puis patatras.

Juste après vous avoir envoyé cette lettre, une belle fièvre est revenue.

Cette fois, j’ai immédiatement pris rendez-vous avec un médecin (« intégratif » bien sûr).

J’aurais peut-être dû le faire plus tôt, mais je n’ai vraiment pas l’habitude d’aller chez le médecin pour une infection respiratoire !

En tout cas, il était temps de le faire, car une prise de sang et une radio du thorax ont révélé une bonne pneumonie. Donc une surinfection bactérienne.

Je n’ai pas eu trop le choix : j’ai immédiatement commencé un traitement antibiotique.

Au total, je soupçonne mon syndrome grippal « étrange » de m’avoir vraiment affaibli, à tel point qu’il a laissé la voie grande ouverte à une infection bactérienne.

Il faut dire que j’ai perdu beaucoup de poids les premières semaines (je faisais peur à voir). Et l’analyse sanguine a en plus révélé une sévère anémie (nombre insuffisant de globules rouges), certainement liée à une chute de mes réserves de fer.

Bref, si je vous raconte tout cela, c’est que cela résonne avec beaucoup de vos témoignages.

Sidérant : voici ce que vos 1 200 témoignages RÉVÈLENT

Vous êtes vraiment très nombreux à m’avoir dit avoir vécu « la même chose que moi », et à peu près au même moment.

Vous trouverez à la fin de cette lettre une grosse sélection de vos témoignages, je vous conseille de les lire car cela montre bien qu’il se passe quelque chose.

Mais, en synthèse, voici ce qu’il faut retenir de vos 1 200 témoignages :

  • D’abord, vous êtes plusieurs centaines à m’avoir dit avoir eu un syndrome grippal étrange au mois de décembre. Bien sûr, avoir la grippe en décembre n’est pas une nouveauté, mais vous avez presque toujours précisé que ce n’était pas une grippe habituelle– et je vous crois sur parole, j’ai vécu la même chose ! C’est moins virulent que la grippe… mais cela dure plus longtemps ;
  • Vous êtes nombreux à m’avoir dit ne « jamais avoir été malade comme ça» (et cela veut dire quelque chose car bon nombre d’entre vous avez un âge respectable) ;
  • Vous êtes aussi un certain nombre à m’avoir précisé que, d’habitude, vous n’êtes jamais malade;
  • Autre fait troublant, certains d’entre vous ont précisé qu’aucun des remèdes naturels qui, habituellement, vous sortaient d’affaire rapidement, ne semblaient avoir d’effet cette fois-ci (ce que j’ai vécu aussi).

Venons-en maintenant au plus important : vos symptômes.

Chez quasiment tout le monde, le mal commence par des symptômes de type pseudo-grippal (voire même un simple rhume).

Puis, et c’est ce qui est très anormal, cela persiste dans le temps, parfois plusieurs semaines avec toujours :

  • De la toux (généralement grasse)
  • Et une fatigue anormale

Voilà les points communs de la plupart de ceux qui m’ont dit avoir eu cette étrange maladie.

Mais il y a aussi plusieurs symptômes vécus par certains, mais pas chez tout le monde :

  • Perte d’appétit
  • Extinction de voix
  • Mal de gorge
  • Nez bouché
  • Mal de tête
  • Perte temporaire et relative du goût
  • Sueurs nocturnes
  • Douleurs au dos

Autre point très important : vous êtes un certain nombre à avoir eu des complications.

Les deux complications les plus courantes que vous rapportez sont :

  • La bronchite
  • Et la pneumonie

Mais il y a eu aussi des sinusites, conjonctivites, trachéites, angines.

Dans beaucoup de cas, vous avez alors eu droit à un traitement antibiotique… qui a généralement résolu le problème (mais pas toujours).

Voici un témoignage parmi des centaines, qui illustre bien tout ceci, celui de Fabienne :

« Je suis moi-même abasourdie de ce que je constate également. Je suis rarement malade de la grippe et si cela m’arrive je résous le problème en moins d’une semaine avec des inhalations aux huiles essentielles, des tisanes de thym sarriette gingembre, du chaï, des oligo-éléments et parfois de l’homéopathie.

Or le lundi 26 décembre, cela m’est tombé dessus d’un coup, après avoir été en contact avec ma fille qui n’a pas arrêté de tousser durant deux jours.

Je suis restée trois jours au lit avec une forte fièvre, dans le noir, extrêmement affaiblie et sans appétit, j’avais juste la force de me lever pour aller aux toilettes et éplucher un kiwi et une poire à manger par jour. Une toux a commencé à se déclarer le vendredi et à chaque sortie que je faisais, s’en suivait une rechute qui aggravait mon état. Cela fait plus de vingt jours. Je suis restée fatiguée, apathique et avec une toux très grasse (laryngite) et un rhume.

Mon médecin homéopathe trop inquiet de l’aggravation de mon état m’a mis sous antibiotiques, même si je déteste ça j’ai préféré commencer le traitement depuis hier de peur d’avoir des complications au niveau des bronches.

La pharmacienne que j’ai vue trois fois m’a confirmée qu’elle voit des patients qui subissent le même sort, une grippe qui s’étend dans la durée et des rechutes régulières avec des complications. »

Encore une, fois, je vous invite à lire ma sélection de 100 témoignages (sur plus de 1 200 !), ci-dessous, pour vous faire une idée plus précise.

Mais maintenant, il faut essayer d’EXPLIQUER ce phénomène étrange.

Que se passe-t-il ? Voici différentes explications possibles

D’abord, je rappelle quelques certitudes :

  • Ce mal étrange n’est clairement pas le Covid : tous ceux qui se sont testés ont été négatifs (et pour avoir vécu le Covid 2 fois, je peux témoigner que cela n’a rien à voir) ;
  • Il ne s’agit pas non plus d’une grippe « habituelle » : là encore, tous ceux qui l’ont eu ont clairement ressenti qu’il ne s’agissait pas d’une grippe normale (et pas non plus d’un rhume ou d’un syndrome grippal habituel).

Alors, de quoi s’agit-il ?

Une première hypothèse – la plus simple – est qu’il ne s’agirait pas d’un nouveau virus.

Il pourrait s’agir d’un virus habituel de l’hiver, qui existe depuis longtemps… mais qui généralement n’a pas beaucoup de succès.

Mais cet hiver, il aurait infecté beaucoup plus de monde que d’habitude :

  • Peut-être parce que le temps a été exceptionnellement doux aux environs de Noël, et que cela aurait favorisé ce virus spécifique ;
  • Et/ou parce que les 3 ans que nous venons de vivre, avec nouveau coronavirus et ses variants, confinements et distanciation sociale, ont peut-être chamboulé la hiérarchie habituelle des virus de l’hiver.

Je signale en passant que certains lecteurs soupçonnent pour leur part une forme « d’empoisonnement », lié à différents phénomènes (5G, graphène, pollution atmosphérique, chemtrails, etc.).

Mais on peut aussi faire l’hypothèse qu’il s’agirait bien d’un nouveau virus !

Ce serait cohérent avec vos témoignages disant que vous n’avez « jamais vécu ça ».

Et puis, ce serait cohérent avec… ceci :

Top santé

Le titre est trompeur : il n’a pas été découvert, mais provoqué en laboratoire.

Des chercheurs ont infecté des cellules humaines avec deux virus : le virus de la grippe et le virus respiratoire syncitial (VRS), responsable de la bronchiolite[1].

Résultat : ils ont observé que les deux virus ont « fusionné » pour former un « nouveau virus hybride ».

C’est très frappant, je trouve, car les symptômes du « mal étrange » peuvent faire penser à un mélange de grippe et de bronchiolite (notamment la toux persistante et les bronchites fréquentes qui s’ensuivent).

Dans l’article de Top Santé, il est même précisé ceci :

« Ce nouveau virus hybride serait capable d’accéder à un plus large éventail de cellules pulmonaires. Car, alors que la grippe infecte généralement les cellules du nez, de la gorge et de la trachée, le VRS a tendance à descendre plus bas dans les poumons, provoquant une infection plus grave. »[2]

Ce qui pourrait expliquer la pneumonie de beaucoup de mes lecteurs… et la mienne aussi !

Et puis, hasard ou non, un phénomène récent a justement pu favoriser une « hybridation » du virus de la grippe et du VRS (bronchiolite).

Car l’automne dernier, on a eu une superposition inhabituelle de l’épidémie de grippe et de bronchiolite :

  • L’épidémie de bronchiolite a été particulièrement sévère en novembre…
  • Et l’épidémie de grippe a commencé plus tôt que d’habitude, mi-novembre… ce qui a fait qu’elle s’est superposée à celle de la bronchiolite !

On a là tous les ingrédients nécessaires à la création d’un virus hybride !

Cela dit, il y a une grosse objection contre cette thèse.

Cela fait des centaines d’années que la grippe et le VRS circulent. Pourquoi a-t-il fallu attendre cette année 2022 pour qu’ils s’hybrident ?

C’est pourquoi je tiens à aborder une autre hypothèse : le rôle de la vaccination.

Depuis deux ans, plus d’un milliard de personnes ont été injectées avec des vaccins à ARN messager.

Ces vaccins sont totalement nouveaux : non seulement ils contiennent le code génétique d’une partie du coronavirus (la protéine spike)… mais ils conduisent nos propres cellules à fabriquer cette protéine spike.

Donc, si l’on vaccine un individu déjà infecté par un autre virus, cela créé un vrai risque de recombinaison virale – de création d’un nouveau virus !

Le généticien Christian Vélot avait très tôt alerté sur cet énorme risque lié à la vaccination de masse.[3]

Alors, le « nouveau virus » pourrait-il être un virus recombinant Covid-grippe, ou bien Covid-VRS, causé par les vaccins anti-Covid à ARN messager ?

C’est une hypothèse crédible, car ces trois virus sont des virus à ARN, donc davantage susceptibles de se recombiner entre eux.

Enfin, il y a une dernière hypothèse.

Depuis une dizaine d’années, le nombre d’expériences dangereuses en laboratoire a explosé.

Aujourd’hui, il est manifeste que la folie de certains virologues n’a plus de limite.

La preuve : alors même qu’il est désormais évident que le Sars-Cov-2 a été artificiellement fabriqué en laboratoire…

… des chercheurs de l’Université de Boston se sont récemment « amusé » à créer un dangereux coronavirus mutant en :

  • Prenant la protéine spike du variant Omicron BA-1 (plus infectieux)…
  • Et en la fusionnant avec le reste du coronavirus de Wuhan (plus mortel) ![4]

Et des manipulations dangereuses comme celle-ci, il s’en produit partout dans le monde !

Souvent, elles sont réalisées sous le sceau du « secret défense », en lien avec la recherche d’armes biologiques.

On ne peut donc pas écarter l’hypothèse que le « virus étrange » soit directement issu d’une expérience de laboratoire.

Voilà la totalité de mes hypothèses, à ce jour.

Qu’en pensez-vous ?

Dites-le-moi, en commentaire, j’aimerais beaucoup avoir votre avis !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS-1 : message à mes lecteurs encore accablés par ce mal étrange.

Je vous encourage vivement à aller faire une prise de sang, en demandant une formule sanguine complète (FSC), pour vérifier :

  • Si vous n’êtes pas anémié (hémoglobine et hématocrite en dessous des normes) ;
  • Et surtout si vous n’avez pas une infection bactérienne en cours!

Pour le savoir, il faut diviser le nombre de neutrophiles par le nombre de lymphocytes (on appelle cela le « ratio neutrophiles sur lymphocytes »[5]).

Si le résultat est supérieur à 7, alors vous avez très probablement une infection bactérienne (s’il est supérieur à 10, c’est quasiment une certitude), et je vous invite alors à consulter un médecin sans tarder.

PS-2 : comme promis, je vous livre une sélection de 100 témoignages révélateurs :

Bonjour Xavier, Oui ici aussi, pas vaccinés, vie saine au grand air (nous dirigeons un centre équestre rural), pas d’alcool, nourriture saine, sommeil suffisant, …et pourtant malades, toux, mal de gorge, migraine, extrême fatigue… Peu de fièvre mais surtout fatigue. Qu’est-ce que c’est ???

Nous n’allons jamais chez le médecin, pas plus là que d’habitude : que ferait-il pour nous ? Nous nous soignons aux plantes, tisanes, vitamines, compléments alimentaires, beaucoup de sommeil…et on attend que ça passe. Aleth.

Effectivement j’ai aussi contracté ce nouveau virus sans nom. Je suis à plat depuis plus de 3 semaines maintenant. Une première alerte vers le 20 décembre avec un état grippal : toux sans fièvre ni rhume mais bien pris des bronches et le nez qui coule de temps à temps. Après quelques soins de base (Doliprane, sirop sans sucre pour moi et diabétique et un peu de ventoline). Un léger mieux pendant 3 jours puis reprise du phénomène accentué cette fois ci. Direction le médecin de mon lieu de vacances qui me dit de continuer le même traitement et antibiotiques au bout de trois jours si pas d’amélioration. Trois jours après cela continue mais faute d’antibiotique en pharmacie, je continue le traitement et retour à la maison.

Je décide de retourner chez mon médecin traitant qui me prescrit de l’azithromycine pendant 5 jours. Fatigue excessive et essoufflement s’ajoute à mon état et des malaises vagaux. Au bout du compte pas amélioration significative. Retour chez le médecin qui détecte des ronflements importants dans mes poumons. Verdict grosse bronchite ! Il me prescrit cette fois 1 g d’Amoxicilline 125, 3 x/ jours pendant 7 jours et inhalation de Trimbow 87/5/9 2X/j. Depuis, au 4ème jour ma toux a bien diminué mais je me traine. Incapable de marcher 500 m et souvent essoufflé. Je suis vacciné contre la grippe et réalisé le vaccin covid (4ème dose) environ 10 jours avant les premiers symptômes.

Je sens une fatigue comme je n’ai jamais connu et je ne dors pas très bien. Merci pour votre alerte en espérant pouvoir mettre un nom sur ce virus et trouver le bon remède pour me remettre sur pied. Cordialement. Didier

Vous avez écrit exactement ce que nous aurions pu écrire !!!!!

Nous avons eu les mêmes questionnements.

Mon époux et moi-même avons été malades aussi en décembre.

Nous sommes aussi rarement malades et toujours remis sur pied très rapidement

Cette fois ci, cela a duré et cela a été difficile à soigner : nos traitements habituels naturels qui renforcent le terrain se révélant peu efficaces.

Nous avons donc fait plein d’essais (artémisia, ravintsara, gouttes aux essences, ……). Le ravintsara et le mucomyst ont été très favorables pour mon mari, mais pas pour moi.

Le plus étonnant : mon mari a été testé positif covid 2 fois, et moi, avec les mêmes symptômes, j’ai été 2 fois négative….

Nous avons constaté aussi beaucoup de malades dans notre entourage. Cordialement

Martine

Bonjour Mr Bazin, votre mail m’interpelle car j’aurais pu l’écrire. Tout comme vous je suis sidérée, ainsi que mon conjoint, par ce qui vient de nous arriver.

Nous nous réjouissions encore le 25 décembre en partageant un apéritif avec des voisins, de n’avoir pas même attrapé un rhume depuis plusieurs années. Le covid ne nous a jamais vraiment inquiétés, j’ai même soigné des personnes malades et gardé une petite fille de 5 ans qui était positive au covid (je ne l’ai su que le lendemain).

Notre confiance est renforcée par toute la prévention que nous mettons dans notre quotidien : alimentation équilibrée, un peu d’activité physique et cures régulières de compléments (vit D et C, zinc, magnésium, oméga 3, antioxydants etc…).

Et subitement le 26/12 mon conjoint se retrouve KO au point de ne pas pouvoir se lever, mon tour est arrivé le lendemain.

Nous sommes restés dans cet état plus de 10 jours et ne sommes toujours pas guéris !

Alors la grippe je sais ce que c’est, la dernière que j’ai attrapée était virulente et remonte à plus de 40 ans (ça ne me rajeunit pas de dire ça).

Mais la saleté que nous venons d’attraper a peu de similitudes avec les grippes que j’ai connues.

J’ai eu des symptômes très bizarres qui m’ont fait penser à un emballement et un débordement de mon système immunitaire.

Mon ressenti m’a amenée à penser que cette grippe n’a rien de « naturel ».

Nous ne sommes pas vaccinés et vivant la plupart du temps en montagne, nous n’avons jamais vraiment porté de masque ni restreint nos contacts depuis 2019.

Comment expliquer ce qui nous est tombé dessus alors que nous n’étions ni faibles, ni surmenés ?

Je vous remercie pour votre mail qui vient conforter notre réflexion. Corinne.

Oui !!!! Moi aussi j’ai 44 ans, en bonne santé. Ça fait plus de 20 ans que je ne me rappelle avoir été aussi mal que ces 3 dernières semaines (aussi souvent disant virus grippal), pas d’antibiotiques, des gouttes décongestionnantes, des sirops pour la toux des paracétamol pour faire diminuer la fièvre et jusqu’à présent j’ai une narine bouchée et je ne goutte toujours pas bien le goût des aliments ! Très bizarre ! Moi aussi je me suis dit j’étais fort fatiguée à la fin de l’année et bcp de tensions émotionnelles mais aussi j’ai remarqué autour de moi bcp de gens malades différemment que d’habitude. Même le covid que j’ai attrapé 2 fois ne m’a pas mis dans cet état ! Bizarre…. Salem.

Idem pour mes petites-filles venues de Miami avec 40 de fièvre, réparties au bout d’une semaine avec 38. Idem pour moi 15 derniers jours de décembre. Idem pour mon mari malade depuis début janvier. Fièvre qui ne passe pas, qui fait le yoyo : on croit que c’est fini et ça repart. Quintes de toux épuisantes sans vraiment d’infection pulmonaire : ça ne « mûrit » pas. Transpiration abondante la nuit : tout est trempé. Obligés de changer draps, vêtements de nuit, prendre une douche en pleine nuit. Monique.

Bonjour Xavier, stupéfaite de lire ce message de vous aujourd’hui. Nous avons eu exactement chez nous la même chose que chez vous, mot pour mot ce que vous décrivez, dans les mêmes conditions. Et cela a entraîné chez nous les mêmes interrogations que vous exprimez. Personne à la maison n’est vacciné. Nous prenons des traitements préventifs pour l’immunité tels que vitamine C et D naturelle etc. je suis très rarement malade et ça ne dure jamais longtemps. Cette année pour les fêtes justement j’ai été à terre à cause de cette « grippe » plus de 40 de fièvre et plus de 3 jours sans pouvoir me lever.

Le médecin nous a mis sous antibiotiques ensuite car cela avait viré en bronchite. À la fin des antibiotiques aucune amélioration… Aujourd’hui la toux est tjs la, accompagnée d’une fatigue indescriptible. Mon fils et mon mari exactement pareil !

Sauf que moi je ne suis presque jamais malade, en tout cas dans ma vie j’ai rarement été dans un tel état…

Voilà pour chez nous Xavier…

Mais alors vraiment trop étonnée de votre lettre d’aujourd’hui. Et du coup je me pose encore plus de questions. Carmelina.

Bonjour, il y a plus d’un mois j’ai eu un syndrome grippal qui a duré une semaine sans problème ; mais depuis une semaine ou j’ai attrapé un deuxième syndrome beaucoup plus costaud surtout la fatigue extrême au point de perdre connaissance. Je suis toujours sous antibiotiques à cause d’une toux qui ne veut pas partir. En tout cas, je n’ai jamais eu de tels symptômes de ma vie. Sachant que je n’ai jamais eu de COVID et je ne suis pas vacciné contre. Ratiba.

Bonjour Xavier, merci pour votre travail. Oui, j’ai eu cette sorte de grippe le 3 décembre, j’ai toussé pendant des semaines (jusqu’à me casser une côte), ça s’est transformé en pneumonie et là je ne suis toujours pas guérie.

Trois fois négative au test antigénique (ici en Italie on ne fait plus de PCR), je suis pourtant convaincue avoir eu le Covid, parce que j’ai perdu complétement l’odorat pendant des jours et que j’avais les D-dimères très élevés.

Et pourtant j’avais eu le Covid en mars, et puis une deuxième fois juste un mois avant d’attraper ce virus. Mais cette forme est bien plus sévère !

J’ajoute que j’ai eu une seule dose de vaccin, mais de Novavax (qui n’est pas à ARN messager).

D’ailleurs, moi aussi j’étais en état de surmenage et j’ai recommencé à travailler avant d’être complètement guérie, après la phase « grippale ».

Comme vous, j’ai plein de gens autour de mois qui ont eu ou ont en ce moment ce virus, et chez certains ça s’est transformé en pneumonie comme chez moi.

Voilà mon expérience !

J’espère en sortir vite et sans séquelles… Martina, 42 ans, Turin

J’ai eu exactement ce que vous décrivez : ça a commencé par une grippe vers le 18 décembre. J’ai passé 3-4 jours au lit avec de la fièvre puis ça allait mieux. Jusque-là rien d’anormal. Mais depuis, et ça fait donc un mois, il y a comme différents virus qui me ré-agrippent tous les 3 ou 4 jours. Et j’ai mal au ventre et la nausée depuis 2 semaines. Je ressens une grande fatigue bien que je dorme énormément… Je n’y comprends rien. J’essaie de me sortir de cet état avec de nombreuses tisanes, vitamines etc. Et je ne n’en sors pas. Mes parents ont eu la même chose mais cela s’est compliqué pour eux au niveau pulmonaire. Mon père a même fait un épisode de détresse respiratoire et ils ont pris plusieurs antibiotiques… Si vous réussissez à comprendre un peu ce qu’il se passe, cela m’intéresse beaucoup ! Merci ! Bonne journée. Marie

Pour ma part, je suis également rarement malade, je ne suis pas vaccinée et je suis malade également depuis le 23 décembre, à l’heure actuelle j’ai tjr la toux, j’ai mal au dos car à force de tousser je me suis décollé deux côtes. Je me suis dit la même chose que mon corps a besoin de sortir tout cela, de se nettoyer. Je suis vite fatiguée. Je suis en Suisse. Ingrid.

Vos interrogations sont à la fois rassurantes et déconcertantes, en effet mon mari et moi même étions au fond du lit tous les deux la veille du 31 décembre avec une belle bronchite et fièvre, nous ne sommes pas tout à fait remis actuellement…

Depuis 2015 je n’avais pas « attrapé » ni de rhume ni de « maladies », et n’avais jamais eu de bronchite… très étrange …

Nous nous sommes toujours « frottés » à nos familles toutes vaccinées, nous non, donc pas d’exclusion, nous sommes assez surpris …

Belle journée à vous et merci pour vos messages, lettres d’informations etc. Natacha.

Bonjour M. Bazin, une de mes amies a contracté un virus juste avant Noël qui a engendré une pneumopathie avec fièvre et toux, anémie et très grosse fatigue.

Elle a été très secouée avec manque de souffle, perte de la voix et épuisement total.

On lui a parlé de virus puis d’une bactérie qui se serait infiltré dans ses poumons.

Je pense qu’elle a dû recevoir les vaccins « anti covid ».

C’est assez ahurissant en effet. Je vous souhaite un bon rétablissement. Isabelle.

Bonjour, j’ai été terrassée par ce virus que l’on appelle grippe

Il est d’une virulence comme je n’avais jamais connu

Cela fait maintenant un mois et j’ai dû me resigner à prendre antibio et cortisone pour peut-être voir le bout du tunnel

Après forte fièvre durant plusieurs jours, courbatures etc., une toux a débuté

Et la sphère ORL complètement prise

Aujourd’hui mal de gorge genre angine, toujours toux grasse et productive et grande fatigue

Alors je me demandais comment cela se faisait-il que j’avais attrapé ce virus moi qui chouchoute tant mon système immunitaire

Je me pose également des questions. ML

Bonjour, j’ai subi la même situation à savoir pendant 4 semaines (la 2è quinzaine de décembre étant la plus dure), je toussais et je tousse toujours un peu actuellement, 1 à 2 jours de frisson et un peu de fièvre en moyenne par semaine. Ce n’est pas aussi virulent que la grippe mais la maladie dure anormalement longtemps ! Et je ne suis pas le seul à attraper cela car il y a aussi ma femme, et beaucoup de personnes dans ma famille et autour de moi ! Pour moi c’est vraiment un phénomène nouveau. A chaque début de fièvre, je fais une inhalation d’huile essentielle de ravintsara et un peu de menthe poivrée. Cela calme immédiatement l’état fiévreux jusqu’à la prochaine poussée qq jours après. Willy

Je ne peux vous apporter que mon témoignage personnel. J’ai vécu les fêtes seulement très fatiguée. Mais mercredi dernier je me suis retrouvée complètement aphone. Et depuis dimanche, c’est la toux et une forte fièvre qui ne cède pas (supérieure à 39). Moi aussi je m’étonne. Je n’ai pas tendance à faire de la fièvre, et à ce point-là, je ne me souviens pas, surtout si longtemps. Je pensai en avoir pour une semaine, mais la semaine est achevée, et je suis toujours au pic de la maladie. Épuisement, fièvre, toux constante, maux de tête, très difficile d’absorber quoi que ce soit, rien de solide, uniquement du bouillon. Je n’ai pas souvenir d’avoir été à ce point malade depuis mon enfance !

Je vous remercie de votre courrier qui me fait me sentir moins seule. Françoise

Oui moi aussi, excellent taux immunitaire, pas de vaccin ni grippe ni Covid, jamais malade, un virus grippal m’a terrassée le 2 décembre et clouée au lit pendant 3 jours, et depuis je retrouve mes forces seulement depuis une semaine……et durant tout ce temps j’ai subi une toux sèche qui se manifeste encore de temps à autre surtout le matin au réveil. Un reste de fatigue encore inhabituelle pour moi. Un sacré virus qui résista à toutes mes habitudes de soins naturels ! Plein de gens autour de moi ont subi le même sort en décembre. Eliane.

Moi aussi idem, j’ai attrapé un virus le 16 décembre…d’abord mal à la gorge. Je me suis soignée avec les huiles essentielles et les granules homéopathiques, mais ne suis pas arrivée à me soigner comme d’habitude. Alors j’ai consulté : angine m’a-t-on dit, 6 jours d’antibiotiques. 2 jours après je tousse comme jamais je n’ai toussé, je reconsulte : bronchite (alors que j’étais sous antibios), la toux ne s’améliore pas et j’ai l’impression d’étouffer quand je tousse car ça ne veut pas se décrocher…je reconsulte on me dit : grippe et j’ai dû passer radio pulmonaire. On a vu une dilatation des bronches et plein de mucus alors que j’étais sous antibio avant que je tousse. Je n’ai jamais été malade comme cela même avec le covid. je précise que je ne suis pas vaccinée. Aujourd’hui 11 janvier je n’ai toujours pas repris toutes mes forces, suis fatiguée, ai souvent mal à la tête (je n’ai jamais mal à la tête d’habitude). Je tousse encore après 8 jours d’antibiotiques (le médecin avait prolongé le traitement). Voilà comment j’ai fini et commence l’année. Evelyne

Ma mère et moi avons aussi été clouées au lit pour Noël. Vu le médecin, grosse bronchite pour toutes les deux qui pour la 1ère fois et étrangement a résisté quelque peu aux antibiotiques, 4 semaines après nous commençons seulement à aller mieux mais la toux persiste (pour nous cet état c’est du jamais vu) ! Nous ne sommes pas vaccinées. D.

Bonjour, eh bien oui, moi aussi, trois jours avant noël, clouée au lit du jour au lendemain, terrassée. Fièvre pendant cinq jours, vue floue, grande faiblesse et aujourd’hui, toujours pas guérie…Mon petit-fils de 4 mois me l’a passé, lui, toujours enrhumé depuis plus d’un mois… Ni grippe, ni covid d’après les tests et plein de gens autour de moi avec le même virus. Une vraie saleté qui ne me semble pas naturelle en effet. Même mon médecin s’interroge. « Avec leurs injections, ils ont complètement chamboulé l’écosystème », sont ses paroles. Je n’ai pas eu leur « vaccin » non plus et personne de ma famille. Bernadette.

Depuis trois semaines j’ai ce syndrome grippal avec bronchite, sous antibiotiques. Rétablissement très lent. Vaccinée quatre fois contre le covid et attrapé le covid en avril dernier. Vaccinée contre la pneumonie. Marion.

En effet, le fils de mon compagnon, étudiant en chiropractie à Barcelone, est tombé malade le 12 décembre. Non vacciné, sportif, alimentation saine, sans gluten. Au lit pendant 8 jours, symptômes grippaux forts + toux bronchitique, puis encore plusieurs jours avant d’être rétabli. Mon compagnon est du coup lui aussi tombé malade, du 19 décembre jusqu’au 3 ou 4 janvier. Très fatigué, toux grasse la nuit. Non vacciné, a eu un covid avec hospitalisation en août 2021.

Ma fille, à Paris, tombée malade le 18 ou 19 décembre, syndromes grippaux, vaccinée, à peu près rétablie pour Noël.

Quant à moi, qui était avec mon compagnon malade, j’ai eu un point douloureux dans le fond de la gorge du 26 décembre au 7 janvier, avec qqs jours de toux sèche la nuit et petit rhume. SP.

Oui moi aussi, j’ai été malade le 29 décembre, comme un coup de fusil

Tests négatifs covid et grippe

Bronchite surinfectée !!!!

Nous sommes le mercredi 11 janvier 2023 et toujours pas remise. Cette toux persiste avec un état subfébrile????

J’ai été sous ATB et Ventoline car je désaturais !!!! avec maux de tête ++++++++ et vomissements… j’ai 60 ans et je n’ai jamais été malade comme ça ???????

Très très bizarre cet état. Evelyne.

J’ai eu un état grippal le 27 décembre 2022 qui s’est transformé en pneumonie, hospitalisé 1 semaine, arrêt maladie prolongé de 15 jours

16 jours plus tard je suis toujours fébrile avec une douleur côté droit et une gêne respiratoire. CG.

Tout comme vous j’ai passé le réveillon et le début d’année au lit et aujourd’hui je tousse encore énormément… je suis épuisée… cela faisait plus de 30 ans que je n’avais pas été malade et là… cette grippe m’a laminée, forte fièvre, très grosse fatigue et je n’arrive pas à remonter la pente… Roseline.

Effectivement nous avons aussi plusieurs personnes (disons 4/5) autour de nous qui ont été bien malade durant les fêtes dont certains ont déclenché par la suite une pneumonie. Nos filles (12-15ans) ont eu aussi un bon rhume a cette période, ça faisait longtemps qu’elles n’ont pas eu 40 de fièvre… j’ai réussi en une semaine avec des HE, zinc, probiotique, homéopathie et granions de cuivre… à les remettre sur pied ! Je leur ai donné une seule fois du Doliprane pour calmer la fièvre. Zoe

Ma sœur 73 ans, jamais malade a chopé un « coup de froid » indéfinissable, crise de toux, perte d’appétit, fatigue. Cela fait 15 jours et ça traine. Marie Christine

Début décembre mon mari se trouve à Paris à l’hôtel cloué au lit par une forte fièvre +toux

Durée 3 jours. Je le rejoins, 2 jours et nous rentrons en Bretagne où nous vivons.

Sitôt rentrés, il a de nouveau de la température + fièvre

Donc 31 décembre alité et mal.

Quant à moi le 3/01 je suis fiévreuse et je commence à tousser.

Mon mari fait une double pneumonie soignée par injections d’antibiotiques et moi j’ai une pneumonie soignée aux antibiotiques par la bouche.

Nous avons 75 ans tous deux avec mon époux vacciné et moi non !

Nous étions en bonne santé jusqu’alors….et dynamiques.

Maintenant la fatigue est installée et il faut se battre au quotidien

Dans notre entourage beaucoup de gens malades pendant les fêtes…

Je ne désespère pas de retrouver la forme. Jacqueline

J’ai eu 15 jours avant Noël le même virus grippal que vous… les symptômes ont duré 15 jours et je tousse encore un peu un mois après. J’en garde les séquelles d’une grande fatigue qui survient au moindre effort physique. Et de l’essoufflement. En ce qui me concerne j’ai eu 2 fois le covid les années passées, relativement » gentil » car j’étais vaccinée. Je n’ai pas renouvelé le vaccin anti covid depuis 9 mois. J’ai 60 ans. J’ai été vaccinée de la grippe 15 jours avant la survenue de ce virus grippal de décembre. Parmi mes proches, mon fils de 19 ans l’a contracté également et en garde des séquelles de type crise d’asthme. Anne

Mon mari et moi grippe A depuis le 21/12, donc réveillon au lit et toux persistante, mon mari a été hospitalisé en urgence le 1er janvier pour 6 jours car complication, surinfection pulmonaire qui l’a mis à plat. Nous prenons des vitamines etc. toute l’année. On n’a pas compris ce qui nous arrivait.

Il est sorti de l’hôpital vendredi soir et il est encore très affaibli. Une grosse claque effectivement. Isabelle.

Je suis moi-même abasourdie de ce que je constate également. Je suis rarement malade de la grippe et si cela m’arrive je résous le problème en moins d’une semaine avec des inhalations aux huiles essentielles, des tisanes de thym sarriette gingembre, du chaï, des oligo-éléments et parfois de l’homéopathie.

Or le lundi 26 décembre cela m’est tombé dessus d’un coup, après avoir été en contact avec ma fille qui n’a pas arrêté de tousser durant deux jours.

Je suis restée trois jours au lit avec une forte fièvre, dans le noir extrêmement affaiblie et sans appétit, j’avais juste la force de me lever pour aller aux toilettes et éplucher un kiwi et une poire à manger par jour. Une toux a commencé à se déclarer le vendredi et à chaque sortie que je faisais, s’en suivait une rechute qui aggravait mon état. Cela fait plus de vingt jours. Je suis restée fatiguée, apathique et avec une toux très grasse (laryngite) et un rhume.

Mon médecin homéopathe trop inquiet de l’aggravation de mon état m’a mis sous antibiotiques, même si je déteste ça j’ai préféré commencer le traitement depuis hier de peur d’avoir des complications aux niveau de bronches.

La pharmacienne que j’ai vue trois fois m’a confirmée qu’elle voit des patients qui subissent le même sorts, une grippe qui s’étend dans la durée et des rechutes régulières avec des complications. Fabienne.

Bonjour, pour répondre à votre demande, je vous laisse mon commentaire; eh bien, moi aussi, j’ai été touchée par ce mystérieux virus le 30 décembre, et je me remets juste après prise d’antibiotiques car j’ai eu mal de gorge, puis toux, mais surtout infection au niveau des yeux (yeux collés pleins de pus) je n’ai pas compris d’où cela venait car j’ai un très bon niveau de vit D je me protège toujours (masque + HE de ravinstara, lavage des mains) je prends du magnésium, j’ai pris en pus de la propolis et de la quercétine, mais rien n’y faisait! dans l’attente de votre retour, bien à vous. Catherine.

Mon fils de 30 ans a lui aussi attraper un virus qui a dégénéré en infection pulmonaire, résultat : il est sous antibiotique ! Mon mari a également attrapé et tousse beaucoup, pour moi c’est juste un léger rhume et mal de gorge que j’ai soigné immédiatement avec des huiles essentielles. Fabienne.

Comme vous mon épouse et moi avons subi cette « maladie non définie » pendant 3 semaines depuis le 20/12/2022. Mon épouse tousse encore un peu et parle toujours mal car elle avait perdu sa voix. Nous n’avons pas été vacciné ni grippe, ni Covid. Comme vous je me suis posé la question de savoir à quoi correspondait ce virus, sachant que nous ne sommes jamais malades comme cela et nous avons échappé à la grippe et à la Covid jusque-là ? Cordialement. Michel

Dans la famille, au moment des fêtes, nous avons été atteints de syndromes grippaux, plus ou moins intense. Une seule d’entre nous est allé se faire tester : pas de covid, mais grippe B. Comme pour nous tous des quintes de toux énormes, de la fatigue inexpliquée, et cela dure depuis Noël. Christian

J’ai eu cette grippe vers le 15 décembre. 5 jours à 39 de fièvre. Je toussais beaucoup avec des sécrétions bronchiques. J’ai re-consulté ma médecin qui m’a mis sous antibiotiques après avoir constaté par une radio une infection pulmonaire sur le poumon droit. Je tousse encore un peu aujourd’hui, c’est très long à partir. J’ai moins souffert quand j’ai attrapé l’omicron. Je ne suis pas vacciné. Ni pour la grippe, ni pour le Covid. Je me supplémente en vitamine D quotidiennement (4000 ui/jour). Malgré ça j’ai été très secoué par ce virus. Philippe.

Bonjour, oui, début décembre, j’ai passé par état grippal spécial jamais vécu ; toux ; fièvre ; courbature, douleurs au tète, et le plus spécial ces sont les douleurs au dos, la maladie a durée plus que 10 jours. Yosra.

Effectivement c’est une grippe un peu bizarre comme je n’ai jamais eu de vie.

1 semaines à avoir toujours froid impossible de me réchauffer toux nez qui coule et je dormais beaucoup. Une semaine à ne pas avoir d’appétit. Cela a duré plus de 1 mois malade. Est ce vraiment une grippe pour ma part je ne crois pas. Traka.

Nous avons effectivement été malades pour les fêtes et même avant le 15 décembre pour moi, diarrhée, frissons, douleurs diverses dans la poitrine, maux de tête, fatigué et perte d’appétit et cela a duré jusqu’au 3 ou 4 janvier.

Un ou deux jours cela allait mieux et cela revenait avec les mêmes symptômes.

Il semblerait que maintenant ce soit rentré dans l’ordre. Jean-Louis.

Depuis le 3 décembre, j’ai attrapé cette saleté de virus grippal, et aujourd’hui, 11 janvier, je suis toujours terrassée par la toux, à déchirer les poumons, la fièvre et les courbatures.

Autour de moi, tous l’ont attrapé, et sont dans le même état. AT.

J’ai eu exactement la même chose que vous le 28 décembre. J’ai consulté mais les antibiotiques n’ont pas été efficaces je tousse et crache toujours…. Que faire ? Denise.

Bonjour, comme vous le 12 décembre je n’ai pu me lever, clouée au lit durant 4 jours avec fièvre, courbatures, toux, intense fatigue. Nous sommes le 11 janvier soit un mois après, je traine une fatigue et une toux qui ne veulent pas me quitter.

Les séances d’acupuncture qui habituellement me requinquent rapidement ont eu peu d’effet dans la durée. Et je précise que depuis novembre je prenais chaque semaine en alternance, sérum de Yersin, timulime, oscillococinum et influenzinum.

Et je ne suis pas la seule, quelques collègues ou amies ont subi la même chose. Sylviane.

Merci Monsieur Bazin. Vous donnez de l’eau à mon moulin. J’ai une excellente santé. En effet je n’ai jamais été malade de ma vie. Jamais fatiguée. Enseignante j’ai eu des moitiés de classe atteintes soit de grippe, soit gastro et moi rien. Je pense que je m’étais immunisée en étant toujours en contact avec les microbes. Là je suis retraitée et comme vous j’ai eu un état grippal du même type que le vôtre, et un mois après je me sens par moments, encore fatiguée. Je me pose plein de questions. Merci de nous donner la parole. Dominique.

Même problème vers le 11/12/22 avec 3 semaines sous cortisone et antibiothérapie : un mélange de sinusite importante avec toux sèche et grasse, aphone, fièvre et surtout grosse fatigue qui persiste à ce jour. COVID Testé plusieurs fois négatif. Marie-Hélène.

Très rarement malade, je suis d’un coup ce 28 décembre prise de courbatures, de mal au crâne… S’en est suivi la gorge enflammée, une toux très persistante à en vomir, extinction totale de ma voix, diarrhée.. A ce jour, ma voix est toujours éteinte et la toux bien présente même si je sens que ça va mieux.

J’avoue que c’est la première fois que je suis malade ainsi.

Remèdes naturels pour me soigner, tisanes bio, gingembre citron miel, artemisia, HS… c’est long et pénible. Christiane.

Bien à vous

Christiane

Effectivement, je me suis posé les mêmes questions que vous, car à peu près à la même période autour de Noel j’ai contracté la grippe, ou disons un virus je ne sais pas lequel, puisque je n’ai pas voulu faire un test pour savoir comment ça s’appelle. Seulement je n’étais pas au fond du lit avec fièvre et douleurs ou courbatures et fatigue. Je sortais tous les jours, car je ne me rendais pas compte ou je pensais que ça allait passer. La toux et les glaires blanches – pas verts- ont attiré mon attention. Les poumons ont évidemment été atteints. J’ai fini par prendre azytromicine. Mais ça a duré en moyenne 25 jours (toux et déchets). Je me suis demandée comment ça se fait qu’avec ce que je prenais pour avoir une bonne immunité (vit : C, D, zinc, sélénium, propolis, magnésium, huiles essentielles, artemesia, etc.) J’attrape ce virus qui me fait tousser avec un peu de mal à respirer pendant 2-3 jours et m’a fait voir au milieu du visage un bouton de fièvre pour la première fois de ma vie ? Les précédentes années pas de grippe et rien de tout cela. Violette

J’ai constaté depuis plusieurs semaines de nombreux cas similaires à votre description.

Comme s’il y avait un virus hybride qui ressemble à la fois au symptômes COVID et grippe mais qui ne se décèle pas avec les nouveaux tests.

Les gens ont souvent de la fièvre, maux de gorge, conjonctivite, sueurs, toux qui persiste plusieurs semaines, avec plusieurs rechutes, les gens sont très fatigués, déprimés, sensation de malaise, sueurs, douleurs articulaires. Ce sont les 3/4 des rendez-vous depuis plus d’un mois.

Je suis assistante médicale. Cordialement. Véronique

J‘ai aussi été malade pendant 7 semaines sans arrêter pour autant mes activités ou mon travail. C’est la première fois que je suis malade aussi longtemps malgré la prise de toutes les vitamines possibles. Cela a commencé par une rhinite mais sur une seule narine, puis des glaires dans la gorge, une sorte de sinusite (En tous cas le nez encombré en permanence) et quand je pensais être sorti d’affaire je me suis réveillé plusieurs jours de suite trempé de transpiration. Je précise que je ne suis pas vacciné et que je ne me suis pas testé. Je connais au moins deux personnes dans mon entourage qui ont eu les mêmes symptômes mais qui sont vaccinés. Jean.

Nous vous souhaitons un début d’année 2023 meilleur que les heures passées au fond de votre lit avec le virus de la grippe A. En vous lisant je me disais : « Tout pareil comme nous », symptômes dès le 21 décembre, maux de têtes, fièvre pendant 3 jours et surtout une très grande fatigue que nous ressentons encore mon mari et moi-même. À ce jour, je tousse encore un peu mais j’ai eu beaucoup de gêne avec des poumons encombrés. FC

Bonjour, J’ai effectivement eu aussi entre noël Mais surtout à nouvel an, un état grippal, bizarre alors que je ne suis jamais malade, j’ai expectoré puis les sinus bouchés puis en suivant des pivotements dans la gorge, avec un état fiévreux, je commence seule à aller un peu mieux, je dis 1 peu car j’ai parfois une toux qui arrive de je ne sais où, j’ai des antibiotiques, que j’ai décidé de prendre et heureusement. Marie-France.

Oui j’ai eu aussi fin décembre une sorte d’état grippal avec un peu de fièvre une sinusite et surtout une toux persistante qui n’est pas encore terminée. Je suis encore très fatiguée. Mon compagnon a eu la même chose une semaine avant moi. Sur mon lieu de travail plusieurs personnes ont eu les mêmes symptômes. Valérie.

J’ai effectivement mon neveu qui a attrapé cette grippe. Elle a duré deux semaines.je ne le reconnais pas, car il a perdu beau-père de poids. MB

En réponse à votre demande, mon épouse a subi des quintes de toux pendant 3 semaines (de type bronchite), avec une accalmie de dix jours environ pour rechuter depuis une semaine ! Pour ma part, un rhume bénin de deux jours pendant cette période. Avons reçu une seule dose de vaccin. Ma sœur, non vaccinée et rarement malade s’est retrouvée très affaiblie avec des symptômes grippaux pendant plus d’une semaine. Elle s’est finalement résolue à consulter et s’est vu administrer des antibiotiques en ayant tout fait pour l’éviter ! Éric.

Ce virus bizarre a commencé à circuler déjà début novembre puisque j’ai été malade début novembre ainsi que mon mari, mes fils… et beaucoup de mes connaissances m’ont relaté des situations identiques à la mienne (sans que nous ne nous soyons côtoyés forcément). Pour ma part, cela a commencé par un gros mal de gorge, une trachéite et très mal aux jambes, cela s’est étalé sur trois semaines avec, en ce qui me concerne, grosse fièvre durant une semaine, douleurs dans les jambes au début, gros mal de tête, pas envie de manger, je devais me forcer pour manger un peu et j’ai maigri, toux incessante et plutôt sèche, sécrétions collantes et blanchâtres (qui ont duré dans le temps) avec sensation de s’étouffer en toussant, et position assise pour dormir, je suis restée au lit plus d’une semaine, alors que ce n’est pas dans mes habitudes du tout, sensation de surdité pendant ces trois semaines, puis bourdonnements, sifflements dans les oreilles qui se sont arrêtés il n’y a pas très longtemps), les deux semaines suivantes je n’étais pas encore très bien, une impression de faiblesse, de manque d’énergie, d’envie de m’occuper de la maison ou de faire des choses ; au bout des cinq semaines cela allait mieux du côté de la forme, mais depuis, j’ai la sensation de retomber régulièrement plus ou moins malade (par exemple, je suis bien le matin, gorge qui pique le soir, petite toux sèche asthmatiforme, des petites sécrétions bien collantes et toujours blanchâtres et puis le lendemain ça va mieux et puis ça revient plus ou moins), toux, etc. de façon atténuée maintenant, mais avec la sensation que « c’est toujours plus ou moins là ». Bref, je n’avais jamais été malade comme cela et sur la durée. J’ai l’impression que la toux, le manque d’énergie, la durée, les rechutes, et la lenteur à s’en remettre reviennent souvent dans beaucoup de témoignages. FP.

Mais exactement comme nous ni piqué ni injecté, une espèce de grippe de rien qui a commencé par notre fille, 2 jours après moi ensuite mon mari. Toux et surtout une fatigue et une humeur chagrine dont nous sommes à peine remis ce 11 janvier, un truc de dingue! Christine.

Moi et mes deux filles sommes tombés malades de cette grosse grippe, du jamais vu. Surtout au niveau de la gorge, on est presque devenue aphone et la toux qu’on arrivé pas à débarrasser. Et plusieurs de mes amis aussi. En contact avec de la famille en Algérie et c’est la même chose. KB.

Comme vous j’ai trouvé cette nouvelle forme de grippe étrange, avec le même type de question sur son origine. Étrange par rapport aux symptômes, d’abord ma fille, puis mon épouse et moi-même. Les effets un type de rhume des foins, puis trachéite, et enfin poumon avec une toux persistante, le tout avec une grande fatigue. A ce jour mon épouse ne s’est toujours pas débarrassée de cette toux (1 mois). Raymond.

Bonjour, votre article m’interpelle car nous avons été malades mon conjoint, ma fille et moi. Nous mettions cela sur les virus plus importants en maternelle mais tout le monde autour de nous est aussi malade. Pour notre part on a été bien malade avec fièvre pendant une bonne grosse semaine, 4 semaines après on tousse encore un peu. Mon conjoint été totalement trempé la nuit quand il se levé pour se changer les gouttes coulées sur le sol… un autre homme que nous connaissons a eu aussi ce symptôme supplémentaire. Déficit immunitaire ou nouveau virus, dans tous les cas ça reste bizarre. PS : 0 injections. Jenny.

Je suis en Italie, à la mer, douceur… néanmoins, depuis le 20 novembre 2022, j’ai attrapé ce que j’ai considéré être une grippe, mais bien spécial car ça ne finissait jamais surtout la toux sèche, dure, épuisante. Il y a eu une accalmie d’une semaine et, puis, tout est réparti sous une forme encore plus virulente … je n’en suis pas toujours sortie malgré les antibiotiques, les sirops, même de la cortisone… cela continue… je suis sportive, malgré l’âge, et cela faisait des années que je ne suis tombé malade … je ne suis pas inoculée du soi-disant vaccin… J’ai l’impression de faire face à quelque chose d’étrange qui sort des grippes et bronchites, disons, habituelles. Merci ! MJC

Pour nous, maman 85 ans et moi 64 ans c’est le même scénario. Obligées de rester couchées le 1er janvier avec forte fièvre (Nous n’étions pas vaccinées contre la grippe)

Nous ne sommes toujours pas remises, toux, rhume très purulent, appétit aléatoire, digestion souvent difficile et immense fatigue

Ma fille 42 ans et 2 de ses enfants ont été touchées également, au bout de 5 semaines elles commencent à aller mieux…

Espérons que ce méchant virus ne nous laisse pas de séquelles à moyen terme. Marie-Claude.

Bonsoir Xavier, j’ai vécu la même chose que vous, ce virus également m’a touché depuis le 21 décembre 2022 jusqu’à aujourd’hui le 11 janvier 2023 et je continue de tousser, une toux Grasse, et même des éternuements cette journée ! J’ai peur que cela reprenne parce que j’en ai souffert énormément. Charlotte.

J’ai lu votre message avec attention. Je peux également témoigner qu’un virus « grippal » m’a affecté durant près d’un mois mais en étapes successives, avec des rémissions de quelques jours et puis à nouveau état grippal. Je n’ai pas été alité, deux bonnes siestes l’après-midi ont suffi.

Je n’ai pas encore connu (ou alors je ne m’en souviens pas…) un état aussi subit avec fortes fièvres et état « flageolant ». En cas d’alerte grippale je parvenais toujours à contrer le virus avec les moyens naturels habituels.

Par contre une bronchite me poursuit avec toux grasse, actuellement toux sèche mais depuis un mois environ. Mon état s’améliore lentement mais sûrement. Jean-Marie.

Nouveau pour moi jamais malade ! Trois mois à tousser… Beaucoup de glaires à m’empêcher de respirer : compliqué pour pouvoir dormir, des coups de fièvre, des quintes de toux à se « décrocher les bronches »… Maintenant, tout cela est en train de s’atténuer… Très grande fatigue… Diagnostic du médecin : poumon infecté par une bactérie… Donc : antibio, cortisone… Martine.

Clouée au lit 24h le 26 décembre : passé le 25 en famille autour d’une table d’une brochette d’injectés… arrêt de travail depuis. je consulte à nouveau mon médecin aujourd’hui (le 11/01/23). État inflammatoire persistant après 5 jours d’antibiotique. Je ne retrouve pas mon énergie.

Avant cet épisode je n’étais pas plus fatiguée que ça. Je prends quotidiennement vit c, d, magnésium et zinc. Françoise

J’ai eu probablement le même virus que vous …. En octobre … mauvaise grippe glissant vers une sale bronchite se terminant par une pleurésie….

Grande fatigue, toux très grasse, douleurs dorsales importantes…etc …etc … En principe je ne suis jamais malade … Là j’ai été servie … !!!! Sylvie.

Pas vacciné, j’ai constaté depuis 4 semaines que mon état de santé était plus fragile, céphalées, toux et difficultés respiratoires. Dans mon entourage proche …… tous des anti vaxx, j’ai constaté que nous étions malades depuis l’arrivée des fêtes de fin d’année et que malgré des efforts pour se soigner rien n’y faisait (homéopathie, compléments alimentaires et autres remèdes pour booster notre système immunitaire). Dominique.

J’ai attrapé ce virus bizarre et autour de moi tout le monde l’a attrapé aussi… Ce n’était ni la grippe, ni le covid, mais comme si j’avais bu un cocktail de virus … Ca a commencé par une angine (mal de gorge très fort et vomissements), puis le 2eme jour état grippal (fièvre et fatigue) puis au bout de 3-4 jours une toux pulmonaire grasse qui est restée plus de 2 semaines malgré 2 cures d’antibiotiques + corticoïdes… et ça c’est terminé en double otite.. L’otite est partie au bout de 3 semaines mais j’avais toujours les oreilles bouchées, le médecin m’a orienté vers un ORL, pensant que j’avais du liquide dans le tympan. A la pharmacie, ils m’ont dit que beaucoup de gens avaient ça en ce moment. C’était mi-décembre. Alice.

Pour moi aussi, toux grasse avec expectoration (pneumopathie diagnostiquée suite au scanner thoracique) qui a commencé avec une très grosse fièvre, puis quelques jours plus tard, très grosse fatigue qui n’est pas encore complètement disparue, pas d’appétit, pas la forme quoi !! J’ai toujours des problèmes respiratoires (suis essoufflée rapidement ). Véronique.

Nous avons réveillonné le 31, le 1er passait une bonne journée, et le soir du 31 quelques frissons, et à partir de là crescendo, fièvre, frissons, courbatures, extrême fatigue, dégout de la nourriture, plus envie de rien, je dis « lessivée » « balayée »…Cela fait donc 11 jours aujourd’hui je vais mieux je tousse et surtout les traitements naturels que je prends habituellement sont loin de fonctionner aussi efficacement…que d’habitude. Mon mari a été très très enrhumé sans fièvre. Nous seuls avons été malades de l’ensemble de nos amis présents, bizarre. Geneviève

Votre mail m’a interpellé, en effet j’ai ma sœur qui est restée malade pendant les vacances de la toussaint, grosse fatigue, légère fièvre et de grosses toux surtout la nuit qui a déclenché une pneumonie, à ce jour elle reste fatiguée et sa toux s’est atténuée mais n’a pas disparu. Françoise.

J’ai également été atteinte par ce virus qui m’a mise sur le flanc pendant presque tout le mois de décembre

Plusieurs personnes de mon entourage ont été également atteintes avec un degré un peu moindre

La contagiosité m’a semblé très importante et cela ne ressemblait pas à une atteinte grippale classique

Pour ma part je pense avoir dû lutter contre un virus qui s’est attaqué non seulement à la sphère ORL mais également au poumon et a provoqué une réaction inflammatoire très importante. Pour aller mieux j’ai dû prendre des doses importantes de corticoïdes (sous couverture antibiotique ) La récupération a été longue. Odile.

Quand je vous ai lu, j’ai tout de suite fait le lien avec la grippe que j’ai eu en décembre. Une vraie crasse, moi qui ne suis jamais vraiment fort malade. Cette fois ci, j’ai subi plus de 3 semaines au lit à ne rien pouvoir faire car trop faible. J’ai eu des crises de toux à n’en plus finir, de la fièvre, des chutes de tensions, vertiges, perte d’appétit… Je n’ai pas été vaccinée non plus, et je me suis souvent demandé pourquoi ai-je été dans un tel état à cause d’une grippe. J’ai également réalisé deux test covid mais tous les deux étaient négatifs. Je garde encore des séquelles telles qu’une grande fatigue au quotidien, toux et vertiges. Sahra

Oui, mon mari et moi avons tous les 2 été « grippés » la semaine juste avant Noël. Un rhume qui a fini par devenir une bronchite. Nous avons eu les bronches encombrées pendant près de 3 semaines. Mon mari a dû passer par les antibiotiques pour en venir à bout.

Pour ma part, j’ai eu 24h de fièvre et surtout une extinction totale de voix qui a duré 3 jours. J’ai encore aujourd’hui des mucosités qui parfois viennent troubler ma phonation. Corinne.

Bonjour, pour les fêtes de Noël, en pleine forme : W.E. à Aix, jardinage intensif au doux soleil, bref, impeccable.

W.E. du jour de l’an : angine très douloureuse, comme un pétard explosé dans la gorge. Lundi, je cours chez le médecin. Verdict : angine bactérienne. 3 jours d’azithromycine, et c’est passé, mais je n(ai jamais eu ça de ma vie, d’autant que je n’ai pas recours aux antibiotiques. J’ai une douleur résiduelle sous le larynx. Autour de moi, idem, et beaucoup d’angines, sinusites, bronchites, voire pneumonies. Catherine.

Bonjour je suis thérapeute en médecine chinoise et quantique depuis de nombreuses années. Depuis Noël j’ai ce « virus » qui affecte principalement ma tête : nez très encombré, maux de gorge et maux de tête avec une toux spasmodique, beaucoup de mucosités épaisses…. Comme un gros rhume qui ne passe pas… toute ma famille l’a ou l’a eu, avec les mêmes symptômes mais pas la même résistance… ce n’est pas faute de ne pas travailler sur mon terrain en tant que thérapeute !! SV

Idem pour moi pendant les fêtes : j’étais très fatiguée par une sinusite traînante pour laquelle j’étais sous traitement antibiotique (Orelox). Brutalement ont surgi une angine, des salves d’éternuements, des quintes de toux irrépressibles, puis une grosse bronchite, la 1ère depuis plusieurs décennies par sa virulence, avec douleurs en barre dans le dos. Grippe ? Covid ? Dans ma famille très proche, que je côtoyais, sévissait pour certains le covid et, pour d’autres, le même épisode que moi, avec des symptômes très proches du covid, mais sans déclencher de positivité aux tests (antigéniques covid/grippe). 15 jours après, je suis encore épuisée et courbaturée… RV médecin récent : sinusite et bronchite sont toujours là. De quoi s’interroger…. Nouveau virus ? Nouveau variant du covid non détectable aux tests actuels ? J’ai eu le covid il y a 1 an et demi (le Delta). L’épisode vécu pendant les fêtes était presque aussi violent, plus court et ce coup-ci sans fièvre (mais certains autour de moi ont eu jusqu’à 40°). Annie 70 ans.

Ma femme et moi avons depuis noël une bronchite qui n’en finit pas. Pas de fièvre mais on tousse sans arrêt comme des malheureux. Bernard.

J’ai eu un syndrome grippal le 10 décembre (pas vaccinée contre la grippe mais 2 injections anti covid en aout 2021). Au bout de 2 semaines de fièvre (39°) je reconsulte et on me trouve une infection pulmonaire : antibiotiques pendant 10 jours. S’ensuit toujours de la toux et des douleurs intercostales. Nouvelle consultation le 9 janvier car essoufflement : on me dit toux asthmatiforme avec bronches atteints…on me prescrit de la Ventoline. À 70 ans, je n’ai jamais été malade. Joëlle.

Effectivement, j’entame la troisième semaine d’une espèce de grippe – bronchite, qui ne veut point se déloger. Ça perdure, je n’ai jamais vu ça. Trish.

Voici ce que notre cousine pro-vaccin nous a écrit : « Le Docteur consulté hier me dit que 2 problèmes se sont croisés : la réaction au 5ème vaccin anti covid et j’ ai attrapé la fameuse et redoutable « grippe » bien que je sois vaccinée contre la grippe et pour consolation elle me dit : bien heureusement que vous êtes vaccinée de la grippe, sans le vaccin cela aurait pu être plus grave! » Elle est extrêmement fatiguée et peine beaucoup à récupérer. Marc.

Oui, même chose, pourtant d’habitude je me soigne avec mes recettes naturelles et ça suffit malgré mon emphysème assez avancé… là j’ai dû consulté et passé par les antibiotiques en deux reprises coup sur coup et encore j’ai été obligée de compléter avec plantes et He pour calmer les poumons… Agnès.

Comme vous, mon mari a été cloué au lit, ou plutôt au canapé car ne pouvait respirer allongé, pendant presque 15 jours.

Ça a débuté par un syndrome grippal le 20/12 et il a commencé à aller un peu mieux le 02/01.

Mais même aujourd’hui il n’a pas récupéré toutes ses facultés à 100%, il a repris le travail le 4/01 car il est à son compte, mais est obligé de faire des pauses souvent car il fatigue rapidement.

Il a eu un foyer infectieux au poumon gauche (radio) traité par antibiotiques (à notre désespoir !)

Et une sinusites carabinée (1ère fois) que j’ai réussie à traiter avec inhalations d’un cocktail d’huiles essentielles (à la place des corticoïdes et fluidifiants bronchiques prescrit en aérosol qui ne faisaient rien).

C’est plus l’angine qui le gênait que la toux, lui donnant céphalées et l’empêchant de respirer allongé.

J’espère maintenant qu’il va se remettre rapidement car c’est épuisant. Florence.

Bonjour, mon mari est moi-même avons été touché par ce « virus « le 18 décembre, et aujourd’hui 11 janvier,

Nous n’avons toujours pas récupéré de cette grand fatigue. Colette.

Pendant les fêtes, une sœur avec une grosse sinusite. Elle n’avait jamais connu de sinusite avant.

Pour une collègue, une grippe intestinale a été diagnostiquée pour le 31/12. Elle a regardé ses invités réveillonner. Marie-Anne.

J’ai eu ce truc bizarre pendant les vacances, je n’attrape jamais la grippe et suis rarement malade, j’ai un très bon système immunitaire. Je n’ai pas eu le covid et n ai suivi aucune des recommandations, je les ai même contournés dès que je pouvais. Non vaccinée j’ai tout fait pour maintenir mon immunité … et pourtant j’ai chope ce truc. Je l’ai trouvé hybride, des symptômes d’angine, de rhino et de grippe comme si les virus s’étaient allies. Je n’ai pas compris comment j’avais pu avoir ça avec toutes mes précautions, huile de ravintsara, huile de pepins de pamplemousse, gelée royale, vit d …. Magali.

Je ne suis jamais malade et au moment des fêtes j’ai eu un gros rhume et ensuite une bronchite asthmatique qui m’étouffait et j’ai été transporté à l’hôpital ! résultat pas de covid ni de grippe mais une grosse bronchite ! c’est curieux et tout le monde a été très malade autour de moi !!!! Sylvie.

Bonjour, Xavier ! Moi aussi, 78 ans, non vaccinée, ayant réussi à surmonter ces presque trois années de pseudo-pandémie sans aucun rhume ou quoi que ce soit, une bronchite m’a mise à plat pendant deux bonnes semaines (avant et après NOËL) sans fièvre ni maux de tête ! De grosses quintes de toux épuisantes ! J’ai dû – sur les conseils de mon médecin – passer un test antigénique : NEGATIF ! et une radio des poumons : NEGATIVE ! Marie.

J’ai deux amies qui ont toussé pendant longtemps après la grippe de novembre et décembre. Personnellement une pharyngite (due sûrement à un virus car j’avais un peu fièvre) aiguë qui n’a pas guérie avec l’homéopathie et huiles essentielles qui d’habitude agit très bien avec moi. Et ça a tourné en 5 jours en une otite aiguë et sinusite qui n’a repas cédé au premier antibiotique et j’ai dû en prendre un plus fort. Malade du 11 au 31 décembre avec 15 jours d’antibiotiques et mon oreille est redevenu à son potentiel depuis juste quelques jours. J’ai été bien fatigué et le suis encore un peu. Jocelyne.

Bonjour Xavier, je viens de lire votre dernier email. Mon épouse et moi sommes aussi grippé depuis Noël, avec des symptômes différents mais tout aussi persistants.

Elle toux et problèmes digestifs, moi douleurs musculaires et fièvre. Autour de nous de nombreuses personnes sont aussi atteintes à des degrés divers.

Pour ce qui me concerne du jamais vu en 64 ans. David.

Je suis en train de vivre une situation identique à la vôtre avec pratiquement les mêmes dates

Depuis hier je suis à nouveau sous antibiotiques pour soigner une toux qui n’en finit pas. Bruno.

Ma maman 89 ans et moi-même 66 ans sommes malades depuis le 16 et 18 décembre

Nous avons maintenant une infection respiratoire et sommes sous antibios alors que nous ne sommes jamais malades, non vaccinées, la toux persiste

Autour de moi, énormément de personnes malades avec des toux persistantes… QU’Y À T IL DANS L’AIR ?? AC.

Idem pour moi, je suppose que c’était une grippe, toux, douleur partout, fièvre les premiers jours, ça a duré 3 semaines mais la toux a duré beaucoup plus après 2 mois je tousse encore un peu ! Elfrida.

Bonjour, suite à votre dernière newsletter concernant un éventuel nouveau virus qui trainerait depuis un mois, je dois dire que je me pose également des questions. Cela fait 8 jours maintenant que j’ai les intestins en vrac, avec un peu de toux les premiers jours. Aujourd’hui la toux a l’air de s’être calmée toute seule, mais les intestins n’ont pas encore recouvré leur forme …Moi qui ai une alimentation très riche en fibres, là autant vous dire que je suis malheureuse à table. Je ne pense pas que cela soit une simple gastro car elle ne passe pas facilement. Je n’ai pas eu de nausée. Voilà, si ça peut faire avancer vos recherches … Belle journée et merci à vous pour toutes ces informations. Sylvie.

Depuis le 23 décembre 2022 je tousse, je crache et à ce jour les symptômes sont toujours là ! même avec les inhalations, les huiles essentielles et autres tisanes faites avec les plantes du jardin (thym, romarin, feuilles de laurier) citron que j’ajoute lorsque l’infusion est tiède de façon à ne pas détruire la vitamine C l’amélioration est minime !!

Nous sommes 3 personnes adultes à la maison 2 sont vaccinés COVID 19 moi PAS.

Je voudrais bien comprendre ? !!! Daniel.

Oui en effet ! Terrassés par un syndrome grippal avec plus de 39 de fièvre sur une semaine. Toux et grande fatigue s’en suivent encore 15jours après.

Moi, mon conjoint et tous ceux de la Belle fête du 1er de l’an. Gaillards sportifs ou femme faible en santé ! GB.

Bonjour, effectivement depuis le 20 décembre mon mari a bien du mal à se remettre d’un genre de grippe 38° de fièvre et toux qui n’a pas totalement disparue mais c’est en bonne voie. Grande fatigue encore. je pense évidemment qu’à 79 ans l’organisme met plus de temps à récupérer. Merci à vous pour toutes vos infos que je ne manque pas de lire. Merci merci merci. Marie-France.

Oui, autour de moi beaucoup de grippes qui durent et fatiguent, des bronchites aussi très fortes qui résistent aux habituels antibiotiques.

Les personnes sont épuisées et démoralisées pour la plupart car elles se sentent de plus en plus vulnérables, prises dans un tourbillon viral qui affole et à la merci d’une médecine qui ne sait pas, plus, soigner. Cela affecte des « injectés multi doses » mais aussi des réfractaires de première heure à ces injections.

Je pense que le manque de compréhension de ces phénomènes et la peur que cela engendre, peur entretenue, fragilise d’autant plus.

Le « climat » sanitaire et social est malsain, virulent au sens propre comme figuré. Eliane.

Oui effectivement un proche a attrapé la grippe et est resté cloué au lit pendant 15jours et ceci après s’être fait vacciner contre celle-ci. Toute la famille y est passée. Et moi maintenant ma toux ne fait qu’empirer. Claudine.

Je connais autour de moi 4 personnes qui ont eu le même virus que vous et qui ont du mal à s’en remettre.

Ces 4 personnes ont été vaccinées contre le COVID (3 doses) et une d’entre elles âgée de 33 ans a été vaccinée contre la grippe également. BN.

Mon mari (62), non injecté, virus grippal le 20/12 ; tousse sporadiquement encore à ce jour.

Moi, (60) non injectée, virus grippal forte fièvre, maux de gorge, toux, ko pendant 1 semaine ; 15 jours pour revenir à la normale.

Tests covid négatifs. GB.

J’ai 72 ans, jamais eu la grippe avant et fière de cela, le covid non plus. Je ne suis pas vaccinée. Mi-décembre j’ai commencé un rhume qui est devenu une grippe atroce du quelle je souffre encore. Je n’ai jamais eu de la fièvre dans ma vie (peut-être c’est ne pas une bonne chose) mais je suis végane et j’ai un régime alimentaire très sain. Je suis au courant du fait que pas mal de gens ont tombé malade, même des personnes dans la trentaine avec un style de vie sain et frugale. Helena.

En réponse à votre « invitation » je vous confirme que, comme beaucoup de gens, ma fille et moi avons eu SANS FIEVRE une atteinte bronchique à compter du 18 décembre avec des quintes de toux épuisantes, d’abord sèches » puis grasses, déclenchant des mots de tête à chaque quinte qui n’en finissait pas. Ma fille toussait la nuit, moi pas… J’ai consulté mon homéopathe acupuncteur le 26 décembre. Il a réussi à arrêter les quintes pour en arriver à une toux récurrente bien moins fatigante jusqu’au 30 décembre, depuis je tousse encore un peu, mais très peu (2/3 fois/j), particulièrement au changement de température (intérieur/extérieur) mais reste une fatigue. J’ai 83 ans et une immunité « naturelle ». Diagnostic du médecin : bronchite virale confirmée le 6 janvier par mon généraliste dont toute la famille a été atteinte par le même virus… Cordialement. Marie-Paule.

La surmortalité des tout-petits ne semble pas émouvoir nos autorités sanitaires.

Par : LHK
Au moment où les annonces de morts subites, avec notamment des arrêts cardiaques qui frappent jeunes et moins jeunes, se multiplient, ce reportage de victimes non décédées doit être pris en compte. Regardez cette cartographie dont le leader en taux de mortalité toutes causes confondues est l’Allemagne, pays financeur de la BCE. Une enquête publique […]

lilianehk

Réinventer l’évolution via le transhumanisme. Utérus artificiels en batterie

Par : LHK
Il y a quelques mois nous traitions la problématique de l’infertilité post-vaccinale. Et voilà que je tombe sur un tweet du transhumaniste Laurent Alexandre qui donne l’impression d’apporter la solution à l’infertilité. En effet, avec un timing parfait,la vidéo postée traite de la fabrique industrielle de bébés, Ectolife. Adieu l’infertilité, bonjour à la production en […]

lilianehk

Est-ce que le soleil pourrait s’éteindre?

Par : LHK
Un évènement impressionnant a eu lieu la semaine dernière aux Etats-Unis. L’ensemble des avions commerciaux étaient cloués au sol durant des heures. Dans les faits, c’était la 2ème fois en un mois que ce genre de phénomène spectaculaire se produisait. Le premier était survenu durant les vacances de Noël (cf vidéo ci-dessous). Le Ground Stop […]

lilianehk

Un nouveau virus étrange circule-t-il ?

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Un virus grippal (pas le Covid !) m’a cloué au lit le 21 décembre…

…et aujourd’hui 11 janvier, je ne suis toujours pas remis à 100 %.

Ma femme Jade, qui n’est jamais malade…

…a elle aussi été atteinte, et continue de tousser aujourd’hui encore.

Avez-vous observé le même genre de phénomène, autour de vous ?

Beaucoup de gens disent avoir vu énormément de gens malades pendant les fêtes.

Il est vrai qu’autour de moi, j’ai entendu parler de beaucoup de petites grippes…

…mais généralement résolues en une semaine, comme il se doit.

Avez-vous eu des proches qui ont eu des virus plus pernicieux, qui les ont mis à plat pendant plusieurs semaines ?

Dites-le-moi en commentaire, cela m’intéresse beaucoup.

D’habitude, je m’intéresse plus au « terrain » qu’au virus.

« Le terrain est tout, le virus n’est rien », dit-on souvent, à juste titre.

Et sans doute, en effet, avais-je un terrain « diminué ».

J’étais probablement en surmenage, après la sortie de mon « grand œuvre », le livre Antivax toi-même !

De façon générale, ces 3 années de covidisme délirant m’ont énormément affecté, intellectuellement et émotionnellement.

Peut-être que cette maladie était un message de mon corps, qui m’a forcé à faire une vraie pause.

Mais tout de même.

Cela n’explique pas l’état de ma femme, ni celui de mon père (qui l’a attrapé aussi, hélas).

Est-ce lié à la « dette immunitaire » ?

Certains pensent qu’à force de confinements et de « distanciation sociale », nous avons contracté une « dette immunitaire » : nous n’aurions pas été suffisamment en contact avec des virus ces dernières années, et du coup notre système immunitaire serait affaibli, moins préparé.

Un peu comme un muscle non sollicité pendant des mois, qui finit par s’atrophier.

Qu’en pensez-vous ?

Une chose est sûre, ce n’est pas le vaccin qui a affaibli notre système immunitaire, puisque ni mon épouse, ni mon père, ni moi-même n’avons reçu l’injection anti-Covid.

Alors quoi ? Un nouveau virus créé en laboratoire ? Je ne plaisante qu’à moitié, on ne sait jamais !

En tout cas, j’aimerais vraiment comprendre.

C’est pour ça que je fais appel à vous, mes chers et fidèles lecteurs.

Avez-vous subi ou observé autour de vous un syndrome grippal un peu particulier, depuis le mois de décembre ?

Que pensez-vous de tout ceci ?

Dites-le-moi en commentaire.

Je vous en remercie par avance.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Art & politique : Axel Sanson (1975- )

Axel Sanson est né à Paris en 1975. Il vit et travaille à Provins. Autodidacte, il se consacre à la production d'images à partir de 2004.

Claude Picart
Art & politique : Axel Sanson (1975- )
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Vous sentez-vous cultivés ? Passionnante conférence gesticulée (3h30) de Franck Lepage et Anthony Pouliquen : contre-histoire (politique) de LA CULTURE

Le fait d’avoir réduit la culture à l’art, pour la dépolitiser et nous désarmer, est une catastrophe méconnue.

Je vous recommande cette conférence, que je trouve passionnante et importante (et amusante) :

 


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— Étienne Chouard (@Etienne_Chouard) June 19, 2022


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