Bonsoir à tous 🙂
Un ami — Pablo Debray — vient de me faire découvrir un jeune historien — Philippe Fabry —que je trouve passionnant (même si je me sens parfois en profond désaccord avec lui) , et avec qui je vais parler demain, avec vous, d’institutions, de démocratie, et de l’influence possible des institutions sur les guerres.
Voici d’abord le lien pour suivre la rencontre, le vendredi 27 mai 2022 à 21h30 :
https://www.youtube.com/watch?v=odkf5TxSNQ0
Je voudrais ensuite vous signaler quelques pistes pour découvrir un peu son travail avant l’émission, si le coeur vous en dit.
Le site de Philippe Fabry : https://www.historionomie.net/
Son compte tweeter : https://twitter.com/Historionome
Sa page Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Fabry_(historien_du_droit)
Son dernier petit livre (3€ seulement), très intéressant :
« Le Président ABSOLU – La 5e République contre la démocratie »
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Sa chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCD9VNJ1Yy4zAOLZs6A9SURw
Pour vous aider à découvrir cet historien, je trouve très bien faite cette synthèse des travaux de Philippe Fabry, écrite par Pablo Debray (co-fondateur du MCP) :
Enfin, je vous signale les trois premières vidéos de Philippe que j’ai vues, et que j’ai trouvées très intéressantes (à la fois originales et très stimulantes pour la pensée) :
Cette vidéo sur le risque de guerre en Ukraine a été publié le 29 novembre 2021, donc bien avant l’intervention russe en Ukraine.
Il me semble utile, que l’on soit d’accord ou pas avec ces thèses, de s’abonner à cette chaîne pour élargir nos horizons de pensée.
Voilà. Nous avons, apparemment, encore beaucoup de vidéos à découvrir, mais là, j’ai déjà hâte de parler « institutions, démocratie et guerres » avec Philippe 🙂
Au plaisir de vous y retrouver, dans le chat de la rencontre ou plus tard ici, dans les commentaires.
Étienne.
L’article Rendez-vous demain vendredi 27 mai 2022, à 21h30, pour une discussion avec Philippe Fabry (historien étonnant) sur la démocratie et la guerre est apparu en premier sur Étienne Chouard - Blog du Plan C.
La contagion gagne. Alors que le service des urgences au centre hospitalier régional d'Orléans est en crise depuis des mois, l’on apprenait que, depuis mardi 17 mai, celui de Bordeaux était à son tour contraint à des fermetures ponctuelles.
"Et Chinon est actuellement dans la même situation qu’Orléans au plus fort du malaise alors Grenoble va mal", ajoute le docteur Matthieu Lacroix, urgentiste à Orléans. Dans un constat aussi réaliste que pessimiste, ce dernier considère qu’"à effectifs constants, les urgences ne s’en sortiront pas".
Le plan blanc appliqué aux urgences du CHR d'Orléans où la quasi-totalité du personnel infirmier et aide-soignant est en arrêt maladie
Rappelons que sous l’égide du conseil de l’Ordre, lundi 18 mai au soir, une nouvelle réunion de crise réunissait notamment les praticiens des urgences du CHRO et leurs homologues de la clinique Oréliance.
Selon nos informations, Oréliance (dont l’activité aurait quasi doublé alors que les urgences hospitalières avaient fermé) connaît aussi ses limites. Ceux qui ont opté pour une activité libérale et privée veillent, légitimement, à protéger leurs équipes et leur mode de fonctionnement. En conséquence, un nouveau niveau de coopération imaginé localement entre public et privé a été abandonné. Bref, aucune évolution majeure à attendre désormais en la matière.
On fait au mieux mais ça ne tiendra pas longtemps" : les urgences d'Oréliance impactées par la crise à l'hôpital d'Orléans
Revenons aux urgences du CHRO qui recevaient, en moyenne, 180 patients au quotidien. Elles ont vu ce chiffre chuter à 50 avant de revenir, actuellement, à une centaine environ.
L’accès aux urgences demeure restreint (inutile de s’y présenter pour une entorse de cheville ou une petite plaie) et les personnels soignants, en arrêt de travail pour épuisement professionnel ces dernières semaines, sont maintenant revenus à leur poste. Mais pas d’embellie pour autant?!
"A tout vouloir rationaliser, ils ont foutu le système de santé par terre. L’Agence régionale de santé (ARS) nous alerte même qu’en matière de généralistes, on n’a pas encore atteint le creux de la vague", déclare le docteur Matthieu Lacroix.
Et de poursuivre : "Le seul espoir réside dans l’augmentation du nombre de médecins et d’infirmières. Mais avec un tel manque d’anticipation, le retard ne sera rattrapé que dans dix ans. On est à l’os. À court terme, d’espoir, je n’en vois aucun?!"
Manifestement abattu, "il est de plus en plus difficile de venir travailler. On a perdu la foi. On a du mal à y croire. On veut bien être altruistes mais nombreux sont ceux à réfléchir à d’autres carrières", l’urgentiste échafaude une issue bien délicate : "Voir si le généraliste peut déléguer certaines missions à une infirmière, ce qui lui permettrait de traiter de petites urgences. Ceci afin que l’on puisse, nous aux urgences, se concentrer sur l’essentiel et l’indispensable."
Le docteur Lacroix évoque le collectif Santé en danger, lancé par le docteur Arnaud Chiche et qui compte notamment une pétition en ligne. Avec le sens de la formule, l’un des intervenants s’épanche sur la crise de l’hôpital public en estimant que "la carte bleue a remplacé la carte verte".
L’urgentiste orléanais, qui se focalise sur les enjeux nationaux, salue donc la démarche entamée par le collectif. Ce qui permettra, sans aucun doute, d’alerter le futur ministre de la Santé...
Philippe Ramond
LE FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL VEUT SAUVER LA PLANÈTE
La prétendue «élite mondiale» arrive à Davos dans un embouteillage de jets privés, hélicoptères et voitures à grosse cylindrée pour dénoncer l'irresponsabilité des peuples qui émettent trop de carbone. https://t.co/uBh7kvzCCt— François Asselineau (@UPR_Asselineau) May 26, 2022
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Au micro de @andrebercoff sir @SudRadio , le Dr @amine_umlil sur des enfants qui ont été inoculés en France alors qu'il n'y a aucune autorisation pour la tranche d'âge 0 à 4 ans. @Ilan16ans @DIVIZIO1 @louisfouch3 @f_philippot pic.twitter.com/JeeCZwYSOy
— freedomradiofrance (@SParris20) May 26, 2022
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Quand PAP NDIAYE dénonçait les « DISCOURS PETITS BLANCS »
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Royaume-Uni : Le NHS vient de modifier sa page sur la variole du singe… Pour la rendre plus effrayante https://t.co/mNn67v3l80
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 26, 2022
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Guerre d’Ukraine – Jours 89-90 – Le Forum de Davos ridiculisé par la percée militaire russe au Donbass https://t.co/8Gs6sOgmza via @cstrateges
— CourrierDesStratèges (@CStrateges) May 26, 2022
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"Vous dégagez", "Connasse": Le mépris de certains actionnaires face au courage des activistes climat qui bloquent l'AG de TotalEnergies depuis ce matin #BlocageTotal (Crédit: @greenpeacefr ) pic.twitter.com/AVT8HyagBL
— Nicolas Raffin (@Nico_Raffin) May 25, 2022
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L'acteur américain Kevin Spacey a été inculpé de quatre agressions sexuelles contre trois hommes, a annoncé le Crown prosecution service (CPS), le parquet britannique #AFP pic.twitter.com/yhsV117F7b
— Agence France-Presse (@afpfr) May 26, 2022
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À six mètres de la côte et quatre mètres de la surface, la statue est facilement visible, et encore plus facile à effrayer. La statue immergée mesure un mètre et demi de haut, pèse 250 kilogrammes, possède deux cornes et cache son cœur derrière un cadenas comme un coffre-fort. De nombreuses personnes ayant visité Mari Menuco ont déclaré avoir vu un objet mystérieux immergé dans le lac en mars et avril.
Selon LM Neuquen, un homme de 23 ans qui n’a pas voulu révéler son identité, et a demandé à être appelé Cristian, était parti faire du kayak le dimanche 10 avril. Alors qu’il retournait vers l’une des baies où se trouvait sa famille, il a remarqué qu’il y avait quelque chose sous l’eau. Il a fait demi-tour avec son kayak et est retourné sur ses pas pour voir si ce drôle de rocher ressemblait à quelque chose.
« Et là, je l’ai vu, c’était un minotaure. D’abord, ça m’a fait peur. Il y a beaucoup de mythes sur ce lac et nous en rions tous, mais je pense qu’il y a un peu de vérité dans ces histoires », a révélé l’homme au journal local. Tous les doutes qu’il avait sur les êtres surnaturels ont été confirmés à ce moment-là.
Il y avait un minotaure submergé au milieu du lac, heureusement pour Cristian et les gens qui vivent près du lac, ce minotaure est fait de fer et de ciment.
Maintenant que le Minotaure avait été repéré, pouvait-il l’atteindre et le toucher ?
Cristian a raconté avoir essayé de plonger vers la statue pour tenter de mieux la voir. Finalement, il ne l’a pas fait et est retourné sur la côte où il a parlé avec un de ses cousins, et ensemble ils sont retournés vers le minotaure submergé.
« Il ne me croyait pas. Au début, il m’a dit que je me moquais de lui, mais j’ai tellement insisté qu’il a accepté d’y aller », se souvient Cristian.
À son arrivée, l’impression de son cousin de 18 ans était la même que celle de Cristian lorsqu’il avait vu la statue. « J’ai vu son visage terrifié et j’ai ri. Je lui ai dit ‘tu ne m’as pas cru, la voilà’ et il s’est un peu décoincé. »
Ils se sont jetés à l’eau et ont essayé de plonger, mais ils n’ont pas touché la sculpture. Aucun des deux n’était préparé, et ils n’avaient pas non plus l’équipement pour pouvoir le faire.
« Mais nous avons pu la voir et c’est ce qui est bien », a déclaré le jeune homme de 23 ans, qui est retourné dans la région les week-ends suivants et est devenu obsédé par le sujet.
« Après ce jour, je suis devenu un fan de l’eau », a-t-il dit.
Alors, que signifiait le minotaure ?
Cristian a commencé à chercher ce que faisait un minotaure immergé dans un lac et a trouvé une histoire possible pour l’expliquer.
Les Mapuches sont un groupe de peuples indigènes qui vivent aujourd’hui dans le centre-sud du Chili et le sud-ouest de l’Argentine, y compris dans certaines régions de Patagonie.
Dans la vision du monde des Mapuches, il existe quelque chose que l’on appelle le « Gen Ko », qui est une sorte d’énergie protectrice de chaque lieu.
« Chaque élément de la nature a le sien et c’est pourquoi les Mapuches demandent toujours la permission d’entrer dans l’eau ou d’abattre un arbre. Ils demandent cette permission au Gen Ko », a-t-il expliqué.
De plus, dans cette même culture, lorsque ces éléments naturels se sentent attaqués, ils apparaissent.
« Je pense que nous faisons beaucoup de dégâts à l’environnement et que nous devons en prendre soin. Avez-vous vu combien de puits de pétrole sont présents autour de ce lac ? C’est un vrai problème et c’est peut-être pour cela que quelqu’un a mis ce minotaure dans le lac. Pour nous avertir que nous faisons quelque chose de mal », a-t-il expliqué.
Pour mieux comprendre l’étrange histoire d’un minotaure submergé au milieu du lac, le journal LM Neuquén s’est tourné vers Lefxaru Nawel, du Lof Newen Mapu de la Confédération Mapuce de Neuquén, qui a expliqué : « Dans notre culture, tous les éléments, en général, ont leur Gen et « Ko » signifie eau. Donc le « Gen Ko » fait référence aux énergies protectrices de l’eau. »
De même, pour les Mapuches, « Mari » signifie dix et « Menuco », zones humides.
« Cette zone, avant qu’elle ne soit inondée et que le lac ne soit créé, était un endroit très important car il y avait beaucoup de plantes qui étaient utilisées pour la médecine et elles ont des gen très importants », a expliqué Lefxaru Nawel.
Et il a poursuivi avec sa vision du monde mapuche : « Quand il y a de grands endroits, comme une rivière, un lac ou une montagne, ces énergies sont personnifiées dans des animaux ou dans des choses surnaturelles. Alors peut-être que ce minotaure implique cette protection »
De son côté, il explique qu’au-delà de la représentation que peut provoquer cette sculpture, les Gen Ko ne peuvent pas être vus par tout le monde. « Ils sont toujours là, mais tout le monde ne peut pas les voir. Nous demandons toujours la permission d’intervenir, lorsque nous entrons dans le lac ou lors des cérémonies. Dans notre culture, il y a des gens qui peuvent les voir dans les éléments naturels », a révélé Lefxaru Nawel.
Cristian est retourné au lac Mari Menuco après deux semaines. Il avait trouvé des explications, entre logique et théorie, et voulait revoir le Minotaure.
Il est allé au lac et son but était de descendre aussi près que possible du minotaure. Bien qu’il soit monté dans le kayak et qu’il ait essayé, il n’a pas réussi. « Celui qui a créé la sculpture l’a conçue de telle sorte qu’elle ne peut être vue que d’en haut, sans avoir besoin de descendre », a déclaré Cristian.
Après avoir essayé plusieurs fois, et après avoir nagé jusqu’au Minotaure avec des amis, une autre découverte a été faite. Il y avait une autre sculpture immergée dans le lac ; un masque gigantesque.
Non loin du Minotaure, Cristian et ses amis avaient trouvé un visage gigantesque posé sur le fond, mesurant 1,40 mètre sur 1 mètre. Il était sculpté avec une bouche grande ouverte, des lèvres marquées, et les mots « Eternal Journey » gravés sur les pommettes.
Par Moon of Alabama – Le 21 mai 2022
La Russie est accusée à tort de bloquer les ports maritimes de l’Ukraine et d’aggraver ainsi une pénurie alimentaire mondiale :
Les Nations unies ont averti que la guerre en Ukraine contribue à alimenter une crise alimentaire mondiale qui pourrait durer des années si elle n’est pas maîtrisée, alors que la Banque mondiale a annoncé un financement supplémentaire de 12 milliards de dollars pour atténuer ses « effets dévastateurs ».
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a déclaré que les pénuries de céréales et d’engrais causées par la guerre, le réchauffement des températures et les problèmes d’approvisionnement liés aux pandémies menaçaient de faire basculer des dizaines de millions de personnes dans l’insécurité alimentaire.
S’exprimant lors d’une réunion de l’ONU à New York sur la sécurité alimentaire mondiale, il a déclaré que ce qui pourrait s’ensuivre serait « la malnutrition, la faim de masse et la famine, à cause d’une crise qui pourrait durer des années ». Lui et d’autres personnes exhortent la Russie à libérer les exportations de céréales ukrainiennes. …
Avant l’invasion de février, l’Ukraine était considérée comme le grenier du monde, exportant 4,5 millions de tonnes de produits agricoles par mois via ses ports – 12 % du blé de la planète, 15 % du maïs et la moitié de l’huile de tournesol.
Mais les ports d’Odessa, de Chornomorsk et d’autres étant coupés du monde par les navires de guerre russes, l’approvisionnement ne peut se faire que par des routes terrestres encombrées et bien moins efficaces.
Ce n’est pas la Russie qui retient les céréales ukrainiennes ou qui bloque ses ports maritimes. L’Ukraine le fait d’elle même. Comme le rapporte le quartier général russe de coordination conjointe de la réponse humanitaire en Ukraine :
75 navires étrangers, originaire de 17 pays, sont bloqués dans 7 ports ukrainiens (Kherson, Nikolaev, Chernomorsk, Ochakov, Odessa, Yuzhniy et Mariupol). La menace de bombardements et le danger élevé de mines installées par Kiev dans ses eaux intérieures et sa mer territoriale empêchent les navires de quitter les ports en toute sécurité et d’atteindre la haute mer.
En confirmation de cela, la Fédération de Russie ouvre tous les jours de 08h00 à 19h00 (heure de Moscou) un corridor humanitaire, qui est une voie sûre au sud-ouest de la mer territoriale de l’Ukraine, longue de 80 miles nautiques et large de 3 miles nautiques.
Des informations détaillées en anglais et en russe sur le modus operandi du corridor humanitaire maritime sont diffusées quotidiennement toutes les 15 minutes sur la radio VHF 14 et 16 des chaînes internationales, en anglais et en russe.
Dans le même temps, les autorités de Kiev continuent d’éviter de dialoguer avec les représentants des États et les armateurs pour résoudre la question de la garantie du passage en toute sécurité des navires étrangers vers la zone de rassemblement.
Le danger pour la navigation que représentent les mines ukrainiennes dérivant le long des côtes des États de la mer Noire demeure.
La Fédération de Russie prend toute une série de mesures pour assurer la sécurité de la navigation civile dans les eaux de la mer Noire et de la mer d’Azov.
Vous pourriez dire que ce n’est que de la propagande russe. Mais non, ce n’est pas le cas. L’Organisation maritime internationale (OMI) a publié des rapports sur la sécurité et la sûreté maritimes dans la mer Noire et la mer d’Azov :
Au début du conflit, environ 2000 marins étaient bloqués à bord de 94 navires dans les ports ukrainiens. Depuis, 10 navires ont quitté la mer d’Azov en toute sécurité et il reste 84 navires marchands, avec près de 450 marins à bord. …
Le Conseil (C/ES.35), le 10 et 11 mars, a convenu d’encourager la mise en place, à titre de mesure provisoire et urgente, d’un couloir maritime bleu sécurisé pour permettre l’évacuation en toute sécurité des marins et des navires des zones à haut risque de la mer Noire et de la mer d’Azov vers un lieu sûr afin de protéger la vie des marins, et d’assurer la mobilisation et la navigation commerciale des navires ayant l’intention d’utiliser ce couloir en évitant les attaques militaires, en protégeant et sécurisant le domaine maritime. …
La Fédération de Russie a informé l’OMI qu’elle avait établi un corridor humanitaire, afin d’assurer l’évacuation en toute sécurité des navires une fois sortis des eaux territoriales de l’Ukraine. Malgré cette initiative, il subsiste de nombreux problèmes de sûreté et de sécurité qui entravent l’accès au couloir et la possibilité pour les navires de quitter leur poste à quai dans les ports ukrainiens.
Les ports ukrainiens sont au niveau 3 de MARSEC (sécurité maritime) et restent fermés à l’entrée et à la sortie. Des mines marines ont été posées dans les approches des ports et certaines sorties de port sont bloquées par des barges et des grues coulées. De nombreux navires n’ont plus suffisamment d’équipage à bord pour pouvoir naviguer.
L’Ukraine a également fourni ses conditions préalables à l’évacuation en toute sécurité des navires de ses ports. Ces conditions comprennent la fin des hostilités, le retrait des troupes et la garantie de la liberté de navigation dans la mer Noire et la mer d’Azov, y compris la réalisation d’activités de déminage avec la participation des États riverains de la mer Noire.
Le niveau MARSEC d’un port est déterminé par les autorités locales. L’Ukraine interdit tout simplement aux navires d’entrer ou de sortir des ports qu’elle contrôle. Elle les a pris en otage et formule des exigences déraisonnables pour leur libération.
Elle a également posé quelque 400 mines ancrées autour d’Odessa, qui sont si vieilles que certaines d’entre elles se sont détachées de leurs chaînes et ont dérivé vers le sud en direction de la Turquie.
Entre-temps, les navires étrangers qui avaient été retenus par l’Ukraine à Marioupol ont pu partir, depuis que la Russie a pris la ville et son port.
Le secrétaire général des Nations unies, M. Guterres, sait certainement tout cela. Le fait qu’il accuse la Russie d’avoir provoqué un blocus montre seulement qu’il n’honore pas la neutralité que sa position exige.
La pénurie alimentaire mondiale existe d’ailleurs depuis le début de l’année 2021. Elle n’a pas été causée par la crise ukrainienne, mais, comme l’indique un rapport d’octobre 2021, par des prix élevés suite à des perturbations de la chaîne d’approvisionnement pendant la pandémie :
La pénurie alimentaire dans le monde n’est pas seulement due à des problèmes de chaîne d’approvisionnement. Selon une enquête téléphonique rapide réalisée par la Banque mondiale dans 48 pays, un nombre important de personnes sont à court de nourriture ou réduisent leur consommation. Selon la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint leur plus haut niveau depuis dix ans, en raison de la hausse des prix des céréales et des huiles végétales. Malgré une consommation record de céréales, une pénurie est prévue sur la base de projections de consommation plus élevées.
Les accusations de M. Guterres sont un copié-collé des remarques faites par le secrétaire d’État américain Anthony Blinken lors d’une interview :
Blinken : L’Ukraine est l’un des principaux producteurs de blé, entre autres, dans le monde. La Russie, bien sûr, est elle-même un grand producteur. Et en Ukraine, il y a littéralement des dizaines de millions de tonnes de blé qui sont bloquées parce que la Russie bloque les ports ukrainiens. Il y a environ 85 navires en ce moment avec des céréales, du blé à l’intérieur. Ils ne peuvent pas sortir. Il y a encore 22 millions de tonnes de blé dans des silos près des ports qui ne peuvent pas partir.
Blinken ment à propos du blocus des ports. D’ailleurs, l’Ukraine exporte actuellement du blé par chemin de fer, par barges sur le Danube, puis par le port roumain de Constanta. Ce blé est toutefois susceptible d’aller vers Europe.
Blinken ment également au sujet des engrais :
Blinken : La raison en est qu’il y a aussi une pénurie d’engrais, car une grande partie est produite dans la région. Cela signifie que lorsque les agriculteurs pensent aux cultures de l’année prochaine, s’ils n’ont pas d’engrais, les rendements vont baisser. Il y aura donc encore moins de nourriture sur le marché et les prix augmenteront encore plus.
La Russie et le Belarus sont de gros producteurs d’engrais. Ni l’un ni l’autre n’a été empêché de produire par la guerre. Il n’y a donc pas de pénurie. La seule raison pour laquelle les États-Unis et les pays « occidentaux » n’obtiendront pas d’engrais de ces pays, ce sont les sanctions qu’ils ont décrétées contre ces pays.
Ce passage de l’interview de Blinken comporte un élément comique :
Q : Vous étiez à Kiev récemment, il y a environ un mois, et vous aviez dit que la Russie échoue et que l’Ukraine réussit. Quelle est votre évaluation aujourd’hui ?
Blinken : C’est toujours le cas. Voici ce qui est important : l’objectif numéro un de Poutine en entrant en Ukraine était d’empêcher son indépendance, sa souveraineté, de ramener complètement l’Ukraine dans le giron russe, de l’intégrer, d’une certaine manière, à la Russie. Cela a déjà échoué.
Comment Blinken pourrait-il savoir quel était ou quel est l’objectif numéro un de Poutine ? S’est-il mis dans la tête de Poutine ? Poutine lui-même a donné les raisons du lancement de l’opération dans son discours du jour de la Victoire. L’indépendance de l’Ukraine n’y a jamais été remise en question.
La question suivante après que Blinken se soit mis dans la tête de Poutine est celle-ci :
Q : Comment a-t-il pu se tromper à ce point ? Comment a-t-il pu faire une telle erreur de calcul ?
Blinken : Il est très difficile de se mettre complètement dans la tête de quelqu’un d’autre.
Ouais. C’est bien ce que je pensais.
Q : Qu’est-ce que vous entendez en matière de renseignements ?
Blinken : Eh bien, nous avions, bien sûr, de très bonnes informations sur l’agression planifiée par la Russie en premier lieu, que nous avons partagées avec le monde. Beaucoup de gens étaient sceptiques. Et c’est l’une de ces choses où, comme je l’ai dit, j’aurais aimé que nous ayons eu tort, mais nous avons eu raison. …
Lorsque, durant l’hiver 2021, Biden mettait en garde contre une « invasion russe imminente » de l’Ukraine, il ne savait pas quels étaient les plans de la Russie. Ce qu’il savait par contre, c’est que l’Ukraine préparait, avec l’aide des États-Unis, une attaque généralisée contre les républiques du Donbass, en février 2022.
Biden savait qu’aucun politicien russe ne pourrait rester en retrait si cela devait se produire. Lorsque vous savez à quelle date une guerre va commencer, il est bien sûr facile de prédire quand la réponse à cette guerre aura lieu.
À partir du 16 février, les attaques d’artillerie ukrainiennes sur le Donbass sont passées de quelques dizaines par jour à plus de 2 000 par jour, comme l’a noté et rapporté la mission d’observation spéciale de l’OSCE. Ce sont ces préparatifs d’artillerie pour une attaque en règle qui ont poussé la Russie à lancer une opération préventive en Ukraine.
Cela est confirmé par un récent bulletin d’information russe sur la libération d’Azovstal (traduction automatique) :
L’opération [russe] [en Ukraine] a commencé avec en toile de fond la situation dans le Donbass qui s’est aggravée à la mi-février. Les autorités de la RPD et de la RPL ont fait état d’une intensification des bombardements par les troupes ukrainiennes, ont annoncé l’évacuation des civils en Fédération de Russie et ont demandé la reconnaissance de leur indépendance. Le 21 février, Poutine a signé les décrets correspondants.
Encore une fois :
Tout ce qui dit le contraire n’est que de la propagande.
Moon of Alabama
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.
Intéressante initiative de Charles Gave, qui se lance dans l’édition d’un journal web dont le but est de présenter des informations sous un angle différent des médias grands publics traditionnels, dont la chambre d’écho actuelle commence visiblement à lasser un nombre croissant d’individus.
Ce nouveau journal s’appelle … LeNouveauJournal.fr et son modèle est celui de la curation de contenu sans utilisation d’algorithmes qui ont été remplacés par une équipe éditoriale (et donc humaine) qui s’efforce de vérifier et de trier les articles sélectionnés plusieurs fois par jour afin de proposer une information fiable et crédible.
Au passage, on notera que cet agrégateur humain redirige vers différents types de médias, y compris certains grands journaux, tant que l’article en question s’en tient aux faits ou n’est pas orienté. On se doute que cette occurrence devenant rare, il va être assez compliqué pour l’équipe en place de continuer sur ces sources là mais on lui souhaite tout de même bien du courage. De toute façon, l’aventure ne fait que commencer pour ce média et l’interface, pour le moment un peu aride, évoluera sans doute tout comme les sources qui intègreront un panel de plus en plus large de sites de qualité.
Bonne chance donc au Nouveau Journal.
Foucault avait déjà mis le doigt sur une vérité de notre époque dans Surveiller et punir : pourtant il n’en voyait que les prémisses ou bien seulement une partie des effets. Que la modernité est l’entreprise de négation de l’Autre, par bonté. Et dans notre recherche de la fraternité, nous constatons que : à l’évidence, les anciennes structures n’ont que les apparences de la solidité ; la République, dans sa démocratie parlementaire, ne tient plus que par l’effet de notre inertie ; l’obéissance est morte, l’obéissance à des discours humains – et l’éthique de la discussion ne fonctionne pas encore parce qu’il lui manque un référent extérieur. À prendre une idée de l’homme comme mesure de toute chose, on a fait de l’homme une idée seulement intérieure, c’est-à-dire disponible à tous les caprices. Et une idole qui nous ressemble trop, parce qu’in fine elle est nous, ne peut qu’engendrer la destruction, et non pas seulement la guerre de chacun contre tous, mais véritablement la guerre de tous contre tous, c’est-à-dire aussi contre soi-même. Jamais morale n’aura été aussi écrasante. Dans ce monde, c’est en moi que je dois tuer le mal, mais désormais sans le secours d’aucune grâce. Je suis le suspect du flic que je suis. Je suis le collabo de moi-même, qui suis bourreau et victime. Nulle voie de salut sinon l’arrêt de ma vie, de mon existence. « Je suis seul et eux ils sont tous » : ce n’est même plus vrai, puisque ma seule consolation est de savoir qu’eux aussi ils sont seuls en même temps qu’ils sont tous. Je suis un tous contre un moi seul. « Il faut qu’un seul homme meure » (Caïphe) : nous sommes tous cet homme et nous devons mourir, mais pour quel salut ? De cette haine née chez des hommes qui voulaient trop s’aimer, on peut déduire et expliquer les innombrables phénomènes d’une actualité sociale qui autrement nous demeure énigmatique.
L’effondrement des humanismes athées sur eux-mêmes, de ces humanismes devenus athées, a transféré la charge sociale et in fine politique sur les religions elles-mêmes, dans leurs constantes anthropologiques. C’est ainsi qu’on les accuse aujourd’hui de souffrir de tendances policières, communautaristes, voire totalitaires. C’est qu’en réalité, elles sont le dernier refuge organisé de la raison. On le voit couramment depuis la fin du XIXe siècle, dans le judaïsme comme dans le christianisme, dans l’islam même et dans les religions orientales, l’idée de mesure comme résistance aux progressismes prométhéens n’a pu trouver de justification que dans une invocation nouvelle des formes de vie religieuses persistantes. La Kabbale chez Buber, Benjamin, Taubes et Scholem ; la chrétienté antique et médiévale chez de Maistre, Barbey, Baudelaire, Hello, Bloy, Péguy, Chesterton, Maritain, Bernanos, Ellul ou Illich, pour s’en tenir à l’occident, ont fonctionné comme ultime référent extérieur à une nouvelle histoire qui se voulait absolument englobante. On a pu moquer la nostalgie ou la recherche désespérée d’un ailleurs, l’orientalisme ou l’archéologisme sous tous ses modes en témoignant pour les XIXe et XXe siècles : on n’a pas vu combien ce recours désespéré témoignait de la pesanteur de la chape qui s’abattait petit à petit sur l’homme moderne. Car encore une fois « seule la littérature mystique convenait à notre immense fatigue ».
Chacune de ses singularités étant niée après l’autre, il lui fallait requérir la factice originalité de l’individu, cet humain suivant que ses différences construites rendent précisément et exactement semblable à tous les autres devant la machine.
La machine, pour elle, même si son existence est avérée depuis la nuit des temps, révèle pourtant mieux que rien d’autre – la machine et son système, la machine et son dispositif – le moyen du monde occidentalisé. C’est-à-dire qu’elle en est à la fois le moyen, l’ultima ratio et la fin dernière. L’admiration de l’homme pour la machine, venue de ses mains mais capable d’autonomie une fois qu’elle est achevée, cette admiration qui comme Günther Anders l’a relevé dans une intuition des plus formidables du XXe siècle se change bientôt en honte devant une perfection que l’homme ne possède pas naturellement, est le daimon de l’histoire occidentalisante. Car une fois que l’on a dit et répété jusqu’à plus soif l’étonnant désir de liberté de cet homme-ci qui lui fait culbuter tous les dieux, toutes les traditions et toutes les limites naturelles, on n’en a encore rien dit. On n’a pas dit les moyens qu’il emploie, ni que ces moyens mimétiquement désignaient sa fin. Chez les mystiques, la jouissance mène à la connaissance. Chez l’homme qui fabrique des machines pour les adorer et qui, les adorant, devient lui-même machine, c’est tout l’inverse : il n’est d’autre connaissance que celle qui conduit à la jouissance. Ayant épuisé les ressources du monde, il ne peut plus jouir que de lui-même. Il n’y a plus d’autre, et surtout il n’y a plus d’autre dans les tréfonds de lui-même : où il atteint le stade dernier, le devenir-machine, qui est l’adéquation absolue de soi à soi. Le piège s’est refermé : nous sommes seuls face à nous-mêmes. Peut-être cela devait-il arriver. Saisissons au moins ce supplice comme une grâce : celle de comprendre quelle ouverture nous habite.
“Deutsche Waffen für die Ukraine bereits unterwegs” 🤦♂️
— Andrij Melnyk (@MelnykAndrij) May 25, 2022
Gerade von einem Regierungsmitglied aus Kyjiw per whatsapp zugeschickt bekommen. Tja. Russland darf den Krieg nicht gewinnen pic.twitter.com/giDldA20tv
L'ambassadeur d'Ukraine en Allemagne, Andrey Melnik, a publié jeudi une image laissant entendre que des armes allemandes sont envoyées en Ukraine à un rythme d'escargot. Melnik a un long passé d'insultes envers son pays hôte.
Le problème de l’Amérique ce n’est pas le contrôle plus ou moins sévère de la vente des armes à feu de poing ou à tir rapide…LE problème de l’Amérique c’est le désespoir de tout un peuple soumis à la déchéance d’une société sclérosée. Le capitalisme décadent emportera la Maison États-Unis et sa folie…
Par James Howard Kunstler – Le 16 mai 2022 – Source kunstler.com
Il ne fait apparemment aucun doute qu’un certain Peyton Gendron, 18 ans, est parti à la chasse aux Noirs à Buffalo, dans l’État de New York, et qu’il a soigneusement documenté son crime à chaque étape, de la rédaction d’un manifeste en forme de livre à la reconnaissance du lieu du crime au supermarché Topps, en passant par l’installation d’une caméra vidéo GoPro sur son front pour enregistrer son acte diabolique, qui a fait 10 morts et trois blessés.
Gendron est un cadeau pour le régime de « Joe Biden », qui avait besoin de preuves pour étayer son affirmation selon laquelle l’Amérique est infestée de « suprémacistes blancs » qui, comme l’a déclaré à plusieurs reprises le « président », constituent la « plus grande menace » pour le pays. Les morts de Buffalo serviront-ils de George Floyd cette année, déclenchant un nouvel été d’émeutes sanctionnées tacitement par le parti au pouvoir ? Qui sait ? Il est certain que cela galvanisera des gens comme Alejandro Mayorkas (département de la sécurité intérieure) et Nina Jankowicz (chef du Disinfo Governance Board) dans leurs efforts pour annuler toute personne située à droite du centre sur le transect politique et normaliser la suppression de la parole.
Mais comme pour la plupart des problèmes actuels, le récit officiel est en décalage avec la réalité. Ce que nous avons en Amérique, c’est du chaos et des meurtres dans toutes les directions raciales. Le lendemain du jour où Gendron a tiré sur le Topps, un homme asiatique d’une soixantaine d’années, qui n’a pas encore été nommé, a tiré sur une église taïwanaise près du Disneyland californien, tuant une personne et blessant grièvement quatre autres, les victimes étant toutes des Asiatiques âgés. Et la même nuit que le massacre de Buffalo, 23 personnes ont été blessées lors de trois fusillades successives autour de la salle de basket des Milwaukee Bucks dans cette ville. (Il y a quelques semaines, un maniaque noir du nom de Frank James, 60 ans, a tiré sur une rame de métro de Brooklyn, blessant dix personnes de différentes races. Le tireur avait publié sur Facebook de nombreuses diatribes contre les Blancs, les Hispaniques et même les Noirs. Les médias ont enfoui cette histoire dans leurs trous de mémoire en moins de 48 heures.
Et, bien sûr, il y a eu l’événement de la fin novembre 2021, au cours duquel le criminel et malade mental Darrell Brooks Jr, 39 ans, a délibérément précipité un SUV Ford Escape dans la parade de Noël annuelle de Waukesha, dans le Wisconsin, tuant six personnes blanches et en blessant 62, dont de nombreux enfants. Brooks avait un casier judiciaire de 50 pages et avait publié de nombreux messages sur les médias sociaux appelant à la violence contre les Blancs, saluant même Adolf Hitler pour avoir persécuté les Juifs. Il a plaidé non coupable et son procès est prévu pour octobre. Les journaux et les chaînes de télévision câblées ont abandonné l’histoire après quelques jours.
« Joe Biden » se rendra mardi à Buffalo pour présenter ses condoléances aux familles des victimes de la fusillade de Topps. (Il ne s’est pas rendu à Waukesha en novembre dernier, ni à New York en avril). Il semble que les journaux et les chaînes d’information câblées vont continuer à diffuser l’histoire de Buffalo, l’exploitant pour alimenter le récit selon lequel seul le parti Démocrate se soucie des Noirs et peut les sauver de la « suprématie blanche ». Cette fois, cependant, plus ils pousseront, plus les esprits risquent de se révolter.
Nous ne sommes pas en 2020. Le public est peut-être mieux vacciné aujourd’hui contre les provocations du gouvernement et la manipulation des esprits qu’il ne l’est contre les virus de la Covid-19. Comme l’a fait remarquer le sénateur Rand Paul (R-KY) la semaine dernière lors de son colloque avec le secrétaire Mayorkas, « Savez-vous qui est le plus grand propagateur de désinformation de l’histoire du monde ? Le gouvernement américain. » Le sénateur Paul est sur la bonne voie. Au cours de cette audition, il a demandé à M. Mayorkas si les propos tenus sur le Covid 19 dans les médias sociaux pouvaient faire l’objet d’une action officielle de « désinformation » de la part de son agence.
« J’ai dit un million de fois que les masques en tissu ne fonctionnent pas ; YouTube m’a censuré », a déclaré le sénateur Paul. « C’est une entreprise privée. Je peux avoir ce problème avec eux. Mais qu’en est-il de vous ? Vous allez regarder ça ? Je dis souvent que l’immunité naturelle due à l’infection est égale ou supérieure au vaccin. Vous allez démolir ça ? » Rand Paul est un médecin diplomé, soit dit en passant, et Alejandro Mayorkas ne l’est pas.
M. Mayorkas a répondu que si quelqu’un prétendait que les centres de vaccination « vendent en fait du fentanyl ». « Dois-je rester les bras croisés ou dois-je diffuser des informations exactes ? » a-t-il demandé.
En réalité, bien sûr, cette hypothétique absurdité de fentanyl n’est pas ce qui est en cause dans les « vaccins » Covid-19. Ce qui est en fait en cause, c’est le fait maintenant établi que les produits ARNm appelés « vaccins » ne préviennent pas l’infection ou la transmission du Covid-19, et provoquent un large éventail de dommages aux personnes, provoquant l’invalidité et la mort dans, au moins, des dizaines de milliers de cas, ce qui est beaucoup en comparaison de toutes les normes médicales antérieures.
Le gouvernement n’a cessé de mentir à ce sujet. Et les médias d’information ont docilement relayé ces mensonges, de concert avec les géants pharmaceutiques qui produisent les « vaccins ». La gouverneure de mon État, Kathy Hochul, veut toujours, de façon idiote, rendre obligatoires les « vaccins » à ARNm pour les enfants. Pfizer a diffusé une publicité dans l’émission 60-Minutes de CBS dimanche soir, promettant qu’une nouvelle « vaccination » avec leur produit douteux « ouvrira le monde » aux gens. En fait, cela ne fera rien pour protéger les gens, mais favorisera plutôt l’évolution de nouvelles et différentes itérations de nouveaux coronavirus, et cela tuera et mutilera sûrement beaucoup plus de gens, y compris des petits enfants.
Avez-vous remarqué autre chose d’intéressant et d’étrange ces jours-ci ? Dans tous les reportages sur l’Ukraine, il n’a été absolument pas fait mention du Covid-19 en rapport avec les troubles de la guerre, où l’on pourrait penser que la faim, le froid, les blessures et la saleté compromettent de nombreux systèmes immunitaires. Bizarre, un peu, hein ? Est-ce que ça a juste cessé d’exister ?
La « suprématie blanche » est le bouclier universel du régime de « Joe Biden » contre les conséquences de ses insultes à la réalité, y compris son rôle d’instigateur de cette guerre en Ukraine, sa création de tout le fiasco autour du Covid-19, depuis le laboratoire de Wuhan jusqu’à aujourd’hui, ses politiques qui induisent une inflation monétaire inconsidérée, sa négligence délibérée de la gestion des frontières, et sa corruption monumentale. Regardez-les essayer de courir avec ça aux fesses.
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
Pr Peyromaure choc
les médecins auraient… du s'opposer au pass sanitaire qui est anti déontologique
des mesures liberticide et surtout inefficace
"quand on fait le bilan du confinement le bilan n est pas bon
…bilan pass sanitaire, il n est pas bon non plus!"— sound true (@soundtrue2) May 26, 2022
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"Comment avez-vous pu tirer sur mon bébé?": le témoignage déchirant du père d'Amerie, tuée dans la fusillade au Texashttps://t.co/CxrNk5FBlp pic.twitter.com/gxGOcc9TI8
— BFMTV (@BFMTV) May 26, 2022
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Un vaccin disponible dès demain pour la variole du singe¸https://t.co/xptnIgzByd pic.twitter.com/jdu135g6DH
— TVA nouvelles (@tvanouvelles) May 26, 2022
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« Le problème était provoqué par le vaccin Johnson »
Jean Lassalle revient sur les 4 opérations du cœur qu’il a subies depuis janvier dernier. Il évoque le lien avec le vaccin.
On lui souhaite un bon rétablissement. pic.twitter.com/QUi2up9aDw— Florian Philippot (@f_philippot) May 26, 2022
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Des saignements anormaux ont fait l’objet de nombreux signalements depuis plus d’un an, de millions de témoignages féminins, mais ils ne sont pas officiellement considérés comme des effets secondaires liés aux vaccins #Covid_19 https://t.co/6K0KR6RR0h
— -_ 2019_nCoV_- (@_2019_nCoV) May 25, 2022
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Éric Dupond-Moretti a failli sauter mais il a pu compter sur le soutien de Ferrand, Kohler et Brigitte Macron qui ne sont pas trop regardants sur l’exemplarité
La France reste donc le seul pays européen à conserver un ministre de la justice mis en examen
L’exception culturelle… pic.twitter.com/cfDaVkqv74— Marcel (@realmarcel1) May 26, 2022
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@PhilippeMurer : « On voit qu'il y a une volonté de mettre en place une société où on limite la liberté d'expression. »
« On se rapproche du modèle chinois de façon évidente. » #CréditSocial #ContrôleSocial #Surveillance
Entretien complet
https://t.co/w34GP8RGB9 pic.twitter.com/gFSfyR5Q1q
— Epoch Times France (@EpochTimesFR) May 26, 2022
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26.5.22 Pr Peyromaure « Liberticides et inefficaces…»
"Mais que mes collègues médecins, beaucoup de médecins, aient poussé pour que ces mesures soient prises, ça, c'est ce qui m'aura le plus marqué pendant l'épidémie…VIDEO
https://t.co/kp7HCQVwFl
— NEO NEO (@NEONEO36174646) May 26, 2022
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Washington a admis diriger 336 laboratoires biologiques dans 30 pays à travers le monde, dont 26 en Ukraine. Cependant, les contrats saisis par l’armée russe suggèrent que les États-Unis ont en réalité signé des contrats avec 49 pays, bien plus qu’ils ne l’aient admis.
Selon Washington ces contrats ne violent pas la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1975, bien qu’ils soient développés par un organe du Pentagone, l’Agence fédérale de réduction des menaces contre la Défense (Defense Threat Reduction Agency — DTRA).
L’armée russe affirme que la DTRA a mené des expériences biologiques sur des malades mentaux ukrainiens à l’hôpital psychiatrique n° 1 (village de Streletchyé, région de Kharkov) et a utilisé un agent tuberculeux pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk).
Les laboratoires biologiques militaires américains en Ukraine ont déjà fait l’objet d’un débat au Conseil de Sécurité, le 11 mars 2022. Les États-Unis ont expliqué que, loin de préparer de nouvelles armes biologiques, leur coopération en matière biologique militaire avec l’Ukraine visait exclusivement à détruire les restes des programmes soviétiques en la matière dans ce pays. Or cela ne répond pas au fait que ce programme est poursuivi dans 30 pays au moins, ni les crédits qui y sont attribués, ni qu’ils se poursuivent depuis une trentaine d’années.
La presse chinoise, quant à elle, fait remarquer que, dans les années 80, le United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases avait dispersé des moustiques Aedes aegypti vecteurs de la dengue, du chikungunya et du virus Zika sur sa propre population dans l’État de Géorgie. Aujourd’hui la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) mène des recherches sur les « Insectes alliés ».
Officiellement il s’agit de transformer des insectes en cyborgs (photo) pour qu’ils modifient génétiquement des plantes afin d’augmenter leur rendement, mais officieusement il pourrait s’agir de l’inverse : de stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines, avaient mis en garde la revue Science, en 2018 [1].
Pour la presse chinoise, c’est cet objectif qui explique la dissémination des expériences de la DTRA dans tous les pays alentour de la Russie et de la Chine.
L’interdiction d’exporter des engrais russes à base de potasse entrave l’agriculture dans de nombreux pays, particulièrement en Afrique. La dissémination de mines navales au large de l’Ukraine empêche l’exportation des récoltes ukrainiennes vers l’Afrique et l’Asie. Cette situation fait peser une grave menace de famine mondiale dont le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, s’est déjà saisie.
[1] “Agricultural research, or a new bioweapon system ? Insect-delivered horizontal genetic alteration is concerning”, by R. G. Reeves, S. Voeneky, D. Caetano-Anollés, F. Beck, C. Boëte, Science, October 5, 2018. « L’armée d’insectes du Pentagone », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie) , Réseau Voltaire, 9 octobre 2018.
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Le PDG de Pfizer,Albert Bourla, explique au WEF qu'il y a un excédent de 7 000 000 000 de doses de son vaccin COVID dans les entrepôts parce qu'il n'y a pas assez de "populations éduquées qui pensent que les vaccins fonctionnent bien"
+ sur https://t.co/Hyo6dM26YY
« éduquées »https://t.co/cOcLSUOT57
— MAMMIE Bocock (@Medic4allHuman) May 26, 2022
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Les sanctions ont augmenté les revenus pétroliers et gaziers de la Russie https://t.co/jWZB58Wgwt
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 26, 2022
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Un document de la Nuclear Threat Initiative datant de 2021 prévoyait une bio-attaque fictive de variole du singe le 15 mai 2022 https://t.co/hVaODNXTNm
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 26, 2022
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Lyon: Nils, 21 ans, piqué au VIH à la gare Part-Dieu? «En plus je fais exprès de moins sortir en boîte pour éviter ce genre de choses» pic.twitter.com/yWd5gvWFAb
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) May 26, 2022
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Variole du Singe : ils deviennent fous !
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Des témoignages et des enquêtes décrivent un groupe de « lieux d’hébergement temporaire » dispersés à travers la Russie vers lesquels certains Ukrainiens provenant des territoires envahis ont été envoyés. Moscou les décrit comme des « refuges » et Kiev comme des « camps spéciaux » où les Ukrainiens sont emmenés puis disparaissent.
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Au lendemain de la fusillade de l’école primaire d’Uvalde au Texas, le candidat démocrate au poste de gouverneur, Beto O’Rourke accuse l’actuel gouverneur Gaby Abbott, de n’avoir rien fait pour empêcher ce massacre. « Cinq des pires fusillades de masse de l’histoire des États-Unis, ici même dans cet État au cours des cinq dernières années – il était gouverneur pour chacune d’entre elles », a déclaré Beto O’Rourke après avoir interpellé le gouverneur Abbott lors d’une conférence de presse.
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Charles Consigny : « Macron s’autorise tout, c’est un enfant gâté qui n’a pas de barrière éthique »
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Par Natsouth − Le 25 mai 2022 − Source The Saker’s Blog
Le port d’Odessa
Il y a plusieurs sujets de discussion qui sont surveillées concernant les plans et les développements faits par l’Occident pour ouvrir les ports commerciaux ukrainiens de la mer Noire. Un pot-pourri d’articles est apparu récemment sur les expéditions de céréales depuis la Russie et la pénurie de céréales causée par le conflit. Comme toujours, ces articles des médias institutionnels occidentaux font partie d’un effort de propagande visant à dépeindre la Russie sous le pire jour possible, des articles avec peu ou pas de preuves, juste des allégations, des données faussées ou des omissions flagrantes d’informations gênantes mais cruciales. Cet article décrit les développements et les problèmes liés aux ports ukrainiens de la mer Noire, où la navigation commerciale est piégée, à l’OTAN ainsi qu’aux activités ukrainiennes liées à la navigation en mer Noire.
Soyez indulgent avec moi alors que je me faufile entre plusieurs sujets distincts centrés sur les ports ukrainiens qui ne sont plus en activité. Les principaux commentaires sont divisés en deux grandes parties avec une analyse sur les éléments maritimes.
Affirmation 1 : La Russie utilise le blocus des exportations de céréales ukrainiennes comme un outil de pression sur le monde entier.
Déclaration 2 : (tiré de The Economist)
Comment débloquer les ports ukrainiens pour soulager la faim dans le monde. Il y a peu d’options pour que le grain ukrainien atteigne le marché global.
Déclaration 3 : « La Russie vole les céréales de l’Ukraine ». Absurdités et allégations non vérifiées.
Des images exclusives de la compagnie étasunienne Maxar Technologies montrent les forces russes en train de voler le grain dans les ports ukrainiens.
Déclaration 1 et Déclaration 2
Les médias occidentaux sont passés maîtres dans l’art de la tromperie. Ils fournissent juste assez d’informations pour créer un récit, mais omettent délibérément des informations ou des données de base pour donner au récit un aspect négatif. À première vue, ce récit est tellement biaisé que beaucoup s’empresseront de le rejeter comme une absurdité. Je serais prudent car les États-Unis, l’UE et l’OTAN déploient un effort narratif bien plus large. Il est exaspérant de laisser entendre qu’une crise alimentaire mondiale est imminente uniquement parce que les ports ukrainiens ne sont pas en mesure d’exporter les récoltes.
L’Ukraine continue à exporter des céréales via les ports roumains, qui continuent à fonctionner normalement, en particulier Constanta, comme le rapporte DW (DW avril 2022). On prévoit que 1,5 million de tonnes (mmt) de céréales ukrainiennes seront exportées par les ports roumains au cours du seul mois de mai et que 3 mmt pourront être exportées dans un avenir proche. (Reuters mai 2022), (Reuters 24 avril 2022)
Même si le débit ne sera pas du même ordre que celui d’Odessa, par exemple. Même la Lituanie a déclaré qu’elle pouvait contribuer à l’exportation de céréales ukrainiennes grâce à son réseau ferroviaire et à ses ports. En outre, l’utilisation du Danube comme voie navigable de transport vers les ports de l’UE se fait par le biais de barges à partir de ports intérieurs, ainsi que des propositions d’utilisation des ports de l’Adriatique (HINA 24 mai 2022).
Le transport routier est utilisé pour acheminer les récoltes vers les plateformes portuaires roumaines. Il n’est pas aussi rapide non plus, mais il se fait malgré les goulets d’étranglement aux points frontaliers. Le réseau ferroviaire ukrainien est déjà sous pression avec les expéditions militaires et l’infrastructure ferroviaire a par conséquent été dégradée lors des frappes aériennes russes et ne peut donc être utilisée que de manière limitée, (Zdopravy cz en tchèque).
Navires de charge, dont certains seront des vraquiers, au mouillage au large du nord de la Roumanie Source : AIS de trafic maritime. (Tous ne sont pas des céréaliers mais cela montre la congestion du trafic).
Sky News a exceptionnellement pu avoir accès au port d’Odessa où plus d’un quart de million de tonnes de grain sont bloqués depuis des mois sans moyen de rejoindre la mer.
The Economist cite le chef du Programme Alimentaire Mondial qui a déclaré : « au cours des neuf prochains mois, nous verrons la famine, nous verrons la déstabilisation des nations et nous verrons une migration massive ». Par ailleurs, le secrétaire général des Nations unies a lancé un appel à la Russie pour qu’elle permette « l’exportation en toute sécurité des céréales stockées dans les ports ukrainiens ». Il y a beaucoup de choses à déballer en ce qui concerne l’ensemble du récit en train d’être diffusé.
The Kyiv Independent
Zelensky : La Russie bloque 22 millions de tonne de grain dans les ports ukrainiens.
Le président ukrainien ajoute que le Russie vole les récoltes de l’Ukraine. Selon le ministre ukrainien de l’agriculture, les exportations de grains sont limitées à 500 tonnes par mois comparées aux 5 millions d’avant-guerre.
Pourtant, NEXTA utilise des chiffres différents. Qui a raison ? Le principal terminal céréalier d’Odessa a une capacité de stockage de 5 millions de tonnes. D’où vient le chiffre de 25 millions de tonnes (mmt) de céréales, ci dessous ? Je soupçonne que les chiffres sont susceptibles d’être amplifiés pour créer une image plus inquiétante.
25 millions de tonnes de grain sont bloqués dans le port d’Odessa et, en général, à cause du blocus du port par la Russie, l’Ukraine ne peut pas exporter 90 millions de tonnes de grain, perdant ainsi 170 millions de $ par jour.
Sur un point trivial, une fois de plus il y a des aspects qui ne collent pas, 5 à 9 semaines d’attente pour l’exportation des récoltes (NEXTA) contre 6 jours (Sky News 23 mai 2022). Revenons au tableau d’ensemble, absent du récit des médias. Regardons brièvement les chiffres sur les exportations de céréales pour avoir une vision plus large du sujet.
2020-2021 | 2021-2022 (prévisions ) | |
Production céréalière ukrainienne | 65 mmt | 80 mmt |
Production céréalière russe | 85 mmt | 85 mmt |
Comme l’a rapporté Reuters cette semaine, l’Ukraine a quand même réussi à exporter des récoltes : « Les données du ministère ont montré que l’Ukraine a exporté 46,51 mmt jusqu’à présent au cours de la saison 2021/22 juillet-juin, contre 40,85 mmt la saison d’avant. » (Reuters 19 mai 2022)
Franchement, 22 mmt de céréales ne changeront pas grand-chose à la pénurie mondiale en l’état actuel des choses. Paradoxalement, l’Ukraine paie les armes fournies par l’Occident grâce aux exportations de céréales. Est-il surprenant que l’Ukraine veuille utiliser Odessa pour expédier ses 70% d’exportations prévues de récoltes de céréales et d’autres produits, afin de pouvoir continuer à payer les livraisons d’armes ? Les exportations ukrainiennes ont largement été transférées vers la Roumanie, à en juger par l’encombrement des navires observé sur l’AIS.
Il est important de noter qu’aucun des experts occidentaux ou des médias corporatifs n’a été capable de mentionner le fait que la Russie est le plus grand exportateur de céréales au monde, environ 4 fois la quantité de blé que l’Ukraine produit, environ 18% des exportations mondiales et cette année, on s’attend à une récolte record. Selon le rapport STAT de la FAO, l’Ukraine était le 8e plus grand producteur de blé, tandis que la Russie était en troisième position en 2020, derrière la Chine et l’Inde.
Ces chiffres changent radicalement lorsqu’on examine les données relatives aux plus grands exportateurs de blé :
La crise en Ukraine risque de faire augmenter le prix du blé. Les plus grands exportateurs de blé (en tonnes)
La récolte de blé russe pourrait atteindre 85,0 mmt cette année, et le pays a le potentiel d’exporter 39,0 mmt, bque l’on s’attende à ce que les exportations de récoltes soient freinées. En fait, les médias institutionnels brouillent soigneusement les pistes en fusionnant les données de production et d’exportation des deux pays. Par exemple, The Guardian affirme que « les 41 nations les moins développées du monde importent un tiers de leur blé d’Ukraine et de Russie. »
Après avoir vérifié que l’Ukraine exporte toujours ses produits, passons à l’autre aspect inquiétant, la crise alimentaire mondiale et la faim. En bref, la crise alimentaire mondiale n’a pas été déclenchée par le conflit ukrainien actuel, mais a en fait commencé à la mi-2021. Un autre aspect est que les conditions mondiales pour le blé sont les pires depuis plus de 20 ans en raison des conditions de sécheresse, (World Grain 23 mai 2022) qui ont sévèrement réduit la production de céréales et la récolte.
« Je partage ces informations parce que nous pensons qu’il est important que vous compreniez tous que même si la guerre prenait fin demain, notre problème de sécurité alimentaire ne disparaîtra pas de sitôt sans une action concertée », Sara Menker, directrice générale de Gro Intelligence.
Pourtant, le chœur des États-Unis, de l’UE et de l’ONU a commodément sauté dans le train de l’attribution de la faute à la Russie, comme le souligne le titre de cet article :
Poutine affame des millions de gens dans le monde.
Avec des prix alimentaires à un niveau jamais atteint, 276 millions de personnes sont en « insécurité alimentaire », plus du double par rapport à 2019.
Encore un titre qui brouille l’information pour servir la propagande contre la Russie. Vous savez qu’il s’agit clairement de propagande lorsque les articles ne tentent même pas de présenter un point de vue russe.
La Russie est un énorme exportateur de céréales et d’engrais, elle est donc en mesure de continuer à exporter ses produits. Toutefois, depuis que les États-Unis et l’Union européenne ont imposé des sanctions, la Russie impose des conditions aux exportations, par rétorsion. De même que pour les exportations de pétrole et de gaz, la Russie va obliger les pays hostiles à acheter à des prix élevés en roubles ou va complètement arrêter de leur vendre, tout en encourageant les pays neutres et amis du sud à acheter ses produits à un prix plus bas. Cette situation a paralysé les États-Unis et l’UE, et les sanctions ont déjà eu un effet boomerang important.
J’ai brièvement abordé la question de la faim, même si je suis réticent à l’idée de l’approfondir, car c’est un peu trop pour un seul article, je me suis donc contenté d’exposer brièvement les problèmes, d’en esquisser les grandes lignes. Il faudrait un article beaucoup plus long pour démonter étape par étape le récit artificiel et je pense que d’autres personnes sont plus compétentes dans ces domaines.
Dans ce contexte d’histoire de grenier à blé ukrainien, de plus en plus de pays cessent d’exporter leurs cultures, exacerbant ainsi la crise alimentaire, alors que les États membres de l’UE continuent d’encourager les agriculteurs à arrêter leur production. Il convient de mentionner à ce stade que la quasi-totalité de ce que l’on appelle la « communauté internationale » a empêché les navires exploités, battant pavillon ou affrétés par la Russie de faire escale dans ses ports et que les compagnies maritimes ont réduit leurs services vers la Russie.
Déclaration 2
Comme nous l’avons déjà souligné, selon plusieurs articles des médias occidentaux, la Russie a contribué à une pénurie mondiale de céréales en envahissant l’Ukraine. Cet angle spécifique est poussé conjointement par l’UE, le Royaume-Uni et les États-Unis. Cela devrait être classé dans la même catégorie que l’affirmation de l’administration de Washington disant que le président Poutine est responsable de l’inflation galopante aux États-Unis.
Le point d’achoppement à noter est le « déblocage » des ports, car il y a une référence implicite à des moyens militaires, en donnant des missiles à l’Ukraine pour détruire la marine russe, afin de permettre aux navires de naviguer dans la zone. Un autre angle est l’intervention extérieure, les escortes navales des navires vers les ports ukrainiens. Ces aspects sont discutés plus en détail dans la partie 2.
Déclaration 3
CNN est la source principale de toute désinformation, des agitateurs de première classe écrivant des articles basés sur des allégations. « Les forces russes volent des céréales dans les ports d’Ukraine ». Comme mentionné, les images satellites proviennent de Sébastopol. Ce qui n’a pas été mentionné, c’est qu’il s’agit de la Crimée, qui fait partie de la Russie depuis 2014.
Cet instantané médiatique pourrait bien sembler anodin, mais là encore, cela fait partie d’un programme sous-jacent plus profond. Essentiellement, les Russes volent leurs propres céréales, produites et récoltées il y a de nombreux mois, avant février. Ces affirmations ridicules font maintenant le tour des médias, alors même les services OSINT pro-occidentaux jouent le jeu et suivent même les mouvements des vraquiers. Au même moment, NEXTA déclarait que la Russie avait volé environ 400 000 tonnes de céréales dans les régions occupées d’Ukraine, selon la Verkhovna Rada. Un fait absolument sans preuve, aucune information vérifiable sur la chaîne logistique allant du stockage au silo, juste une photo d’un navire chargeant des céréales depuis un silo portuaire.
Pourtant, la plupart des zones occupées sont en fait le Donbass, la DNR et la LNR qui essaient maintenant de remettre en service le port de Marioupol, ce qui est décrit comme faisant partie du processus de vol d’autres récoltes. Peut-être que les chiffres couvrent également la région de Kherson. 400 000 tonnes, c’est une goutte d’eau dans l’océan par rapport à la capacité agricole globale de l’Ukraine. « La plupart des 1,5 million de tonnes de céréales volées par la Russie », dit l’Ukraine, eh bien en fait, ce chiffre correspond exactement au rapport d’août 2021 sur la quantité totale de récoltes en Crimée pour cette année-là, (RGRU août 2021).
Il s’agit d’une méthode éprouvée qui consiste à façonner des récits à partir d’images satellite, puis à créer une histoire à partir de ces images. Par conséquent, ce type d’articles ne doit pas être immédiatement rejeté comme une absurdité et un tas de mensonges, mais considéré comme un piège médiatique. Ces articles doivent être totalement décortiqués et démystifiés.
Les Ukrainiens aggravent chaque jour la situation par leur malveillance absolue à l’égard de la Russie. Les allégations de vol d’exportations de céréales sont un moyen détourné d’entraver les exportations russes de la mer Noire, ce qui ne ferait qu’aggraver la crise alimentaire mondiale.
L’Ukraine a demandé à la Turquie d’interdire les navires russes transportant des céréales (Maritime Executive, 17 mai 2022). L’Égypte et le Liban ont récemment refusé l’accostage d’un navire russe après avoir appris que la cargaison avait été volée à l’Ukraine (le même navire que sur les images de CNN, également rapportées par le tristement célèbre site ukrainien Peacemaker). Le navire se trouve maintenant en Syrie. (CNN 12 mai 2022)
Nous atteignons maintenant les sommets de l’hypocrisie. Vous savez mieux que quiconque que la Russie NE BLOQUE PAS les exportations d’aliments hors des ports ukrainiens. Vous les avez minés et vous utiliser les cargos étrangers comme remparts. Et la nourriture passant par voie terrestre ne va pas aux africains mais sert à payer vos factures d’armements.
La Russie risque d’affamer des millions de personnes en bloquant nos ports. Avec nos partenaires, l’Ukraine a décidé d’ouvrir deux voies terrestres pour exporter de la nourriture et sauver l’Afrique et d’autres régions de la famine. La Russie doit arrêter son blocus et permettre d’exporter librement.
Le tweet ci-dessus est le point de vue de la Russie, en quelques mots. C’est l’Ukraine qui a fermé ses ports le 24 février, en piégeant les navires y étant amarrés et en posant peu après des mines le long de la côte. Les cargos piégés ne sont tout simplement pas autorisés à partir.
La Russie a récemment déclaré que Kiev empêchait 75 navires étrangers de 17 pays de quitter ses ports (Ministère russe de la défense, mai 2022).
Ce récit a été élaboré depuis plusieurs mois maintenant, il a d’abord commencé par nier que l’Ukraine a posé des mines marines pour arrêter un éventuel assaut amphibie russe sur ses côtes, principalement dans la région d’Odessa. Pratiquement tous les médias et experts occidentaux ont repris la position ukrainienne selon laquelle c’était des mines marines russes. Comme l’indiquent les communiqués de presse du ministère de la Défense et des autorités maritimes russes, les mines ukrainiennes ont dérivé dans toute la mer Noire.
On estime que 200 à 400 mines d’ancrage ont été posées autour d’Odessa et au nord-ouest de la mer Noire. En février, certaines d’entre elles se sont détachées de leurs chaînes, pendant des tempêtes, et ont ensuite dérivé vers le sud, portées par le courant. Quelques mines ont, à plusieurs reprises, temporairement fait fermé le Bosphore au transit maritime.
L’une d’entre elles, neutralisée par la marine roumaine, était une ancienne mine marine portant des marques ukrainiennes distinctes (Mangalia News, 3 avril 2022).
Du au danger posé par les mines, la navigation est interdite jusqu’au prochain avis dans les régions délimitées :
Nous avons maintenant le récit du blocus des cultures céréalières par la marine russe, lié aux alarmes d’une famine mondiale, opportunément provoquée par la Russie, (comme indiqué précédemment dans la première partie). Des appels ont été lancés pour que des navires de l’OTAN escortent les vraquiers en mer Noire. Un léger problème se pose alors : qui devra déminer les ports ukrainiens ? L’Ukraine ou l’OTAN ? L’envoi de navires sera une entreprise très dangereuse, ne serait-ce qu’en raison du risque de dérive des mines marines (voir la section sur l’analyse maritime ci-dessous).
Le journal britannique The Guardian mentionne que le Royaume-Uni élabore avec ses alliés un plan potentiel proposé par la Lituanie, visant à envoyer des navires de guerre en mer Noire avec pour mission d’escorter les navires exportant des céréales ukrainiennes, principalement depuis Odessa.
« La Grande-Bretagne soutient en principe l’appel à une coalition navale ‘des volontaires’ pour relancer les exportations par la mer Noire. » (The Guardian 23 mai 2022)
Le ministre lituanien des Affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis, a déclaré : « Il n’y a aucun moyen de stocker ce grain et aucune autre route alternative adéquate ». Il ment comme un arracheur de dents puisque la Roumanie exporte actuellement des récoltes de céréales ukrainiennes et que même la Lituanie a proposé d’aider à exporter des récoltes également.
« Les forces navales alliées débarrasseront la zone autour du port des mines russes pour assurer le transport. » Potentiellement, vous pouvez voir où tout cela mène, avec la possibilité supplémentaire d’une résolution de l’ONU, puis l’organisation de convois de navires de l’ONU/PAM, initialement escortés par des marines non-OTAN, comme le vante le ministre lituanien des affaires étrangères dans son plan. Toutefois, la ministre britannique des affaires étrangères, Liz Truss, ne partage pas cette vision, car elle souhaite que les forces navales britanniques y participent.
En fin de compte, les marines de l’OTAN n’appartenant pas à la mer Noire auront alors un pied dans la mer Noire et feront effectivement d’Odessa un avant-poste de l’OTAN.
En outre, toute cette campagne d’information est alimentée sans cesse au goutte-à-goutte, mais elle débouche aussi sur l’approbation de nouvelles livraisons de missiles antinavires, par les États-Unis et l’OTAN, à l’Ukraine pour attaquer la flotte russe de la mer Noire. Bien que je soupçonne que de telles livraisons ont déjà été effectuées secrètement. Les missiles britanniques Brimstone sont déjà en service opérationnel dans l’armée ukrainienne.
Liz Truss a déclaré que « le Royaume-Uni souhaiterait que des navires de la marine britannique se joignent à l’escorte si les modalités pratiques pouvaient être réglées, notamment en déminant le port et en fournissant à l’Ukraine des armes à plus longue portée pour défendre le port contre une attaque russe. » Voyez comment une « mission humanitaire » est étroitement liée à un argumentaire pour « envoyer plus d’armes ».
Juste au bon moment, il est rapporté que le Danemark enverra des AsHM Harpoons à l’Ukraine, (Defense News 23 mai 2022).
Le jeu des reproches grossier et cynique mis en œuvre par l’Occident se poursuit. Au lieu d’amener Kiev à mettre en œuvre les accords de Minsk, l’Occident augmente maintenant les menaces et les crises, sautant de Charybde en Scylla.
Dans l’ensemble, il y a un effet boule de neige avec la fabrication d’une agitation émotionnelle basée sur un récit disant que la Russie « provoque la famine mondiale » en « bloquant les navires dans la mer Noire » ? Reliez les points : La Russie est mauvaise. Ce n’est pas tout, il y a aussi le périlleux montage en cours d’élaboration, comme le mentionne The Economist, sur la façon de débloquer les ports ukrainiens ? Il n’est pas nécessaire d’avoir une boule de cristal pour voir la possibilité d’une implication de l’OTAN, une autre série de justifications de missions militaires basées sur la responsabilité de protéger, comme on l’a vu au Kosovo et en Libye.
Pour cela, les médias institutionnels occidentaux présentent une série de micro-événements sur une base régulière. Chaque événement est imbriqué et conçu pour prendre de l’ampleur, comme une boule de neige, spécifiquement conçu pour manipuler les émotions (un peu comme les 5 minutes de la haine d’Orwell) et servir de justification à certaines actions économiques et militaires sous de faux prétextes. Les articles sur le déblocage des ports ukrainiens entrent parfaitement dans cette catégorie.
Il n’y a pas de blocage physique de la navigation commerciale dans les ports ukrainiens. Portez une attention particulière à cet extrait du site Web de l’Organisation maritime internationale (OMI) :
L’Ukraine a indiqué ses préconditions pour que les bateaux puissent quitter ses ports en sécurité. Elle demande la fin des hostilités, le retrait des troupes, d’assurer la liberté de navigation en mer d’Azov et en mer Noire, dont le déminage avec la participation des Etats du littoral de la mer Noire.
Comme le montre cette capture d’écran, l’Ukraine a fixé des conditions préalables pour que les navires puissent quitter les ports ukrainiens, il ne s’agit donc pas d’un blocus de la Russie à proprement parler. L’Ukraine retient en otage les navires et les équipages étrangers dans le cadre de ses efforts pour obtenir davantage d’intervention et d’armes de l’Occident. L’OMI, une organisation des Nations unies, confirme ce que les diplomates russes ne cessent de dire depuis des mois.
Le secrétaire d’État américain ment comme un arracheur de dents ou se trompe complètement lorsqu’il déclare : « Il y a environ 85 navires en ce moment avec des céréales, du blé à l’intérieur. Ils ne peuvent pas sortir. Il y a encore 22 millions de tonnes de blé dans des silos près des ports qui ne peuvent pas y arriver. » Eh bien, certains des 85 navires sont à Marioupol, transportent des produits sidérurgiques. D’autres navires dans les ports ukrainiens sont des pétroliers et d’autres transportent des engrais. Blinken a juste relevé la déclaration de l’OMI, hors de son contexte : » […] il reste 84 navires marchands, avec près de 450 marins à bord. Ce nombre continue à diminuer régulièrement. »
« Ce nombre continue de diminuer régulièrement. » Hé ! Quelqu’un se pose la question de savoir comment et quand ?
Ce n’est pas la Russie qui entrave l’accès aux ports. L’Ukraine a posé des mines au hasard en février et veut maintenant que l’OTAN les enlève, mais seulement lorsque les troupes russes auront quitté l’Ukraine, le Donbass et la Crimée. Pourtant, en même temps, il y a une crise alimentaire et l’Ukraine a besoin d’Odessa comme plaque tournante pour l’exportation de céréales. Les autorités ukrainiennes présentent un large éventail de demandes, ce qui laisse suffisamment d’espace pour que les souhaits de l’OTAN et des États-Unis soient progressivement mis en œuvre.
Le blocage physique des navires dans les ports par les autorités ukrainiennes est également mentionné dans le document de l’OMI : « Des mines marines ont été posées dans les approches des ports et certaines sorties de port sont bloquées par des barges et des grues coulées. De nombreux navires n’ont plus suffisamment d’équipage à bord pour naviguer. » C’est certainement arrivé à Marioupol et dans cette capture d’écran de montage, vous pouvez voir les barges coulées pour empêcher les navires de partir ainsi que les mines à proximité, (lien vidéo Telegram 15 mai 2022, lien vidéo 9 avril 2022). Ce n’est pas la Russie qui a paralysé physiquement l’accès aux ports et piégé les équipages à bord des navires. Des mines marines ont également été trouvées sur terre, éparpillées autour de Marioupol, l’une d’elles a même été placée dans un minibus ukrainien appartenant à la Garde nationale ukrainienne (Azov), (lien vidéo avril 2022), mais il s’agit de mines marines russes selon les médias institutionnels et les experts occidentaux.
Un autre aspect à considérer est la question de l’assurance et de l’équipage des navires commerciaux. Comme le mentionne l’OMI, un certain nombre de navires n’ont pas un équipage suffisant pour naviguer en toute sécurité. Même si les navires étaient autorisés à entrer et sortir de la zone, il serait très difficile d’avoir l’assurance nécessaire pour y entrer, étant donné que les opérateurs et les affréteurs ne voudront pas exposer un navire, son équipage et sa cargaison à des « risques de guerre » sans l’assurance ou les contrats nécessaires. Il faudrait des équipages disposés à se rendre dans une zone de guerre. La situation est compliquée par le fait que le gouvernement ukrainien a placé les ports au niveau 3 de MARSEC (sécurité maritime) et qu’ils sont donc fermés à l’entrée et à la sortie.
Les alertes NAVAREA III confirment également le risque de guerre dans la région nord-ouest de la mer Noire. Malgré cela, le ministère russe de la défense a déclaré que « la Fédération de Russie prend toute une série de mesures globales pour assurer la sécurité de la navigation civile dans les eaux de la mer Noire et de la mer d’Azov ». Le corridor maritime bleu de l’OMI fait partie de cette initiative.
Passons à un autre aspect digne d’intérêt. Pas un seul média occidental n’a pris la peine de mentionner ce que font le ministère de la Défense et la marine russes pour faire face au blocage de la navigation. Comme pour les désormais célèbres corridors terrestres, la Russie a mis en place une version maritime pour la navigation civile. Il ne s’agit pas d’un blocus. Ce corridor humanitaire fait partie de l’initiative de l’OMI visant à « établir et soutenir la mise en œuvre d’un corridor maritime bleu sûr dans la mer Noire et la mer d’Azov ». De même, il n’est pas fait mention d’un corridor maritime sûr dans les avertissements de Navarea III, mais seulement de mines marines dérivantes et d’une zone de risque de guerre.
Par conséquent, un corridor humanitaire est disponible tous les jours pendant la journée, en tant que voie sûre désignée au sud-ouest de la mer territoriale de l’Ukraine, d’une longueur de 80 miles nautiques et d’une largeur de 3 miles nautiques. La marine russe diffuse cette opération et la localisation du couloir de sécurité en anglais et en russe toutes les 15 minutes sur les canaux radio internationaux VHF, en anglais et en russe.
Le blocus d’Odessa, plaque tournante des exportations de céréales, est un cheval de Troie permettant à l’Occident de poursuivre et d’intensifier sa guerre par procuration contre la Russie. L’Ukraine suit ces plans fous de missiles à longue portée et d’escortes navales. Pour rendre ces plans acceptables pour le public occidental docile, la Russie est constamment accusée, à tort, de déclencher une crise alimentaire mondiale.
Blog de l’auteur : https://natsouth.livejournal.com
Natsouth
Références
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone
📉DU JAMAIS VU DEPUIS 8 ANS : L'EURO TOMBE EN-DESSOUS DE 60 ROUBLES
— François Asselineau (@UPR_Asselineau) May 25, 2022
25/5-12h20
Pour la 1re fois depuis 2014, l'€ est repassé en-dessous de la barre des 60RUB,à 1 EUR = 59,75 RUB.
L'invasion de🇺🇦le 24/2 avait propulsé l'€ à 151 RUB.
L'€ a reperdu 60,5% de sa valeur depuis lors. pic.twitter.com/eqQj3JWeGL
Les images de Davos montrent une élite complètement coupée du monde instaurant un agenda 2030 impossible à tenir. Le WEF a perdu 1/3 de ses participants : Un seul ministre chinois présent : le M. Climat du gouvernement 😂
— Carėne Tardy (@Carene1984) May 26, 2022
Personne ne veut du Great Reset. Un camouflet pour Schwab pic.twitter.com/KqSxRCPIzm
A Shanghai, les autorités auraient dû procéder à la levée des restrictions avec la situation sanitaire qui s’est nettement améliorée. Malheureusement, les autorités chinoises continuent à serrer la vis dans l’application de leur stratégie zéro Covid. En Chine, nombreuses villes sont paralysées. Une situation inquiétante qui impacte sur l’économie du pays. La stratégie très stricte du zéro Covid menace les chaînes d’approvisionnement dans tous les secteurs. Presque toutes les activités économiques du pays fonctionnent au ralenti. En raison de ces restrictions, l’OMS n’a pas hésité à qualifier cette politique de « pas soutenable ». Même constat pour Anthony Fauci, qui a déclaré que les mesures de confinement prises par la Chine avaient peu de chances de réussir à long terme.
Les mesures sanitaires strictes adoptées en Chine ont généré un ralentissement de l’économie chinoise. Dans les grandes villes, notamment à Pékin, on constate une hausse du taux de chômage. Le dernier bilan établi en avril révèle également un ralentissement des exportations chinoises. Il faut dire qu’en raison des restrictions sanitaires en vigueur, de nombreuses usines de productions ont dû fermer leurs portes.
Les autorités ont d’ailleurs restreint la circulation des personnes aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les entreprises étrangères et investisseurs étrangers envisagent sérieusement de quitter le pays. Une enquête des Chambres de commerce et d’industrie allemande (DIHK) a par exemple annoncé que 47% des sociétés allemandes prévoient de ne plus investir en Chine.
Par ailleurs, la Chine a déjà renoncé à l’accueil de la Coupe d’Asie de football qui devrait avoir lieu l’année prochaine, un évènement qui pourtant, devrait booster les activités de ses nombreux secteurs économiques.
Selon les analystes et experts en économie, ce ralentissement de la croissance économique en Chine aura un impact sur l’économie mondiale. Il ne faut pas oublier que beaucoup de pays du monde dépendent de la capacité manufacturière de la Chine.
Pourtant, elle est en chute en raison de la fermeture de nombreuses usines. Alors que la demande mondiale est en hausse, certains fabricants de puces informatiques ont également dû fermer. Les usines de production de véhicules sont également paralysées. Actuellement, plus de 45 villes chinoises sont confinées, qui selon la maison courtage Nomura représentent 38% du PIB . Une délocalisation serait encore plus difficile. De plus, la politique de zéro Covid a aussi provoqué une perturbation des chaînes d’approvisionnement internationales.
Selon la prévision établie sur les projections du Fonds monétaire international, la contribution annuelle moyenne de la Chine à la croissance économique mondiale pourrait diminuer de 29% d’ici en 2027.
Si l’économie mondiale est déjà menacée par la guerre en Ukraine. La Chine, usine du monde, le retour à la normalité de l’économie mondiale n’est pas encore pour bientôt, tant que Xi Jinping maintient sa politique drastique du zéro Covid-19. La Chine restera fermée au monde pendant encore longtemps. D’après John Ferguson, expert concernant la mondialisation, le zéro Covid engendrera la fermeture ou le verrouillage des zones clés.
Zelensky n’a pas voulu négocier. Il va perdre le tiers de son pays. Sans compter les dégâts et les morts. Il a intérêt à s’exiler vite s’il ne veut pas finir pendu à un croc de boucher
— Aldebert Muriel (@AldebertMuriel) May 25, 2022
Mais la réalité incontournable est que les forces russes prennent progressivement le dessus dans la bataille du Donbass. Le porte-parole du ministère ukrainien de la défense a déclaré mardi que “la phase la plus active” de l’opération spéciale russe a commencé dans le Donbass. En termes militaires, les forces russes sont confrontées à la tâche redoutable de s’emparer des zones les mieux fortifiées de l’Ukraine, qui se préparent soigneusement à cette bataille depuis sept ans. Mais d’un autre côté, après leur victoire triomphale à Marioupol, les forces russes ont le vent en poupe”. (M.K.Bhadrakumar)
En suivant Southfront.org:
L’armée russe et les forces des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk poursuivent les opérations militaires dans plusieurs directions en Ukraine. Les tirs d’artillerie sont de plus en plus soutenus et l’armée ukrainienne est progressivement encerclée. Selon “Eurasia & Multipolarity”, il ne resterait plus que 40.000 Ukrainiens en capacité de combattre face aux troupes russes et républicaines
Après avoir pris le contrôle des environs de Liman, les unités russes ont commencé à prendre d’assaut la ville. Après des frappes d’artillerie massives sur les positions de l’armée ukrainienne, les groupes d’assaut sont entrés dans la ville, avançant depuis la direction nord-est. Au 24 mai, la majeure partie de Liman était déjà sous le contrôle des Russes.
Les forces dirigées par les Russes avancent dans plusieurs directions depuis Popasnaïa. Des groupes d’assaut se dirigent vers Bakhmut (Artemovsk). Des affrontements éclatent à Pilipchatino.
Les forces russes sont entrées dans la ville de Zolotoïe. Les affrontements se poursuivent dans les quartiers du sud de la ville.
Au nord-ouest de Popasnaïa, les combats ont atteint Vasilevka.
L’autoroute entre Bakhmut/Artemovsk et Lisitchansk est sous le contrôle des forces russes. En conséquence, l’approvisionnement militaire des troupes ukrainiennes à Severodonetsk et Lisitchansk est compliqué.
Les combats de rue se poursuivent à Severodonetsk. Malgré la menace d’encerclement, le commandement de l’armée ukrainienne poursuit le déploiement de forces supplémentaires à l’intérieur de la ville. Au moins deux bataillons supplémentaires des formations de défense territoriale ont été récemment transférés sur le champ de bataille.
En République populaire de Donetsk, l’armée russe et la milice populaire de Donetsk ont progressé dans la région de Svetlodarsk. Le 23 mai, elles ont pris le contrôle des villages de Luganskoïe et Mironovski.
Le 24 mai, un drapeau russe a été accroché au-dessus du bâtiment administratif de Svetlodarsk. Les troupes ukrainiennes se sont retirées vers le nord. Afin de ralentir l’avancée de l’ennemi, les sapeurs ukrainiens ont fait sauter un pont et ont essayé, apparemment sans succès, de détruire le barrage du réservoir d’Ouglegorsk.
Dans le sud de l’Ukraine, alors que les hostilités se poursuivent, le processus d’intégration commence dans la région de Kherson, qui est sous le contrôle des troupes russes. Le 23 mai, une zone de double monnaie a été officiellement introduite dans la région. Le rouble sera désormais utilisé en même temps que la grivnia.
Le Secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a annoncé de nouvelles fournitures militaires à l’Ukraine de la part de ses alliés occidentaux. Le Danemark remettra bientôt un lot de missiles antinavires Harpoon, tandis que la République tchèque a déjà fourni à Kiev des chars, des hélicoptères d’appuie-feu et des systèmes de missiles. Cependant le haut responsable de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrel, avait déclaré la semaine dernière, avec une franchise étonnante, que les stocks militaires de l’Union étaient presque épuisées en raison du soutien apporté à Kiev – au détriment de sa propre sécurité.
+ L’Occident a tellement piétiné les conventions de Genève depuis trente ans, à l’occasion des guerres de l’OTAN, que le Guardian raconte avec surprise comment les prisonniers d’Azovstal sont correctement traités par les Russes.
+ ‘Les régions de Kherson et de Zaporojé à partir du 25 mai entrent dans la zone du Rouble et commencent à payer des pensions et des prestations en monnaie russe.
Selon le nouveau maire par intérim de Berdyansk Alexander Saulenko, le taux de change du Rouble à la monnaie ukrainienne est fixé à 2:1 (le même taux a récemment été introduit dans la DNR à Marioupol”
+ Un certain nombre de partisans du régime de Kiev semblent fascinés par les désacralisations, qu’il s’agisse des monuments aux héros de la lutte contre l’Allemagne nazie; ou bien, plus récemment, à Paris au Père Lachaise: des militants de la cause kiévienne ont collé sur des tombes de personnes illustres des messages du type “Si je vivais encore, je soutiendrais Zelenski”.
Le propre de l’humanité, c’est de prendre soin des morts et de les respecter. La profanation des monuments à l’Armée Rouge, l’instrumentalisation des personnages illustres du Père Lachaise, les nombreux vandalismes commis sur des églises orthodoxes russes – quand elles ne sont pas volées à leur communauté – témoignent que le nihilisme est le vrai ressort des Kiéviens. Tout comme la fascination d’une partie d’entre eux pour le fascisme.
+ Le président turc Erdogan continue à bloquer le processus d’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’OTAN en se plaignant du soutien de ces pays aux Kurdes.
+ Russie et Biélorussie ont signé un accord de défense contre les armes biologiques.
+ Henry Kissinger a choqué des participants du Forum de Davos en suggérant qu’il faudrait trouver un accord avec la Russie (voir ci-dessus). Le président du Forum, Klaus Schwab, lui, a préféré féliciter la Commission européenne pour avoir saisi l’occasion de la “crise existentielle” que traverse l’Europe!
“Mais la vie est réelle, commente M.K. Bhadrakumar. Selon les estimations de la Banque mondiale, l’économie ukrainienne pourrait se contracter de 45 % d’ici la fin 2022. L’idée d’une contre-offensive ukrainienne majeure dans le courant de l’année, soutenue par l’armement lourd des alliés occidentaux, restera une chimère. Kiev pourrait même ne pas disposer d’effectifs suffisants pour mener une guerre d’ici la fin de l’année. La Russie est un ennemi redoutable et Kiev pourrait risquer une reddition abjecte dans des conditions humiliantes en aval de la bataille du Donbass“.
+ Et l’essayiste et grand reporter brésilien Pepe Escobar prend encore moins de gants dans “Zero Hedge”, le média économique conservateur américain:
“L’Ukraine est le Saint Graal de la corruption internationale. Les 40 milliards de dollars ne peuvent changer la donne que pour deux catégories de personnes : Premièrement, le complexe militaro-industriel américain, et deuxièmement, une bande d’oligarques ukrainiens et d’ONG néo-conservatrices, qui s’accapareront le marché noir des armes et de l’aide humanitaire, puis blanchiront les profits dans les îles Caïmans.
Une ventilation rapide des 40 milliards de dollars révèle que 8,7 milliards de dollars serviront à reconstituer le stock d’armes américain (et ne seront donc pas du tout destinés à l’Ukraine) ; 3,9 milliards de dollars pour l’USEUCOM (le “bureau” qui dicte les tactiques militaires à Kiev) ; 5 milliards de dollars pour une “chaîne d’approvisionnement alimentaire mondiale” floue et non spécifiée ; 6 milliards de dollars pour les armes et la “formation” à l’Ukraine ; 9 milliards de dollars en “assistance économique” (qui disparaîtront dans certaines poches) ; et 0,9 milliard de dollars pour les réfugiés.
Les agences de risque américaines ont classé Kiev dans la catégorie des entités ne pouvant pas rembourser leurs prêts, de sorte que les grands fonds d’investissement américains abandonnent l’Ukraine, laissant l’Union européenne (UE) et ses États membres comme seule option pour le pays.
Peu de ces pays, à l’exception d’entités russophobes telles que la Pologne, peuvent justifier auprès de leurs propres populations l’envoi d’énormes sommes d’aide directe à un État en faillite. Il incombera donc à la machine européenne basée à Bruxelles d’en faire juste assez pour maintenir l’Ukraine dans un coma économique, indépendamment de toute contribution des États membres et des institutions.
Ces “prêts” de l’UE – essentiellement sous forme de livraisons d’armes – peuvent toujours être remboursés par les exportations de blé de Kiev. C’est ce qui se passe déjà à petite échelle via le port de Constanta, en Roumanie, où le blé ukrainien arrive par barges sur le Danube et est chargé chaque jour dans des dizaines de cargos. Ou encore, via des convois de camions roulant avec le racket “armes contre blé”. Cependant, le blé ukrainien continuera à nourrir les riches occidentaux, pas les Ukrainiens appauvris.
De plus, attendez-vous à ce que l’OTAN invente cet été un autre stratagème monstrueux pour défendre son droit divin (et contraire au droit international) d’entrer dans la mer Noire avec des navires de guerre pour escorter les navires ukrainiens transportant du blé. Les médias pro-OTAN diront que l’Occident est “sauvé” de la crise alimentaire mondiale, qui est directement causée par les trains de sanctions occidentaux hystériques et en série“.
+ Alors que le Forum de Davos a du mal à dissimuler comme les rapports de force mondiaux deviennent défavorables à l’Union Européenne et aux Etats-Unis, ces derniers essaient, dans la précipitation, de lancer une nouvelle plateforme “indopacifique“:
“Un nouveau bloc économique comprenant douze pays de la région indo-pacifique et les États-Unis a été dévoilé lundi à Tokyo en marge de la visite du président Joe Biden. Baptisé Indo-Pacific Economic Framework (IPEF), il est conçu comme le corrélatif économique de la stratégie indo-pacifique des États-Unis.
L’administration Biden espère que l’IPEF servira d’outil important aux États-Unis dans la compétition géopolitique et économique qu’ils mènent contre la Chine. Outre les États-Unis, les premiers participants au cadre comprennent des économies majeures comme l’Australie, l’Inde, le Japon et la Corée du Sud, ainsi que des pays en développement, dont l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie, la Thaïlande et le Vietnam, et des nations plus petites comme le Brunei, la Nouvelle-Zélande et Singapour.
En gros, le bloc IPEF fournirait un système d’alerte précoce pour les problèmes de chaîne d’approvisionnement, encouragerait les industries à décarboniser et offrirait aux entreprises américaines des partenaires asiatiques fiables en dehors de la Chine. En bref, les États-Unis souhaitent renforcer leur position dans le domaine économique de l’Asie, où la Chine est le pays dominant.
L’IPEF comprendrait quatre modules différents couvrant le commerce équitable, la résilience de la chaîne d’approvisionnement, les infrastructures et la décarbonisation, la fiscalité et la lutte contre la corruption.Avec le coup d’envoi de lundi, les négociations dans chacun de ces domaines vont bientôt commencer. Chacun des 13 pays participants sera autorisé à choisir dans lequel des quatre domaines il souhaite conclure des accords sans avoir à s’engager sur l’ensemble de ceux-ci. Les paramètres des négociations devraient être fixés d’ici fin juin ou début juillet, et l’administration Biden espère conclure tout accord dans un délai de 12 à 18 mois pour le soumettre ensuite à chaque gouvernement pour ratification.
En réalité, l’IPEF est un geste désespéré de l’administration Biden pour rehausser son profil économique en Asie en tant que contrepoids crédible à la Chine. Il est conçu pour projeter les États-Unis dans le leadership économique de la région indo-pacifique”.
+ Des ambassadeurs de pays africains à Moscou ont commenté à leur manière le Forum de Davos:
+ On estime que plus de 20% des enfants ukrainiens de moins de cinq ans souffrent de malnutrition.
+ Selon l’Agence internationale de l’Energie, la demande de pétrole russe est en augmentation depuis le début de l’année, en, particulier grâce aux importations indiennes et chinoises. On notera au passage que l’Agence sort de la mission facilitatrice qui devrait être la sienne en joignant ses forces à celles de la Commission Européenne pour “aider l’Union Européenne à devenir moins dépendante du pétrole russe”.
+ Le rouble poursuit son rétablissement face au dollar (60 roubles), au yen (0,47 roubles) et à l’euro (64 roubles)
+ La Turquie, les pays d’Asie Centrale, l’Iran, Sri Lanka, le Vietnam accepteront le système russe de cartes de crédit “Mir”.
+ Les grands magasins britanniques commencent à installer des traceurs sur les emballages de produits alimentaires du fait de la recrudescence des vols.
+ Renault commence à étudier un projet de réinstallation en Russie quelques semaines après avoir quitté la Russie.
Hier j'ai fait mes courses dans la plaine et senti en prenant cette photo qu'ils ne nous auront pas. pic.twitter.com/9v94VjdSNe
— Campagnol tvl (@TvlCampagnol) May 26, 2022
Nous vivons une époque somme toute ennuyeuse, à force d'être prévisible ... Dès qu'une personnalité étiquetée "pro-russe", c'est-à-dire ne pratiquant pas la russophobie ordinaire, est soumise à des mesures de rétorsion, la bonne conscience internationale ne s'émeut pas - il est "pro-russe", à la guerre comme à la guerre...
L'Occident globalisé est bien en guerre contre le "Monde russe". L'ancien président moldave Igor Dodon a été interpellé hier notamment pour haute trahison, mais cela ne provoque aucune réaction internationale. Les systèmes démocratiques sont morts, car plus personne ne s'intéresse à la démocratie dans "le monde libre", tout ce petit monde est bien trop occupé avec la russophobie.Hier, une perquisition a été organisée au domicile de l'ancien Président moldave, Igor Dodon, dans le cadre de l'ouverture d'une enquête pour corruption le 18 mai. Sur une vidéo datant de 2019, l'on voit Dodon recevoir un paquet des mains du leader du parti Démocratique Vladimir Plakhotniouk. Cette vidéo a été publiée en 2020 par l'ancien député Yuri Renitsé, qui affirme que le paquet en question contenait de l'argent.
C'est justement sur ce fondement, que deux ans plus tard, une vendetta est lancée contre Dodon. Il est accusé sur quatre fondements : corruption passive, enrichissement illégal, réception d'un financement politique d'une source criminelle et ... haute trahison. Le lien entre le paquet et la haute trahison est particulièrement ... évident ...
Après la perquisition, Dodon a été interpellé pour 72h. N'oublions pas que cela se passe sur fond de renforcement du conflit ukrainien vers la Transnistrie, que cela se passe sur fond de manifestations de l'opposition contre la nouvelle Présidente, elle parfaitement globaliste.
Au moment de son interpellation, Dodon a écrit sur son Telegram:
"Ce n'est pas la première fois que je suis la cible d'une justice mise en scène et politiquement contrôlée. Au cours des dernières années, j'ai été la cible de nombreuses attaques et j'ai connu diverses campagnes de diffamation et des accusations non fondées. Cependant, jamais auparavant, ce n'est allé aussi loin qu'aujourd'hui."
Si le Kremlin souligne qu'il s'agit d'une affaire intérieure à la Moldavie, il déclare être inquiet de voir continuer ces attaques contre les personnes considérées "pro-russes" :
"nous sommes, bien sûr, alarmés qu'une fois de plus une telle pratique soit appliquée à l'égard d'un partisan du développement de relations amicales et mutuellement bénéfiques avec la Russie."
La russophobie est bien la maladie de l'époque, la peste morale, qui a détruit toute vie politique. Au nom de la russophobie, tous les excès sont permis, toutes les institutions lentement, patiemment construites au fil des siècles et de l'histoire, s'écroulent. Il ne reste que la barbarie d'un processus anti-civilisationnel, la vengeance, la séparation du monde entre les "siens" et l' "Autre", cet ennemi qu'il est non seulement possible, mais légitime de détruire, dès lors qu'il est soupçonné d'appartenir au "Monde russe".
C'est pourquoi l'interpellation d'un ancien Président pour haute trahison, en se cachant derrière de la corruption, ne soulève aucune réaction non plus dans les médias français, dès lors qu'il est "pro-russe" :
Karine Bechet-Golovko
Les traitements ambulatoires précoces agissent sur le Covid-19 et les bactéries de diverses manières. Certaines molécules agissent en bloquant l’entrée et/ou les effets délétères du virus dans la cellule, d’autres en prévenant d’une infection bactérienne qui peut suivre une attaque virale et provoquer une surinfection prompte à envahir l’organisme notamment lorsque le système immunitaire de l'hôte est affaibli par la vieillesse ou par des comorbidités.
Cet entretien est réalisé avec Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neurophysiopathologie à l’université d’Aix-Marseille.
Nous précisons que Jean-Marc Sabatier s'exprime ici en son nom.
Depuis le début de l’épidémie, des médecins soignent avec des molécules qui existent depuis longtemps sur le marché du médicament. Qu’il s’agisse d’hydroxychloroquine, d’ivermectine ou d’azithromycine, pour ne parler que des plus connues, ils ont été nombreux à traiter le SARS-CoV-2 avec ces médicaments connus pour lutter contre d’autres pathologies.
En France, le Pr Didier Raoult, le Pr Christian Perronne, mais également de nombreux généralistes ont utilisé ces traitements dans la phase précoce de la maladie. Ils ont publié des résultats dans lesquels on a pu constater une diminution de la charge virale et un risque moins grand de complications, d’hospitalisations et de décès.
Aux États-Unis, le Pr Peter McCullough, les docteurs Pierre Kory et Vladimir Zelenko ont été parmi les premiers à soigner avec ces traitements.
Malgré des résultats qui prouvaient une nette amélioration de l’état général des patients, ces médecins ont été moqués de toutes parts et ennuyés par les autorités sanitaires.
Pourtant, il existe bien une action de ces molécules. Pour chacune d’elles, pouvez-vous en décrire le mode d’action ? Comment ces médicaments ciblent les mécanismes impliqués dans la multiplication du virus dans les cellules ? Comment agit l’hydroxychloroquine ?
Pour rappel, l’hydroxychloroquine (ou Plaquenil) est une molécule qui possède des propriétés anti-inflammatoires, immunosuppressives (traitements de maladies auto-immunes), photo-protectrice (contre les rayons UV), anti-parasitaires (antipaludéen), et antivirales.
Les divers types de virus utilisent des modes d’entrée différents dans les cellules. En ce qui concerne le virus SARS-CoV-2 (virus enveloppé à ARN monobrin), il existe trois étapes majeures lors d’une infection cellulaire : (1) la pénétration des particules virales dans la cellule, (2) la libération du génome du virus à l’intérieur de la cellule (dans le cytoplasme), ce qui permet la copie du génome viral et la production de nouveaux virus, et (3) la sortie de ces virus/particules virales hors de la cellule.
Le SARS-CoV-2 peut pénétrer dans la cellule par deux voies : la voie « non endosomale » (voie qui n’utilise pas d’endosomes) et la voie « endosomale » (voie qui utilise des endosomes). Un endosome est une petite vésicule sphérique entourée d’une membrane cellulaire ; cette vésicule se forme lors de la pénétration — ici du SARS-CoV-2 – dans la cellule (via un phénomène appelé endocytose).
Dans la voie « non endosomale », le virus se fixe sur son récepteur cellulaire (récepteur ECA2 = enzyme de conversion de l’angiotensine-2) via sa protéine Spike, celle-ci est alors clivée par une protéase appelée TMPRSS2, permettant la fusion directe des membranes virale et cellulaire et la libération du génome viral dans la cellule. L’hydroxychloroquine serait inactive sur cette voie.
Dans l’autre voie dite « endosomale », le virus SARS-CoV-2 se fixe sur son récepteur ECA2 à la surface de la cellule, puis la protéine Spike virale serait clivée par une autre protéase cellulaire (furine ou cathepsine) permettant l’entrée — par endocytose – du SARS-CoV-2 dans la cellule.
Après internalisation par endocytose, le virus se retrouve dans une vésicule (endosome) contenant des enzymes. Cette vésicule est acidifiée (via une pompe à proton) pour permettre une fusion des membranes et la libération de la capside virale dans le cytoplasme.
L’hydroxychloroquine, qui est une base faible pouvant s’accumuler de façon passive dans les compartiments acides (endosomes/lysosomes) de la cellule, bloque cette étape de relargage viral dans le cytoplasme. Ainsi, l’hydroxychloroquine, de par son mode d’action, semble active sur la voie « endosomale » mais non sur la voie « non endosomale » de pénétration du SARS-CoV-2. De façon intéressante, il apparait que le SARS-CoV-2 et ses variants utilisent les deux voies pour une pénétration cellulaire, à l’exception du plus récent variant Omicron, qui ne semble utiliser que la voie « endosomale » de pénétration cellulaire sur laquelle l’hydroxychloroquine est active.
Néanmoins, il a aussi été montré (par le Prof. Jacques Fantini et son équipe) que l’hydroxychloroquine se fixe sur les radeaux lipidiques de la membrane plasmique (microdomaines membranaires, peu fluides et riches en cholestérol, phospholipides saturés, et sphingolipides) et empêche la protéine Spike de s’y fixer, par inhibition compétitive. On ne peut donc exclure un effet antiviral général de l’hydroxychloroquine quelle que soit la voie d’infection (fusion à la membrane plasmique ou endocytose).
Bien qu’active in vitro contre le SARS-CoV-2, il existe une controverse quant à une activité antivirale de l’hydroxychloroquine in vivo.
Qu’en est-il de l’ivermectine ?
L’ivermectine (ou Stromectol) est un médicament utilisé contre les parasites, notamment la parasitose de la gale. Elle possède également une activité vermifuge (contre les vers gastro-intestinaux), insecticide et acaricide. Chez les invertébrés, l’ivermectine agit sur les canaux ioniques chlorures (glutamate dépendants) des cellules nerveuses et musculaires inhibant la neurotransmission et provoquant la paralysie et la mort des animaux. Ces canaux sont spécifiques des invertébrés, et n’existent pas chez les mammifères.
Plus récemment, une puissante activité anti-SARS-CoV-2 a été décrite pour l’ivermectine.
Cette activité antivirale de l’ivermectine est controversée pour le SARS-CoV-2, bien qu’elle ait été démontrée in vitro (en éprouvette) et in vivo (chez l’animal) sur plusieurs autres virus à ARN, dont les virus « West Nile », de la grippe et de la dengue.
L’ivermectine agirait comme un inhibiteur de l’importine α/β1 responsable du transport dans le noyau cellulaire de molécule(s) virale(s) nécessaire(s) à la multiplication du virus SARS-CoV-2. Il est notable qu’il y aurait potentiellement plusieurs mécanismes d’action, dont un effet bénéfique (régulateur négatif) sur le système rénine-angiotensine (SRA). Le SRA est indispensable au fonctionnement de l’organisme humain ; il est présent au niveau de tous les organes et tissus, et pilote l’immunité innée et les microbiotes (intestinal, buccal, vaginal).
Or, il faut se rappeler que le SARS-CoV-2 interfère avec ce système hormonal complexe et ubiquitaire en s’attaquant à lui, le rendant dysfonctionnel, ce qui entraîne de possibles répercussions sur de très nombreux organes et tissus (le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le foie, le pancréas, le système vasculaire, le système auditif, les yeux, la peau, les intestins, les glandes surrénales, les organes reproducteurs, etc.).
Et de l’azithromycine ?
L’azithromycine (ou Zithromax) est un antibiotique de type macrolide, appartenant au sous-groupe des azalides. Il est principalement utilisé pour le traitement d’infections génitales spécifiques et d’infections sexuellement transmissibles. L’activité antibactérienne de l’azithromycine est due à sa fixation sur les ribosomes (ARN ribosomique 23S de la sous-unité 50S des ribosomes) des bactéries sensibles, ce qui inhibe la synthèse des protéines bactériennes.
Parallèlement, l’azithromycine a montré un effet antiviral in vitro (virus Zika, virus Influenza) et sur des modèles précliniques d’infections virales (virus respiratoire syncytial, rhinovirus, entérovirus). Le mode d’action serait un blocage de l’entrée du virus dans la cellule, et/ou une induction de l’immunité innée (réponse immunitaire immédiate contre les microbes) par des interférons (IFN) qui sont des molécules fabriquées par les cellules de notre organisme en réponse à une agression par un microbe afin de résister à celui-ci.
Si l’azithromycine est l’un des principaux antibiotiques contre les virus respiratoires, certains médecins ont également prescrit la doxycycline qu’ils ont souvent associée avec l’ivermectine. Quelle est la particularité de cet antibiotique ? En quoi est-il différent de l’azithromycine ?
La doxycycline est un antibiotique de la famille des tétracyclines (antibiotique bactériostatique de la classe des cyclines), et diffère donc des antibiotiques de type macrolides (tel que l’azithromycine). Comme l’azithromycine, elle inhibe la synthèse des protéines bactériennes. La doxycycline est intéressante dans la mesure où elle protège contre de multiples germes dont les manifestations peuvent être respiratoires, cutanées, génitales, oculaires ou autres. Il est notable que le Covid-19 peut se manifester par des atteintes à ces organes ou tissus (tels que les poumons et les voies respiratoires en général, la peau, les organes reproducteurs, les yeux, etc.). La doxycycline est efficace sur les parodontites infectieuses (dysbiose buccale) qui sont largement représentées dans les formes plus graves du Covid-19 et du Covid long. En parallèle, la doxycycline a des propriétés anti-inflammatoires (elle diminue l’expression de cytokines pro-inflammatoires), et présente un large spectre anti-microbien, avec des activités in vitro sur les bactéries, mais aussi les parasites (dont le Plasmodium, parasite de la malaria) et les virus (dont le SARS-CoV-2).
Dans le cadre d’un Covid gastrique, il a été question de céphalosporine de troisième génération.
La céphalosporine de 3ᵉ génération (Céfotaxime) est un antibiotique de type beta-lactamine (proches des pénicillines) possédant une action bactéricide. Elle tue les bactéries en les empêchant de synthétiser leurs parois protectrices. Un inconvénient majeur de cet antibiotique est l’apparition de possibles effets neurologiques indésirables. Le mode d’action des céphalosporines est donc différent et complémentaire de l’azithromycine et de la doxycycline dans l’arsenal anti-Covid-19.
L’efficacité de ces molécules est-elle la même sur tous les variants ?
Je ne pense pas que l’efficacité de ces molécules soit équivalente sur les multiples variants et sous-variants du SARS-CoV-2. À titre d’exemple, le variant Omicron semble pénétrer dans la cellule par la voie « endosomale », contrairement à d’autres variants du SARS-CoV-2 qui utilisent à la fois les voies « endosomale » et « non endosomale ». De plus, le variant Omicron est préférentiellement localisé dans les voies aériennes supérieures (qui sont peu accessibles au système immunitaire), contrairement aux précédents variants et à la souche « Wuhan » originelle du SARS-CoV-2. Ceci souligne des spécificités pouvant exister au sein d’une même famille de virus, ce qui suggère fortement qu’ils n’auront pas tous la même sensibilité aux diverses molécules bioactives ou médicaments utilisés.
Y-a-t-il des situations où il est préférable de privilégier une molécule plutôt qu’une autre ?
Personnellement, je recommanderais la supplémentation en vitamine D (ou dedrogyl/calcidiol en cas de Covid-19 symptomatique car bioactif plus rapidement), en présence des composés appropriés (zinc, magnésium, vitamine C liposomale, selenium, glutathion ou N-acetyl-cystéine, et vitamine K2).
Pourquoi la vitamine D ? Parce qu’elle agit -entre autres- en amont du SRA en inhibant la production de rénine. Ainsi, la vitamine D contrecarre le dysfonctionnement du SRA et la suractivation « délétère » de son récepteur AT1R à l’origine des maladies Covid-19.
Tous les médecins qui défendaient les traitements ambulatoires précoces avançaient que cela pouvait éviter les formes graves de la maladie. Pensez-vous qu’ils puissent également contribuer à éviter les syndromes associés au SARS-CoV-2 qui se prolongent bien après l’infection et que l’on nomme désormais le Covid long ou le syndrome post-Covid ?
En effet, je pense qu’un traitement prophylactique (préventif) et/ou ambulatoire précoce (par exemple, une supplémentation à la vitamine D ou dedrogyl/calcidiol, ou autre) devrait permettre d’éviter une évolution potentielle vers les formes graves du Covid-19 et également du Covid long pour la grande majorité des personnes infectées. Il aurait, à l’évidence, été préférable de procéder à des traitements ambulatoires précoces (plusieurs associations de molécules sont possibles) en cas d’infection plutôt que de préconiser de rester à son domicile avec, pour seul traitement, une prise de doliprane (qui de plus n’est pas recommandé dans le Covid-19 -contrairement à l’aspirine- car le paracétamol contenu dans le doliprane provoque un déficit en glutathion qui un antioxydant important pour lutter contre le stress oxydatif d’une suractivation du SRA induite par le virus).
TUTORIEL fantastique de Bill Gates : Comment créer une pandémie et devenir Maître du monde !! Toute l'historique d'un psychopathe ci-dessous !! pic.twitter.com/7wgNVxI7sq
— Vivre Sainement (@VSainement) May 26, 2022
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« La guerre, c’est la guerre » , et cette guerre va s’intensifier.
Par Alastair Crooke – Le 24 avril 2022 – Source Al Mayadeen
Il s’agit bien d’une guerre. L’OTAN est en guerre contre la Russie. Les juristes allemands diront peut-être que non, mais quand l’Occident arme l’Ukraine, quand les forces spéciales de l’OTAN sont à Kiev (c’est-à-dire les SAS britanniques) et forment les milices sous leur protection à l’utilisation de leurs armes pour tuer des Russes, est-il vraiment pertinent de savoir de quelle épaule est tiré le missile Starstreak (de fabrication britannique) qui abat un hélicoptère russe ? Le sait-on vraiment ?
Quoi qu’il en soit, cette « guerre » (guerre par procuration, si vous préférez) a effectivement été lancée en 2014, et s’est considérablement intensifiée en 2017, lorsque l’OTAN a cessé de s’appuyer sur les forces nationales ukrainiennes (qui s’étaient révélées quelque peu enclines à faire des défections, avec leurs armes, au profit de milices russophones), pour recourir à des internationalistes et des mercenaires, avec l’intention agressive d’affaiblir et d’embourber la Russie.
« La guerre, c’est la guerre » , et cette guerre va s’intensifier.
Personne ne connaît le nombre exact de ces milices d’extrême droite constituées par l’Occident, mais Reuters avance le chiffre de cent mille, ce que constate et approuve Jacques Baud, ancien conseiller principal de l’OTAN. Ces paramilitaires, cependant, ne jouent aucun rôle dans la guerre de terrain normale, mais se concentrent plutôt sur le maintien de « l’ordre » [c’est-à-dire la stricte obéissance] dans les villes. Et c’est exactement ce que vous avez eu à Marioupol et ailleurs. Ces milices de type Azov ne sont pas équipées pour des opérations de terrain. Elles sont équipées pour la guerre urbaine. Pour être clair, ce mode de guerre urbaine impitoyable à la Idlib ne vise pas à vaincre l’armée russe, mais à l’entraîner dans une boue étouffante et enveloppante.
Jusqu’en février de cette année, ce dispositif était essentiellement destiné à alimenter une campagne d’attrition ; un bourbier naissant. Mais soudain, le 16 février, il y a eu une augmentation massive des tirs d’artillerie du côté ukrainien (environ 30 fois plus que par le passé, selon l’OSCE) et cela a coïncidé avec les prédictions de Biden d’une invasion russe imminente. Pour les Russes, et pour le président Poutine en particulier, c’était le signe du début de la guerre d’usure attendue. Et c’est ainsi que le 24 février, l’opération militaire spéciale de la Russie a été lancée.
Pourquoi l’attrition ? Pourquoi pas une guerre ordinaire ? Eh bien, parce que l’OTAN ne voulait pas poser ses « bottes » sur le terrain. Elle voulait une insurrection de faible intensité.
Pourquoi ? Parce qu’il avait été décidé que l’effondrement de la Russie (le but ultime) devait avant tout être obtenu par une guerre financière totale (évitant ainsi les pertes américaines) : des milliers de sanctions ; la saisie des réserves de change russes ; et un effort concerté pour couler le rouble. En mars, Biden se vantait déjà dans son discours sur l’état de l’Union que le rouble s’était effondré de 30% et la bourse russe de 40%. Les combats en Ukraine devaient permettre de renforcer les effets de la guerre financière sur la Russie.
Mais aujourd’hui, nous constatons que les calculs ont changé. En fait, ils doivent changer, car la dynamique et les calendriers s’inversent :
Premièrement, l’économie de la Russie ne s’est pas effondrée. Le rouble est revenu au niveau où il était avant le 24 février. Ensuite, l’Occident a donc déployé sa PSYOP anti-Poutine sans précédent, sur fond d’allégations quasi quotidiennes d’atrocités et de crimes de guerre attribués à la Russie.
La guerre des PSYOPS a complètement imprégné le public européen d’une animosité et d’une haine passionnelles pour Poutine et les russes. Son « succès » à cet égard ne fait aucun doute.
Mais il semble qu’il y ait eu aussi une sous-intrigue anglo-américaine moins remarquée : cette sous-intrigue consiste à affaiblir l’Allemagne et à l’empêcher de s’allier à la Russie, pour au moins une génération. Cette dernière aspiration est bien établie et existait déjà avant la première guerre mondiale.
Comme l’a écrit Ambrose Evans-Pritchard dans le Telegraph cette semaine, « Olaf Scholz doit choisir entre un embargo énergétique sur la Russie et un embargo moral sur l’Allemagne » : « … Le refus de l’Europe occidentale de couper le financement de la machine de guerre de Vladimir Poutine est intenable. Le préjudice moral et politique pour l’UE elle-même devient prohibitif » .
Mais notez le corollaire : pour pousser à cet embargo énergétique de l’UE, la Grande-Bretagne fait monter les enchères en exigeant une « réponse occidentale à la hauteur de la menace existentielle à laquelle l’ordre libéral européen est confronté » .
Voici donc le grand programme révisé : la Russie survit à la guerre financière parce que l’UE continue d’acheter du gaz et de l’énergie à la Russie. L’UE et plus particulièrement l’Allemagne financent, selon le mème, la « guerre grotesque et sans motif » de Poutine. « Pas un euro ne doit parvenir à Poutine » .
Ne s’agit-il pas simplement d’une évolution des objectifs de l’Occident en février ? Non. Car la stratégie du « boycott de l’énergie russe » ne consiste pas à laisser à la « guerre du Trésor » le temps de porter ses fruits, mais plutôt à achever l’Europe, bien sûr, et l’Allemagne en particulier. Et ce sera pour bientôt.
L’Europe n’a aucun moyen de remplacer l’énergie russe par d’autres sources dans les années à venir. Mais les dirigeants européens, consumés par une frénésie d’indignation face à un flot d’images d’atrocités en provenance d’Ukraine – et par le sentiment que le « monde libéral » doit à tout prix éviter une perte dans le conflit ukrainien – semblent prêts à aller jusqu’au bout. L’embargo sur l’énergie pourrait survenir assez rapidement.
Mais voilà le hic : les États-Unis voient bien que leur « guerre » d’usure est un échec. L’armée ukrainienne est encerclée et sera bientôt anéantie (d’une manière ou d’une autre).
Ainsi, la question n’est plus de savoir si la guerre d’attrition peut donner aux sanctions plus de temps pour affecter la population russe. La guerre du Trésor échoue également (pour des raisons complexes liées au fait que la Banque de Russie lie le rouble à l’or et le rouble à l’énergie).
Là encore, ce sont les conséquences économiques/financières qui changent la donne. L’inflation monte en flèche en Europe et va encore augmenter. Et l’opinion publique est en train de changer : « Selon un sondage, le soutien de l’opinion publique aux sanctions contre la Russie diminue à mesure que la crise du coût de la vie commence à se faire sentir. La proportion de l’opinion publique qui accepterait une hausse des prix du carburant en conséquence de sanctions occidentales sévères contre la Russie a chuté de 14 points en un mois, passant de 50 % en mars à 36 % cette semaine » .
Les calendriers ne correspondent plus : les euro-sanctions ont (théoriquement) besoin de plus de temps pour faire effet. Or, l’Occident n’a pas le temps. C’est l’inflation qui frappe « maintenant » (et qui modifie le sentiment européen sur le projet ukrainien). La dernière chose que souhaite l’establishment européen est un « printemps européen » (en référence au printemps arabe).
L’Occident est confronté à un choix difficile : le soutien de l’opinion publique au projet ukrainien est peut-être en train de s’estomper, au moment même où les réalités sur le terrain montrent que l’« ordre libéral européen » ne sera pas sauvé de la désintégration, à travers l’Ukraine.
Pourtant, on a fait croire à l’opinion publique que sans une victoire de l’Ukraine européenne, sans la défaite et l’humiliation totales de la Russie, le monde libéral ne pourrait pas survivre. Ainsi, nous entendons du bout des lèvres du Haut Représentant de l’UE, Borrell, que la situation ukrainienne ne peut être résolue que par des moyens militaires. Ce qu’il veut peut-être dire, c’est que l’Occident doit être maximaliste, avant que l’inflation ne ruine le plan. L’escalade ou l’échec existentiel.
Alastair Crooke
Traduit par Zineb, relu par Hervé, pour le Saker Francophone
Le New York Post a rapporté que Reichman, un homme de 32 ans entièrement vacciné, s’est soudainement effondré « après avoir souffert d’un possible arrêt cardiaque, selon l’organisation de l’événement, le club New York Road Runners, et la police de New York ».
A man died after he collapsed at the finish line of the Brooklyn Half Marathon Saturday. Police say the 30-year-old man from Brooklyn collapsed just before 9 a.m. after crossing the finish line in Coney Island. https://t.co/1KIPMykKiX
— ABC7 Eyewitness News (@ABC7) May 22, 2022
The Wildfire Newsletter rapporte : « La course de 22 000 coureurs – du Brooklyn Museum à la promenade de Coney Island en passant par Prospect Park – s’est déroulée par une journée anormalement chaude et humide », ajoute le Post. « La température à 9 heures du matin à Coney Island était déjà de 21 degrés avec 83 % d’humidité, selon Fox Weather. »
Selon le Daily Mail : « Seize personnes ayant participé à la course de 13,1 miles ont été emmenées à l’hôpital, selon le FDNY. Cinq ont subi des blessures graves, huit personnes ont eu des blessures ne mettant pas leur vie en danger et quatre personnes ont subi des blessures mineures. »
Le semi-marathon de Brooklyn exige que les participants soient en pleine forme et qu’ils se conforment à un programme d’entraînement rigoureux.
« Des membres de la NYRR Pace Team seront sur place pour guider les participants vers des objectifs de temps spécifiques sur les 13,1 miles », indique le site Web du RBC Brooklyn Half.
Tous les participants au Brooklyn Half doivent déclarer qu’ils ont été vaccinés contre le Covid-19, précise le site officiel.
« Tous les coureurs doivent être en mesure de présenter une preuve de vaccination contre le COVID-19 pour pouvoir participer aux courses de NYRR », indique le site web. « Pour plus d’informations, consultez notre page sur la politique de vaccination contre le COVID-19. Veuillez vous tenir au courant des dernières nouvelles et directives du CDC, de l’OMS et de vos autorités locales et nationales. »
« La santé et la sécurité de nos coureurs et de notre personnel restent une priorité pour NYRR », ajoutent les organisateurs du Brooklyn Half. « Tout le personnel de NYRR pratiquera la distanciation sociale et portera les équipements de protection individuelle (EPI) appropriés. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter à help@nyrr.org. Nous vous remercions pour votre patience et votre soutien continus. »
Les organisateurs du Brooklyn Half n’ont pas exigé que les coureurs portent des masques. Il a été prouvé que les vaccins Covid-19 entraînent des risques rares, mais élevés, d’effets secondaires ; on a également signalé des effets secondaires d’inflammation cardiaque dus à l’infection Covid elle-même.
Une étude de l’Université d’Oxford avait déjà montré que le risque de myocardite, une forme d’inflammation cardiaque, était plus élevé lorsqu’on se faisait « vacciner » avec certaines injections d’ARNm que lorsqu’on contractait le virus lui-même. L’étude a été initialement publiée dans Nature en décembre.
« Nos conclusions sont pertinentes pour le public, les cliniciens et les décideurs », notent les chercheurs. « Tout d’abord, il y avait une augmentation du risque de myocardite dans la semaine suivant l’administration de la première dose des vaccins à adénovirus et à ARNm, et une augmentation plus importante du risque après la deuxième dose des deux vaccins à ARNm », conclut l’étude.
Le décès de samedi est le premier décès dans la course Brooklyn Half depuis 2014, qui a été accompagnée par un nombre sans précédent de 16 coureurs s’effondrant ou souffrant de problèmes de santé. On ignore combien de coureurs du Brooklyn Half ont souffert de complications cardiaques lors de cette journée exceptionnellement chaude et humide dans le nord-est pour la mi-mai.
Cependant, on observe une tendance inquiétante chez les athlètes qui sont confrontés à un nombre alarmant de problèmes cardiaques, alors qu’ils sont en excellente condition physique et qu’ils ne présentent pas, statistiquement, un risque élevé de mortalité lié au Covid-19. Le coronavirus touche généralement les personnes présentant des problèmes de santé sous-jacents, souffrant d’obésité clinique et/ou âgées.
Il est important de passer au crible les histoires d’athlètes qui s’effondrent ou meurent à un jeune âge. Il y a beaucoup de désinformation sur le sujet, qui découle en partie de l’ignorance des antécédents médicaux des patients et de la confusion des conditions de santé.
Voici un échantillon d’histoires pertinentes sur des athlètes qui ont récemment souffert de problèmes cardiaques et qui peuvent être corroborées de manière indépendante :
On ignore si certains joueurs sont vaccinés, car les antécédents médicaux sont des informations privées qui ne peuvent être divulguées sans l’autorisation du patient. Mais les ligues sportives américaines et européennes ont obligé les athlètes à se faire vacciner pour pouvoir participer, ce qui rend la vaccination très probable.
« Des ligues comme la NBA, la NFL et la MLS affichent des taux supérieurs à 90 %, la NHL et la WNBA dépassant les 99 % », a indiqué ABC News au sujet des vaccinations Covid en octobre. Parallèlement, Sports Illustrated a rapporté en décembre que « 68 % des joueurs de la [Premier League] ont été doublement vaccinés, 81 % d’entre eux n’ayant reçu qu’un seul vaccin ».
Bien qu’il soit impossible de savoir si l’état de santé des coureurs du Brooklyn Half est lié d’une manière ou d’une autre à la vaccination Covid, le nombre sans précédent d’effondrements de coureurs attirera davantage l’attention sur la nécessité de vacciner les athlètes avec des injections d’ARNm qui n’empêchent pas la propagation du coronavirus de manière significative et ne présentent qu’un avantage extrêmement marginal pour les jeunes, en particulier ceux qui ont déjà été infectés et qui bénéficient donc d’une immunité naturelle.
arnauddebrienne
La faute de Poutine ? Si vous pensez que les choses vont mal aujourd’hui, attendez que nous entrions dans le deuxième semestre de cette année. Les approvisionnements alimentaires mondiaux sont déjà très faibles, mais c’est la nourriture qui ne sera pas produite pendant la saison de croissance actuelle dans l’hémisphère nord qui sera problématique.
Les prix mondiaux des engrais ont doublé ou triplé, la guerre en Ukraine a considérablement réduit les exportations de l’un des principaux greniers du monde, une pandémie cauchemardesque de grippe aviaire anéantit des millions de poulets et de dindes, et des conditions météorologiques bizarres harcèlent la production agricole partout sur la planète.
J’ai souvent utilisé l’expression « une tempête parfaite » pour décrire ce à quoi nous sommes confrontés, mais même cette expression ne reflète le caractère catastrophique la crise à laquelle nous serons confrontés dans les mois à venir.
Voici 18 signes que les pénuries alimentaires vont s’aggraver à l’approche du second semestre de 2022…
N° 1 La plus grande entreprise d’engrais de la planète avertit publiquement que de graves perturbations de l’approvisionnement « pourraient durer bien au-delà de 2022 »…
La plus grande entreprise d’engrais au monde a averti que les perturbations de l’approvisionnement pourraient se prolonger jusqu’en 2023. Une grande partie de l’approvisionnement mondial a été coupée en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Cela a déclenché une flambée des prix et des pénuries d’éléments nutritifs dans les principales zones de culture du monde entier ; un signe avant-coureur d’une crise alimentaire mondiale pourrait être à l’œuvre.
Bloomberg rapporte que le PDG de Nutrien Ltd., basé au Canada, Ken Seitz, a déclaré aux investisseurs mardi lors d’une conférence téléphonique qu’il s’attendait à augmenter la production de potasse à la suite de perturbations de l’approvisionnement en Russie et en Ukraine (deux principaux fournisseurs d’engrais). Seitz prévoit que les perturbations « pourraient durer bien au-delà de 2022 ».
N° 2 L’indice mondial du prix des engrais a grimpé en flèche pour atteindre des sommets absurdes qui n’ont jamais été vus auparavant.
N° 3 Il est rapporté que les réserves mondiales de céréales sont tombées à des niveaux « extrêmement bas »…
« Les stocks mondiaux de céréales restent extrêmement bas, un problème qui s’est amplifié en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
« Nous pensons qu’il faudra au moins 2 à 3 ans pour reconstituer les stocks mondiaux de céréales », a déclaré Tony Will, président et chef de la direction de CF Industries Holdings Inc., basé dans l’Illinois, dans un communiqué.
N° 4 En raison de la guerre, les exportations agricoles de l’Ukraine ont été complètement paralysées…
Près de 25 millions de tonnes de céréales sont bloquées en Ukraine et incapables de quitter le pays en raison de problèmes d’infrastructure et de bloquages sur la mer Noire, y compris Marioupol, a déclaré un responsable de l’agence alimentaire de l’ONU.
Les blocages sont considérés comme un facteur à l’origine des prix élevés des denrées alimentaires qui ont atteint un niveau record en mars à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, avant de s’atténuer légèrement en avril, a annoncé vendredi la FAO.
N° 5 Le taux de rupture de stock de préparations pour nourrissons aux États-Unis a maintenant atteint 40 pour cent…
Le taux de rupture de stock de préparations pour nourrissons a oscillé entre 2% et 8% au premier semestre de 2021, mais a commencé à augmenter fortement en juillet dernier. Entre novembre 2021 et début avril 2022, le taux de rupture de stock a bondi à 31%, selon les données de Datasembly.
Ce taux a encore augmenté de 9 points de pourcentage en seulement trois semaines en avril, et s’élève maintenant à 40%, selon les statistiques. Dans six États – l’Iowa, le Dakota du Sud, le Dakota du Nord, le Missouri, le Texas et le Tennessee – plus de la moitié des préparations pour nourrissons ont été complètement vendues au cours de la semaine commençant le 24 avril, a déclaré Datasembly.
N° 6 Dans six États américains, le taux de rupture de stock pour les préparations pour nourrissons est en fait passé à 50% ou plus.
N° 7 Les recherches « comment faire du lait maternisé maison pour bébés » sur Google ont augmenté de 120%.
N° 8 On nous dit qu’il s’agit d’une « tempête parfaite » alors que les étagères se vident dans les banques alimentaires.
N° 9 Au Canada, plus de 1,7 million de poulets et de dindes ont déjà été abattus au cours des derniers mois en raison de la pandémie de grippe aviaire.
N° 10 Aux États-Unis, plus de 37 millions de poulets et de dindes ont été anéantis pour les mêmes raisons.
N° 11 Les deux plus grands réservoirs de Californie, Shasta Lake et Lake Oroville, sont tous deux tombés à des « niveaux extrêmement bas ».
N° 12 Certaines communautés du sud de la Californie ne seront pas en mesure de traverser le prochain été sans « réduire considérablement » leur consommation d’eau.
N° 13 Bon nombre des plus grands lacs du monde sont actuellement en train de disparaître parce qu’ils s’assèchent rapidement.
N° 14 Les feux de forêt continuent de dévaster les terres agricoles dans toute la moitié ouest des États-Unis. Le Nouveau-Mexique est également durement touché…
Quelques jours de calme ont permis à certaines familles qui avaient fui les feux de forêt de rentrer chez elles. Ces incendies faisaient rage dans le nord-est du Nouveau-Mexique, alors que des vents violents se sont de nouveau levés dimanche, menaçant de propager les flammes et de compliquer le travail des pompiers.
Plus de 1 500 pompiers étaient sur les lignes de feu du plus grand incendie à l’est et au nord-est de Santa Fe, qui a augmenté de 8 miles carrés (20 kilomètres carrés) pendant la nuit pour atteindre une zone deux fois plus grande que la ville de Philadelphie.
N° 15 On nous dit que les prix du steak aux États-Unis vont « continuer à augmenter » dans les jours à venir.
N° 16 En raison de la grêle et du gel, la récolte espagnole d’abricots va être bien en deçà des attentes…
En Espagne, les dernières prévisions suggèrent que la production n’atteindra pas 60 000 tonnes, contre 110 000 tonnes en 2019 et 100 000 tonnes en 2020 et 90 000 tonnes en 2021.
À Murcie, où se trouvent environ les deux tiers de la production espagnole d’abricots, les agriculteurs de la rivière Mula et des régions du nord-ouest ont été contraints d’annuler la saison à la suite d’une violente tempête de grêle lundi qui a non seulement entraîné la perte du fruit, mais a également causé des dommages étendus aux arbres.
N° 17 Dans l’ensemble, la production espagnole de fruits devrait tomber à son plus bas niveau en 40 ans.
N° 18 Le sénateur du Kansas Roger Marshall avertit ouvertement qu’une horrible famine mondiale est à venir…
La guerre en Ukraine conduira à une famine mondiale au cours des deux prochaines années, a averti mardi le sénateur Roger Marshall (R-Ky.), qui siège au Comité sénatorial de l’agriculture.
« Vous savez que je suis un grand agriculteur. 12 à 15% des produits agricoles, maïs et blé, huile de tournesol, passent par la mer Noire. Les engrais proviennent également de cette région, de sorte qu’il y aura en fait une famine dans un à deux ans. Je pense que dans deux ans, ce sera encore pire », a-t-il déclaré l’émission « Mornings with Maria Bartiromo » de Fox Business.
Source : sott
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Je partage avec vous un article de Yuan Yi Zhu intitulé « Why is Canada euthanising the poor? » (Pourquoi le Canada euthanasie-t-il les pauvres?), publié sur The Spectator le 30 avril 2022. Yuan Yi Zhu est maître de conférences en politique au Pembroke College d’Oxford et candidat au doctorat en relations internationales au Nuffield College d’Oxford. Ses recherches portent largement sur les rapports entre le droit et l’ordre international dans une perspective historique, notamment dans le monde non occidental.
Il y a un mot d’esprit sans cesse répété par le poète Anatole France que « la majestueuse égalité des lois interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et voler du pain ». Ce que la France n’avait certainement pas prévu, c’est que tout un pays – et ostensiblement progressiste de surcroît – a décidé de prendre son sarcasme au pied de la lettre et jusqu’à sa conclusion naturelle. Depuis l’an dernier, la loi canadienne, dans toute sa majesté, permet aux riches comme aux pauvres de se suicider s’ils sont trop pauvres pour continuer à vivre dignement. En fait, l’État canadien toujours généreux paiera même pour leur mort. Ce qu’il ne fera pas, c’est dépenser de l’argent pour leur permettre de vivre au lieu de se tuer.
Comme pour la plupart des pentes glissantes, tout a commencé par un déni ferme de son existence. En 2015, la Cour suprême du Canada a renversé 22 ans de sa propre jurisprudence en invalidant l’interdiction du suicide assisté du pays comme étant inconstitutionnelle, rejetant allègrement les craintes que la décision « amorcerait une descente sur une pente glissante vers l’homicide » contre les personnes vulnérables comme fondée sur des « exemples anecdotiques ». L’année suivante, le Parlement a dûment promulgué une législation autorisant l’euthanasie, mais uniquement pour ceux qui souffrent d’une maladie en phase terminale dont la mort naturelle était « raisonnablement prévisible ».
Il n’a fallu que cinq ans pour que la pente proverbiale apparaisse, lorsque le Parlement canadien a promulgué le projet de loi C-7, une loi radicale sur l’euthanasie qui a abrogé l’exigence « raisonnablement prévisible » — et l’exigence que la condition soit « terminale ». Désormais, tant qu’une personne souffre d’une maladie, d’un handicap ou du déclin des capacités « qui ne peuvent pas être atténuées dans des conditions que vous jugez acceptables », elle peut bénéficier gratuitement de ce que l’on appelle désormais par euphémisme « l’aide médicale à mourir » (AMM en abrégé).
Le 11 mai 2022, Tucker Carlson a discuté du programme d’euthanasie du Canada avec l’auteur Charles Camosy, qui a écrit un livre sur le sujet. Selon Camosy, les politiques du Canada sont le mal absolu.
Bientôt, les Canadiens de partout au pays ont découvert que même s’ils préféreraient vivre autrement, ils étaient trop pauvres pour améliorer leurs conditions à un degré acceptable.
Ce n’est pas un hasard si le Canada a certaines des dépenses sociales les plus faibles de tous les pays industrialisés, les soins palliatifs ne sont accessibles qu’à une minorité et les temps d’attente dans le secteur public de la santé peuvent être insupportables, au point que la même Cour suprême qui a légalisé l’euthanasie a déclaré ces temps d’attente comme une violation du droit à la vie en 2005.
Beaucoup dans le secteur de la santé sont arrivés à la même conclusion. Même avant l’adoption du projet de loi C-7, les rapports d’abus étaient monnaie courante. Un homme atteint d’une maladie neurodégénérative a témoigné devant le Parlement que des infirmières et un éthicien médical d’un hôpital avaient tenté de le contraindre à se suicider en le menaçant de le mettre en faillite avec des frais supplémentaires ou en l’expulsant de l’hôpital, et en lui retenant de l’eau pendant 20 jours. Pratiquement tous les groupes de défense des droits des personnes handicapées du pays se sont opposés à la nouvelle loi. En vain : pour une fois, le gouvernement a trouvé commode d’ignorer ces groupes par ailleurs impeccablement progressistes.
Depuis, les choses n’ont fait qu’empirer. Une femme en Ontario a été forcée à l’euthanasie parce que ses prestations de logement ne lui permettaient pas d’obtenir un meilleur logement, ce qui n’a pas aggravé ses allergies invalidantes. Une autre femme handicapée a demandé à mourir parce qu’elle « n’a tout simplement pas les moyens de continuer à vivre ». Une autre a demandé l’euthanasie parce que la dette liée à Covid l’a empêchée de payer le traitement qui a maintenu sa douleur chronique supportable — sous le gouvernement actuel, les Canadiens handicapés ont reçu 600 $ d’aide financière supplémentaire pendant Covid ; les étudiants universitaires ont reçu 5 000 $.
Lorsque la famille d’un homme handicapé de 35 ans qui a eu recours à l’euthanasie est arrivée à la maison de retraite où il vivait, ils ont trouvé
« de l’urine sur le sol… des endroits où il y avait des matières fécales sur le sol… des endroits où vos pieds collaient ». Par exemple, si vous vous teniez à son chevet et que vous alliez vous éloigner, votre pied était littéralement coincé. Selon le gouvernement canadien, la loi sur le suicide assisté vise à « accorder la priorité à l’autonomie individuelle des Canadiens » ; on peut se demander quelle était l’autonomie d’un infirme couché dans sa propre crasse pour peser la mort sur la vie.
Malgré l’insistance du gouvernement canadien sur le fait que le suicide assisté est une question d’autonomie individuelle, il a également gardé un œil sur ses avantages fiscaux. Avant même l’entrée en vigueur du projet de loi C-7, le directeur parlementaire du budget du pays a publié un rapport sur les économies de coûts qu’il entraînerait : alors que l’ancien régime de l’AMM permettait d’économiser 86,9 millions de dollars par an — une « réduction des coûts nets », selon les termes stériles du rapport — Le projet de loi C-7 créerait des économies nettes supplémentaires de 62 millions de dollars par année. Les soins de santé, en particulier pour les personnes souffrant de maladies chroniques, coûtent cher ; mais le suicide assisté ne coûte au contribuable que 2 327 $ par « cas ». Et, bien sûr, ceux qui doivent compter entièrement sur l’assurance-maladie fournie par le gouvernement représentent un fardeau bien plus lourd pour le Trésor public que ceux qui ont des économies ou une assurance privée.
Et pourtant, les médias généreusement subventionnés du Canada, à quelques exceptions honorables près, ont exprimé remarquablement peu de curiosité au sujet du meurtre social ouvert de citoyens dans l’un des pays les plus riches du monde. Peut-être, comme beaucoup de médecins, les journalistes ont-ils peur d’être accusés d’être « non progressistes » pour avoir remis en cause la nouvelle culture de la mort, accusation fatale dans les milieux polis. Le radiodiffuseur public canadien, qui en 2020 a rassuré les Canadiens sur le fait qu’il n’y avait « aucun lien entre la pauvreté et le choix de la mort médicalement assistée », a eu peu à dire sur les développements ultérieurs.
L’année prochaine, les vannes s’ouvriront encore plus lorsque les personnes souffrant de maladie mentale — un autre groupe disproportionnellement pauvre — deviendront éligibles au suicide assisté, bien que des médecins et des infirmières enthousiastes aient déjà devancé la loi. Il est déjà question d’autoriser également l’accès à l’euthanasie aux « mineurs matures » – pensez simplement aux économies réalisées à vie. Mais rappelez-vous, les pentes glissantes sont toujours une erreur.
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Un nouveau rapport de l'OMS sur le COVID donne une fois de plus raison à la Suède https://t.co/6sgOLGUtsk via @AubeDigitale
— OUHIBI HALI (@HaliOuhibi) May 26, 2022
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par Larry Johnson.
Je pense que Scott Ritter s’est emballé en qualifiant le projet de loi sur l’aide à l’Ukraine de 40 milliards de dollars de « changement de donne ». Une fois que vous prenez le temps d’analyser les détails, vous réalisez rapidement que les médias trompent le public américain sur la réalité des 40 milliards de dollars ostensiblement destinés à acheter des armes et à équiper l’Ukraine d’une corne d’abondance de létalité. Mark Cancian, du Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS), fournit une excellente analyse de ce qui a réellement été alloué. En voici un résumé rapide :
« 19 milliards de dollars pour un soutien militaire immédiat à l’Ukraine
3,9 milliards de dollars pour le soutien des forces américaines déployées en Europe
16 milliards de dollars pour le soutien économique à l’Ukraine et l’aide humanitaire mondiale
2 milliards de dollars pour le soutien à long terme aux alliés de l’OTAN et les programmes de modernisation du département de la Défense. »
D’emblée, vous pouvez constater que l’Ukraine ne recevra pas 40 milliards de dollars de matériel militaire pour assommer les Russes. Elle ne reçoit même pas 19 milliards de dollars. Ces 19 milliards de dollars sont divisés en plus petits paquets :
• 6 milliards de dollars pour la formation, l’équipement, les armes, le soutien logistique, les fournitures et les services, les salaires et les allocations et le soutien en matière de renseignement aux forces militaires et de sécurité nationale de l’Ukraine (les détails de ces dépenses restent à déterminer).
• 9 milliards de dollars pour reconstituer les stocks d’armes américaines déjà envoyées en Ukraine.
• 4 milliards de dollars pour le programme de financement des forces militaires étrangères (ce programme permet à un pays étranger comme l’Ukraine d’acheter des systèmes d’armes flambant neufs).
Que pourrait acheter l’Ukraine avec 4 milliards de dollars ? Elle pourrait commander 444 chars de combat M1A2 SEP. Leur construction et leur livraison prendront plus d’un an. Ou l’Ukraine pourrait acheter 44 chasseurs à réaction F-35. Mais il ne s’agit là que du coût de la structure aérienne. L’Ukraine devrait alors débourser au moins 27 000 dollars par heure de vol et par avion. La livraison de ce système prendrait des années. Lockheed Martin en produit actuellement 91 par an. Donc, si l’Ukraine est prête à attendre 5 ans, elle pourrait avoir le chasseur le plus avancé de l’arsenal américain. Mais cela suppose que l’armée de l’air américaine cesse d’acheter et laisse l’Ukraine prendre la tête de la file.
Je tiens à souligner que les États-Unis ont vaincu les Japonais et contribué à vaincre les Allemands en moins de temps qu’il n’en faut pour construire 444 F-35. Ce n’est pas vraiment un changement de donne très encourageant.
Compte tenu de ces faits, l’Ukraine ne peut espérer recevoir que 6 milliards de dollars d’aide militaire dans un avenir immédiat. Il s’agit d’une somme importante, mais rien n’exige qu’elle soit dépensée principalement pour des systèmes d’armes efficaces contre les Russes.
Quelle que soit l’aide fournie à l’Ukraine dans les semaines à venir, les Russes bénéficient d’un avantage décisif grâce à leur contrôle de l’espace aérien, à leurs systèmes de missiles et de roquettes de précision et à leurs solides capacités de guerre électronique.
La technologie des drones change la donne. Ils peuvent voler à tout moment sans risquer que leur pilote soit abattu ou tué. Il peut effectuer une reconnaissance et une surveillance des emplacements et des mouvements des troupes ennemies, ce qui fournit à la force d’attaque des coordonnées géographiques précises pour détruire les troupes ennemies avec des missiles ou des roquettes.
Il importe peu que les États-Unis partagent des informations complètes en matière de renseignement, de surveillance et de reconnaissance sur les forces russes, car l’Ukraine ne dispose pas des systèmes d’armes nécessaires pour agir sur la base de ces informations en utilisant la force létale. Idem si l’Ukraine dispose de ses propres systèmes ISR puissants. Elle ne dispose pas de la puissance aérienne ou des missiles nécessaires pour attaquer les forces russes. En fait, les systèmes de défense aérienne de la Russie ont été assez efficaces pour abattre les avions et les missiles que l’Ukraine a essayé d’utiliser.
Que se passe-t-il si les États-Unis envoient de l’artillerie ou des systèmes de missiles dotés de capacités GPS ? La Russie est équipée d’un système de guerre électronique de premier ordre qui peut intercepter les signaux GPS et utiliser cette information pour cibler l’arme émettant le signal. Ce n’est pas une recette pour assurer une longue vie au nouvel équipement de l’Ukraine ni à l’équipage qui exploite le système.
L’Ukraine ne dispose pas d’un temps illimité. Son temps est compté et la Russie contrôle le temps. Si la Russie parvient à détruire ou à capturer le gros de l’armée ukrainienne au cours des quatre prochaines semaines, l’aide supplémentaire des États-Unis et de l’OTAN ne sera plus d’aucune utilité. Cela ne changera certainement pas la donne pour l’Ukraine.
source : Sonar 21
traduction Réseau International
Source : reseauinternational
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Vaccins anti-Covid : Réponse au fact-checking de l'AFP https://t.co/x3iD8ZMVQ5
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
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Après le coronavirus, le monkeypox. Même stratégie de contrôle des foules par des élites malades, mais en version encore plus grossière.
Pierrick Tillet
Great Reset : chassez le coronavirus, le monkeypox arrive au galop
yetiblog.org
Pierre Jovanovic sur la vraie inflation en France #shorts@pierrejovanovic pic.twitter.com/e1ZXmyGiQ2
— Planetes360 (@Planetes360) May 26, 2022
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La Russie prévoit de s’armer de 50 missiles Satan 2 (Sarmat) d’ici 6 mois.
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L’huile n’est que le début
L’Ukraine et la Russie représentent environ 60 % de la production mondiale d’huile de tournesol, et le conflit a durement touché les approvisionnements.
Dans les magasins britanniques, l’huile de tournesol représente environ un cinquième du marché en valeur et 44 % en volume.
C’est l’une des « quatre grandes » huiles végétales, classée derrière le palmier, le soja et le colza dans cet ordre (l’huile vendue comme « huile végétale » est un mélange de diverses graines).
Lorsque l’approvisionnement d’une des quatre grandes huiles est interrompu, cela déclenche une course à l’achat d’un substitut.
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par Alastair Crooke.
Aujourd’hui, l’Iran est diabolisé comme une menace intolérable pour l’ordre mondial occidental. Mais il n’en a pas toujours été ainsi.
L’échafaudage structurel a été mis en place au début des années 1990. Mais cette structure a été érigée sur de fausses prémisses et des idées fausses et paresseuses. Ses défauts ont toutefois été masqués pendant près de deux décennies ; mais aujourd’hui, les changements intervenus dans le paradigme régional global signifient que l’échafaudage est en train de s’inverser : il ne contient plus les conflits latents, mais nous dirige tout droit vers eux.
Pour comprendre la double hélice au centre du Moyen-Orient, qui nous entraîne dans son gouffre tourbillonnant, nous devons d’abord examiner la structure de la relation d’Israël avec l’Iran et les Palestiniens, et voir comment elle nous a enfermés dans une dynamique qui, en l’état actuel des choses, menace de briser les chaînes qui maintiennent l’endiguement en place.
Aujourd’hui, l’Iran est diabolisé comme une menace intolérable pour l’ordre mondial occidental. Mais il n’en a pas toujours été ainsi.
« Nous avions des relations très profondes avec l’Iran, profondément ancrées dans le tissu des deux peuples », a déclaré un haut fonctionnaire du ministère israélien des Affaires étrangères juste après la révolution iranienne de 1979. Les responsables israéliens (et américains) considéraient alors comme une pure folie d’envisager l’Iran comme autre chose qu’un interlocuteur naturel.
Ce sentiment d’affinité étroite a persisté bien au-delà de la révolution iranienne. Il ne s’agissait pas seulement de remords pour le défunt Shah. Des sentiments d’affinité imaginaire ont incité même les politiciens israéliens de droite les plus durs – notamment le Premier ministre Menachem Begin – à tendre la main aux nouveaux dirigeants de la révolution : Le pragmatisme de l’ayatollah Khomeini en matière de politique étrangère était interprété à tort par les Israéliens comme la preuve que la révolution avait été une aberration.
Ben-Gourion, le premier Premier ministre israélien, ne considérait pas Israël comme faisant partie du Moyen-Orient, mais comme faisant partie de l’Europe. Dès 1952, Ben-Gourion répétait que si les Israéliens étaient assis au Moyen-Orient, il s’agissait d’un accident géographique, car ils étaient un peuple européen. « Nous n’avons aucun lien avec les Arabes », disait-il. « Notre régime, notre culture, nos relations, ne sont pas le fruit de cette région. Il n’y a pas d’affinité politique entre nous, ni de solidarité internationale ».
En raison de cette optique plutôt orientaliste, Ben-Gourion s’est d’abord tourné vers les États-Unis comme partenaire – mais, rabroué par Eisenhower, Ben-Gourion a élaboré le concept de « l’Alliance de la périphérie » qui, avec une alliance ultérieure des minorités, visait à équilibrer le voisinage des États arabes hostiles en formant des alliances avec l’Iran, la Turquie et l’Éthiopie. Il s’agissait d’une tentative de renforcer la dissuasion israélienne, de réduire l’isolement d’Israël et d’accroître son attrait en tant qu’« atout » pour les États-Unis.
C’est ici que se trouve la première perception erronée de l’histoire de l’échafaudage : Du point de vue d’Israël (un point de vue partagé par les États-Unis), la révolution iranienne n’était rien de plus qu’une discontinuité dans le récit occidental d’une progression historique de l’arriération à la modernité laïque de style occidental. C’était une aberration, un coup de pied contre la modernité qui s’autocorrigerait avec le temps. La base idéologique de la révolution était donc considérée comme creuse. Et chaque fois que la direction révolutionnaire de l’Iran montrait des signes de pragmatisme dans sa politique étrangère, elle renforçait l’opinion des États-Unis et d’Israël selon laquelle cela conduirait finalement à une alliance avec Israël.
C’est cette dernière conviction qui a sous-tendu la réflexion israélienne et américaine au cours des années 1980. Yossi Alpher, un ancien fonctionnaire du Mossad, a noté que la doctrine de la périphérie était si « profondément ancrée » dans la mentalité israélienne qu’elle était devenue « instinctive ». C’est en vertu de cette conviction qu’Israël a incité les États-Unis à vendre des armes à l’Iran au milieu des années 1980, prélude au scandale Iran-Contra.
Pourquoi cette méprise ? Elle est probablement due à un style de rationalité occidentale séculaire qui, ancré dans son parti pris matérialiste, n’a perçu aucune idéologie dans la révolution au sens post-moderne contemporain d’un plan d’objectifs concrets. Par conséquent, elle a négligé en Iran le fil conducteur d’une ancienne « manière d’être » philosophique – et non idéologique – qui n’existait tout simplement pas dans la sphère sunnite – où Ibn Taymiyyah avait « fermé les portes » à la philosophie, déjà au XIIIe siècle. Cela signifiait-il pour autant qu’elle représentait une menace ?
S’il est vrai que la culture occidentale de la société de consommation répugnait aux dirigeants iraniens, ceux-ci n’avaient aucun problème avec la modernité ou la technologie en tant que telle. La révolution n’a à aucun moment été conçue avec une ambition régionale agressive. Elle ne menaçait pas Israël, ni les États-Unis, en termes militaires conventionnels. Il s’agissait d’une transformation ésotérique, qui (il est vrai) n’était pas facilement accessible à beaucoup en Occident.
Quoi qu’il en soit, des événements sont intervenus dans les années 1990-92 pour bouleverser le paradigme. D’une part, l’implosion de l’Union soviétique, qui a vu la Russie se retirer de la région, et d’autre part, la première guerre du Golfe, qui a vu l’Irak disparaître en tant que menace pour Israël.
Paradoxalement, Israël, au lieu d’être rassuré, a eu peur. L’Iran et Israël étaient désormais les principales puissances régionales rivales. Que se passerait-il si les États-Unis se rangeaient du côté de l’Iran, plutôt que d’Israël, au lendemain de la guerre ? Eh bien, le parti travailliste d’Yitzhak Rabin, élu en 1992, a décidé de façon spectaculaire et radicale de tout chambouler, pour s’assurer que cela ne se produise pas.
Le virage Rabin a placé Israël et l’Iran dans des camps opposés dans la nouvelle équation, et le changement a été aussi intense qu’inattendu : « L’Iran doit être identifié comme l’ennemi n° 1 », a déclaré Yossi Alpher, à l’époque conseiller de Rabin, au New York Times. Et Shimon Peres, l’autre plus haute figure travailliste, a averti la communauté internationale dans une interview en 1993, que l’Iran serait doté d’une bombe nucléaire d’ici 1999.
En d’autres termes, l’Iran est devenu l’ennemi manichéen de l’Occident par choix – comme une tactique politique – plutôt qu’en raison d’une quelconque preuve objective d’inimitié. La diabolisation de l’Iran a servi de levier pour détourner le lobby juif américain : Le Lobby se concentrerait à nouveau sur la menace existentielle de l’Iran, plutôt que de tourner sa colère contre les dirigeants d’Israël pour avoir trahi Jabotinsky, en soutenant l’ennemi – Arafat et les Arabes.
C’est Jabotinsky qui avait soutenu dans son article fondateur du Mur de Fer en 1923 qu’il ne pouvait – et ne devait – jamais y avoir d’accord avec les Arabes. Pourtant, voici Rabin qui met de côté l’Alliance de la périphérie de Ben Gourion, pour embrasser Yasir Arafat et un mouvement palestinien qui a émergé paralysé par la défaite de l’Irak dans la guerre du Golfe.
L’inversion du paradigme précédent a été complétée par les multiples rebuffades méprisantes des États-Unis à l’égard de l’Iran, malgré la coopération de ce dernier avec Washington pendant la guerre en Afghanistan (2002) et en Irak (2003), et dans ses tentatives audacieuses en 2003 d’atténuer les inquiétudes des États-Unis concernant son programme nucléaire.
En vain. Les États-Unis étaient sous l’emprise de l’adrénaline de leur guerre en Irak. William Kristol, l’un des principaux néoconservateurs américains, devait écrire en mai 2003 : La défaite de l’Iran était devenue le moyen de porter un double coup à la psyché arabe et musulmane, ainsi qu’à la résistance islamiste. Les Arabes deviendraient dociles, et le Moyen-Orient succomberait, comme autant de dominos.
L’échafaudage structurel des tensions croissantes d’aujourd’hui a alors été assemblé – à nouveau sur la base de fausses prémisses.
Tout d’abord, les Palestiniens devaient être « contenus » dans le cadre des accords d’Oslo. Ces accords reposaient sur trois piliers : La démographie seule, dans les terres situées entre le fleuve et la mer, signifiait qu’Israël devait en fin de compte « donner » aux Palestiniens leur État (c’est-à-dire lorsque les Palestiniens commençaient à être plus nombreux que les juifs) ; pour obtenir le statut d’État, les Palestiniens devaient d’abord rassurer Israël sur le fait qu’ils répondraient à ses préoccupations en matière de sécurité (c’est-à-dire qu’ils devaient établir la confiance avec Israël que les Palestiniens ne poseraient aucun risque pour la sécurité) ; et troisièmement, ce serait Israël seul qui déterminerait quand les efforts de sécurité des Palestiniens mériteraient le « don » du statut d’État.
Ces dernières prémisses reposaient sur des bases erronées (comme en témoignent les trente dernières années).
La structure suivante – la question nucléaire iranienne (finalement traitée par le JCPOA) – a été conçue selon une approche similaire : La souveraineté nationale iranienne devait être limitée (si l’Iran cherchait à exercer ses droits en vertu du TNP) ; l’Iran devait prouver le contraire (c’est-à-dire qu’il ne poursuivait pas de programme d’armement) et, enfin, Israël et les États-Unis devaient être les arbitres finaux de la confiance accordée à l’Iran en matière de programme nucléaire (pacifique).
Le dernier élément structurel des tensions actuelles a été mis en place il y a plus de dix ans par Benjamin Netanyahu. Il a déplacé le centre de gravité d’Israël de manière significative vers la droite – tant sur le plan politique que culturel. Il a délibérément brûlé tous les ponts israéliens vers toute solution politique : soit avec les Palestiniens, soit avec l’Iran, en faisant valoir qu’un Israël militairement puissant, allié à un président et à un Congrès américains qui le soutiennent, était en mesure de dédaigner de céder un pouce, à l’un ou l’autre.
Donc … pour en venir à l’inversion de paradigme d’aujourd’hui. Au lieu que la Russie soit « sortie » du Moyen-Orient, nous avons la Russie « entrée » et les États-Unis « sortis » (progressivement) ; au lieu d’un Israël prépondérant dans la région, nous avons un Israël isolé dans la région (le seul État à « franchir le Rubicon » pour armer l’Ukraine afin de tuer des Russes) ; au lieu d’un Moscou qui ferme les yeux (à contrecœur) sur les incursions aériennes israéliennes en Syrie, nous avons un Moscou tendu avec Israël et de plus en plus prêt à allumer le radar de ciblage de ses défenses aériennes en Syrie – lorsqu’Israël lance des incursions.
Et surtout, au lieu qu’Israël ait un « avantage militaire », nous avons la « pilule rouge » de la dissuasion iranienne.
Qu’est-ce que la « pilule rouge » de la dissuasion ? En termes clairs, il s’agit de l’agrégation conjointe de drones en essaim et de missiles de croisière intelligents entourant Israël de tous côtés. La pilule rouge, c’est que si l’Iran est attaqué par les États-Unis, l’Iran subira des dommages, c’est certain, mais les conséquences seront qu’« Israël ne sera plus ».
Comment se fait-il que ce cercle d’échafaudages d’endiguement expirés se referme maintenant, alors que les tensions s’intensifient ?
Parce qu’un nouveau JCPOA semble échapper à Biden (en partie à cause du manque de soutien du Congrès). En octobre 2022, l’embargo sur les armes (prévu par le JCPOA de 2015) expire – et les autres restrictions de la clause commencent à expirer en 2025. Et dans les mois à venir, l’Occident affirmera que l’Iran a atteint le seuil nucléaire.
Dans la sphère palestinienne, toutes les factions palestiniennes se sont ralliées à la cause de la protection d’al-Aqsa. Si cette dernière est à nouveau menacée par une invasion de colons israéliens, une guerre sur quatre fronts (encore le scénario de la pilule rouge !) a été mise « sur la table ».
Comme le Donbass est, métaphoriquement parlant, un encerclement et un chaudron pour les forces ukrainiennes qui y sont retranchées, la pilule rouge a été conçue comme un chaudron pour Israël.
Pour l’instant, un président Poutine frustré continue de jouer l’arbitre, alors que les acteurs régionaux se préparent à la guerre. Que vont faire les dirigeants israéliens ? La Russie, la Chine et l’OCS détiennent probablement la seule clé qui pourrait débloquer la situation et permettre de tenter de mettre en place une architecture de sécurité régionale. Mais pour Israël, s’engager dans cette voie impliquerait de traverser Washington à un moment où sa psyché est fortement ébranlée.
source : Strategic Culture Foundation
traduction Réseau International
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Photo : Des témoins ont porté secours à la victime avant l’arrivée des pompiers. (DL/Frédéric CHIOLA)
Une personne âgée a été violemment agressée en pleine rue, en pleine journée dans le centre-ville de Chambéry. Les faits se sont produits peu après 14 heures, ce lundi 23 mai, devant le 5 rue Claude-Martin, à une cinquantaine de mètres de la fontaine des Éléphants. Elle était toujours hospitalisée mardi soir.
La victime, une femme âgée de 79 ans, a été apostrophée et empoignée par une femme plus jeune, très excitée. D’après les témoignages, elle a été plaquée contre une vitrine et projetée à terre par son agresseuse. Cette dernière lui a craché dessus, donné des coups, tiré les cheveux et frappé la tête contre le sol avec force. Elle a été mise en fuite par des passants.
[…]
La jeune femme de 29 ans, soupçonnée de l’avoir agressée gratuitement, a été hospitalisée, mardi, pour permettre des examens sur son état mental. Dans la rue, avant et après l’agression de la septuagénaire, elle hurlait à pleins poumons, elle s’était déchaînée sur les policiers au moment de son interpellation et ne s’est pas montrée particulièrement calme et cohérente pendant sa garde à vue. L’autorité judiciaire décidera si elle peut ou pas faire l’objet de poursuites.
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URGENT : MACRON mis à mal, Perquisition au siège du cabinet McKinsey.
Dans le cadre des enquêtes pour blanchiment d’argent grave ou fraude fiscale, le bureau du procureur général des impôts a perquisitionné les locaux du cabinet de conseil. McKinsey est accusé d’avoir mis en place un système fiscal pour échapper à l’impôt. Dans le cadre de l’enquête préliminaire pour fraude fiscale grave ouverte le 31 mars, une perquisition a été effectuée le 24 mai au siège français du cabinet de conseil McKinsey, avenue des Champs-Elysées, a confirmé le parquet national financier. PNF) à l’AFP. Cette enquête fait suite au rapport de la commission d’enquête du Sénat sur l’impact du conseil privé sur les politiques publiques durant le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, qui provoque un « phénomène courant » et une explosion des dépenses liées au recours à des consultants extérieurs.
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Revue de presse :
CNN admet que les vaccins à ARNm peuvent avoir des effets néfastes sur l'immunité…https://t.co/jAJhkNwB1I via @AubeDigitale— CourrierDesStratèges (@CStrateges) May 26, 2022
…
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Après l'effondrement de plusieurs cryptomonnaies, les investisseurs déchantent : "J'ai vu mon capital chuter de 99%"
— Aurore Lalucq (@AuroreLalucq) May 24, 2022
"Un homme a perdu plus de 200 000 euros. Il est aujourd'hui surendetté. Toutes ses économies sont parties en fumée." https://t.co/1DUgnSZUVo via @franceinfo
C’est possible mais uniquement dans un monde imaginaire que l’on appelle la Théorie, car dans le pays réel de la Pratique, pour faire des DPE très complexes, et dès demain des « audits énergétiques », il faut des compétences. Beaucoup de compétences.
Oui les DPE sont devenus très compliqués à faire et même si l’on peut penser que remplir des cases dans un logiciel c’est « facile », là aussi la réalité est beaucoup complexe car toutes les variables à saisir ne sont pas forcément simple à comprendre ou à calculer avant de rentrer le chiffre dans la machine.
Résultat prévisible, les DPE ne ressemblent à rien quand on fait venir 4 sociétés vous avez 4 résultats différents.
Alors si vous êtes classé G surtout ne vous privez pas de faire venir 3 ou 4 sociétés différentes, cela vous coûtera moins cher que la moins-value potentielle ou l’interdiction de louer !
Vous me direz que ce n’est pas très honnête.
Je vous répondrais sans aucun doute, mais quand un système devient totalement stupide il ne faut pas hésiter à utiliser ses aberrations pour retourner la réalité contre lui.
Car la réalité c’est que ces nouveaux DPE et ces nouvelles règles sont d’une bêtise sans nom.
La réalité c’est que pour que les choses marchent, il faut qu’elles soient simples.
Alors il faut dire aux gens et aux propriétaires des passoires thermiques que pour pouvoir continuer à louer, on se fiche d’un DPE théorique qui n’a rien à voir avec la réalité, mais que tout logement doit être a minima isolé par l’intérieur avec 10 cm de laine de verre et / ou de tel ou tel matériaux. Qu’il doit y avoir du double vitrage (x épaisseur) et que le mode de chauffage doit être un radiateur électrique à accumulation (type fluide caloporteur ou pierre).
Voilà des choses simples.
Le mieux est toujours, toujours l’ennemi du bien.
Nous allons vers le mur en chantant.
Il est officiel c’est celui de l’indice des prix à la production calculé par l’INSEE.
Je peux vous dire que quand vous voyez son évolution, nous allons avoir de sacrés problèmes d’inflation à relativement court terme.
Pire, cet indice des prix à la production ne semble pas vouloir montrer une décélération ou un ralentissement de la hausse.
L’explosion continue, ce qui plaide pour une inflation qui n’a toujours pas atteint son pic.
Source INSEE.fr ici
Chez Bloomberg vous n’avez que du « sérieux », du « crédible » et il n’y a pas la place pour l’approximation et les rumeurs, ce qui fait de cette agence de presse devenue également chaîne d’informations une référence mondiale.
L’un des dernier papier livré par Bloomberg Economics (les analystes maison) mérite d’être lu et il est très important de s’arrêter dessus .
C’est en anglais et c’est assez long à lire. Je vous ai donc traduit cet article ci-dessous et vous pourrez le lire en totalité pendant vos longues soirées de week-end prolongé.
Que dit cet article ? Qu’il faut bien mesurer l’impact destructeur de valeur, de PIB et de richesse induit par une démondialisation et par l’ère de la rareté.
C’est exactement mon scénario central, et c’est la raison pour laquelle, inlassablement, depuis des années, je tente modestement d’inciter le plus grand nombre à se préparer à des moments moins faciles parce que ces moments sont parfaitement prévisibles depuis longtemps.
C’est la raison aussi pour laquelle vous aurez dans quelques jours accès à mon dossier spécial PRP, pour Plan de Résilience Personnel, qui vous donnera les clefs pour vous accompagner de manière plus concrète dans les préparatifs nécessaires, pour vous permettre de réduire les effets des chocs terribles qui se profilent sur vos patrimoines mais également, et sans doute encore plus important sur votre niveau de vie quotidien.
Voici l’article passionnant de Bloomberg. Partagez-le massivement.
Il n’y a rien de politiquement incorrect là-dedans ! Cet article devrait d’ailleurs faire la « Une » de la presse française.
L’ère de la pénurie commence avec 1,6 billion de dollars de pertes pour l’économie mondiale
Les liens qui unissaient l’économie mondiale et permettaient de fournir des biens en abondance dans le monde entier sont en train de se défaire à un rythme effrayant.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie et les blocages liés à la politique Zero Covid en Chine perturbent les chaînes d’approvisionnement, frappent la croissance et poussent l’inflation à des sommets inégalés depuis quarante ans. Ce sont les principales raisons pour lesquelles Bloomberg Economics a réduit de 1 600 milliards de dollars ses prévisions pour le PIB mondial en 2022.
Mais que se passe-t-il si ce n’est qu’un premier choc initial d’une longue série ? La guerre et la peste ne sont pas éternelles. Mais le problème sous-jacent – un monde de plus en plus divisé par des lignes de faille géopolitiques – ne peut que s’aggraver.
Bloomberg Economics a réalisé une simulation de ce à quoi pourrait ressembler, à long terme, un renversement accéléré de la mondialisation. Il en ressort une planète nettement plus pauvre et moins productive, avec des échanges commerciaux revenant au niveau d’avant l’adhésion de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce. Autre coup dur : l’inflation serait probablement plus élevée et plus volatile.
Une situation qui va perdurer
Pour les investisseurs, un monde de mauvaises surprises en matière de croissance et d’inflation n’a guère de quoi réjouir les marchés des actions et des obligations. Jusqu’à présent, en 2022, les matières premières – dont la rareté entraîne une hausse des prix – ont été parmi les grands gagnants, de même que les entreprises qui les produisent ou les commercialisent. Les actions des entreprises de défense ont également surperformé, alors que les tensions mondiales montent en flèche.
« La fragmentation va perdurer », déclare Robert Koopman, économiste en chef de l’OMC. Il s’attend à une « mondialisation réorganisée » qui aura un coût : « Nous ne serons pas en mesure d’utiliser la production à faible coût et à coût marginal aussi largement que nous l’avons fait. »
Pendant trois décennies, l’économie mondiale s’est caractérisée par sa capacité à produire toujours plus de biens à des prix toujours plus bas. L’arrivée sur le marché mondial du travail de plus d’un milliard de travailleurs originaires de Chine et de l’ancien bloc soviétique, associée à la chute des barrières commerciales et à une logistique hyper-efficace, a donné naissance à une ère d’abondance pour beaucoup de gens, mais les quatre dernières années ont apporté une série croissante de perturbations. Les tarifs douaniers se sont multipliés pendant la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. La pandémie a entraîné des blocages. Aujourd’hui, les sanctions et les contrôles à l’exportation bouleversent l’offre de produits de base et de marchandises, ce qui risque de confronter les économies avancées à un problème qu’elles pensaient avoir vaincu depuis longtemps : la pénurie. Les pays émergents pourraient être confrontés à des menaces plus graves pour la sécurité énergétique et alimentaire, comme celles qui provoquent déjà des troubles dans des pays allant du Sri Lanka au Pérou. Et tout le monde devra faire face à la hausse des prix.
Quelques chiffres illustrent l’ampleur des nouvelles barrières.
Tarifs douaniers : La guerre commerciale a vu les taxes américaines sur les produits chinois passer de 3 % à environ 15 % au cours de la présidence de Donald Trump.
Blocages : Les mesures de répression prises cette année en Chine ont mis en péril des centaines de milliards de dollars d’exportations et perturbé les chaînes d’approvisionnement d’entreprises telles que Apple Inc. et Tesla Inc.
Sanctions : En 1983, les flux commerciaux soumis à des interdictions d’exportation ou d’importation ne représentaient qu’environ 0,3 % du produit intérieur brut mondial. En 2019, cette part a été multipliée par plus de cinq. Les embargos généralisés déclenchés par l’invasion de l’Ukraine par la Russie et les efforts déployés par les pays pour sécuriser leurs propres approvisionnements en interdisant les ventes à l’étranger – comme la récente interdiction des exportations de blé par l’Inde – ont encore fait grimper ce chiffre.
D’un certain point de vue, tout cela fait partie d’une rupture mondiale qui oppose la démocratie occidentale et les marchés libres à l’autoritarisme chinois et russe. Mais il n’est pas nécessaire de croire à une lutte manichéenne entre le bien et le mal – ou de s’attendre à ce que les camps rivaux se séparent derrière un nouveau rideau de fer – pour voir les coûts potentiels.
Environ 6 000 milliards de dollars de marchandises – soit l’équivalent de 7 % du PIB mondial – sont échangés entre pays démocratiques et autocratiques. Pour illustrer les risques d’un grand démêlage, Bloomberg Economics a introduit un droit de douane de 25 % sur l’ensemble de ce trafic dans un modèle de l’économie mondiale. Ce taux est égal aux taux les plus élevés que les États-Unis et la Chine ont appliqués l’un envers l’autre, et il peut également remplacer d’autres types de frictions, comme les sanctions et les interdictions d’exportation.
Résultat : le commerce mondial plonge d’environ 20 % par rapport à un scénario sans découplage, retombant à son niveau de la fin des années 1990, avant l’adhésion de la Chine à l’OMC, en pourcentage du PIB. C’est un changement énorme et déchirant.
Tous les pays devraient réorienter leurs ressources vers des activités où ils sont moins bons. Une grande partie de la productivité associée au commerce serait perdue. À long terme, un retour de la mondialisation aux niveaux de la fin des années 1990 laisserait le monde 3,5 % plus pauvre que si le commerce se stabilisait à sa part actuelle de la production, et 15 % plus pauvre par rapport à un scénario de renforcement des liens mondiaux.
Le modèle montre que 7 % supplémentaires des relations commerciales existantes se déplaceraient entre les blocs. Concrètement, cela pourrait signifier que les usines fabriquant des biens pour les marchés américains passeraient de la Chine à, disons, l’Inde ou le Mexique.
Comme le suggère cet exemple, il y aurait des gagnants. Mais la transition prendrait du temps et provoquerait de graves goulets d’étranglement en cours de route, ouvrant la voie à une période d’inflation élevée et volatile. Comme Kenneth Rogoff, alors économiste de premier plan au Fonds monétaire international, l’a signalé en 2003 : « L’économie mondiale semble aujourd’hui immergée dans une longue vague de faible inflation, mais l’expérience montre que de nombreux facteurs, notamment un conflit exacerbé qui renverse la mondialisation, peuvent y mettre un terme. »
Camps rivaux
Certes, il est peu probable que la réalité de la fracture mondiale se déroule selon des lignes idéologiques aussi tranchées. Néanmoins, ces chiffres donnent une idée de ce qui est en danger.
On peut pardonner aux démocraties de se sentir menacées. En 1983, lorsque Ronald Reagan a qualifié l’Union soviétique d' »empire du mal », les pays autoritaires représentaient environ 20 % du PIB mondial. En 2022, cette part est passée à 34 %. Dans les années à venir, avec la Chine qui devrait dépasser les États-Unis et l’Europe, elle sera encore plus élevée.
La guerre en Ukraine montre que des systèmes politiques rivaux s’alignent dans des camps opposés. Le président chinois Xi Jinping continue de soutenir son allié russe Vladimir Poutine, tandis que l’Europe et les États-Unis sont alignés sur les sanctions à l’encontre de Moscou et le soutien militaire à Kiev. Elle montre également les limites de ce cadre. L’Inde, la démocratie la plus peuplée du monde, continue d’acheter du pétrole et des armes russes. De nombreuses autres démocraties – en Asie, en Amérique latine et ailleurs – montrent peu d’empressement à se joindre à la campagne de pression économique et financière sur la Russie menée par les États-Unis.
Qu’elles soient définies par un clivage idéologique ou simplement par des intérêts divergents dans un monde multipolaire, les lignes de faille qui se creusent sont réelles. Les dernières fermetures liées au Covid en Chine sont un bon exemple de certaines de leurs conséquences plus difficiles à prévoir.
Dans un monde où les relations entre grandes puissances seraient plus amicales, les dirigeants chinois auraient probablement acquis suffisamment de vaccins ARNm efficaces fabriqués aux États-Unis par Pfizer et Moderna pour donner à leur population une certaine immunité omicronique, permettant ainsi à l’économie de rouvrir. Dans un monde où la Chine est déterminée à démontrer son autosuffisance et à éviter de dépendre des innovations étrangères, ils ne l’ont pas fait.
En conséquence, les 1,4 milliard d’habitants de la Chine ne sont pas suffisamment protégés contre le virus. Laisser l’omicron se déchaîner pourrait causer 1,6 million de décès, selon une étude récente parue dans la revue Nature Medicine. Pékin n’a donc d’autre choix que de poursuivre ses mesures draconiennes de confinement. En conséquence, la Chine subit un coup dur à sa croissance. Et le reste du monde doit faire face à de nouvelles perturbations des chaînes d’approvisionnement, alors que les usines chinoises s’arrêtent et que les cargos restent à l’arrêt devant le port de Shanghai.
La menace qui pèse sur les économies américaine et européenne ne se limite pas aux répercussions des blocages chinois, ni au contrecoup de leurs propres mesures contre la Russie. Ils pourraient également être exposés à des représailles directes.
L’interdiction par la Chine, en 2010, de la vente au Japon de terres rares, éléments essentiels à la fabrication de tout, des téléphones intelligents aux batteries des voitures électriques, illustre la manière dont les contrôles des exportations peuvent être utilisés par les deux parties. La Russie qui coupe le gaz à la Pologne et à la Bulgarie en est un autre. Si Poutine va plus loin et coupe également les livraisons à l’Allemagne, à la France et à l’Italie, cela mettrait en péril 40 % de l’approvisionnement de l’Union européenne, faisant basculer le bloc européen de la reprise post-Covid à une récession douloureuse.
Même dans les profondeurs de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, l’idée d’une rupture extrême entre des camps géopolitiques rivaux semblait farfelue. Le degré d’interdépendance incarné par les chaînes d’approvisionnement d’entreprises comme Apple semblait trop important pour être démêlé. Certains ont fait valoir que la fin de l’administration Trump rétablirait des relations normales.
En 2022, avec les tarifs douaniers de la guerre commerciale toujours en place, la crise de Covid ajoutant à la pression pour localiser les chaînes d’approvisionnement, et la Russie bloquée hors des marchés américains et européens, cela ne semble pas si farfelu.
L’intensité des chocs actuels dus à la guerre et à la peste va s’estomper. Mais pas les forces sous-jacentes de la démondialisation. Préparez-vous à un monde de croissance plus faible, de prix plus élevés et de volatilité accrue.
Méthodologie et sources
Pour estimer l’impact de la démondialisation sur les flux commerciaux internationaux, Bloomberg Economics a utilisé le modèle quantitatif de commerce international développé par Antras et Chor (2018) et a imposé un tarif de 25 % sur toutes les exportations de biens et de services entre les pays du bloc démocratique et les pays du bloc autocratique, tels que classés à l’aide des scores de Freedom House.
L’impact d’une intensité commerciale plus faible sur la production mondiale est dérivé de l’estimation de la relation historique entre la mondialisation (à l’aide de l’indice de mondialisation agrégé de l’institut KOF) et le PIB potentiel (à l’aide des estimations de Bloomberg Economics pour l’approfondissement du capital et la productivité totale des facteurs), dans l’esprit de Del Negro et Primiceri et al. (2015).
La classification des pays entre démocraties et autocraties est basée sur les rapports annuels Freedom in the World de Freedom House. Les pays dont le score de liberté dans le monde est supérieur ou égal à 50 sont classés comme des démocraties.
Les volumes commerciaux soumis à des sanctions sont calculés comme le total des flux commerciaux bilatéraux exposés à des interdictions partielles ou totales d’importation ou d’exportation, sur la base des données de la Global Sanctions Data Base (GSDB), Felbermayr et al. (2020).
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Par Adam Andrzejewski – Le 10 mai 2022 – Source Open the books
L’année dernière, le National Institute of Health, l’employeur d’Anthony Fauci, a distribué 30 milliards de dollars de subventions gouvernementales à environ 56 000 bénéficiaires. Cette largesse avec l’argent du contribuable permet de s’acheter beaucoup de faveurs et d’influence dans les secteurs de la science, de la recherche et des soins de santé.
Cependant, lors de notre enquête, nous avons découvert que des centaines de millions de dollars de paiements circulent également dans l’autre sens. Il s’agit de redevances versées par des tiers (comme les entreprises pharmaceutiques) aux NIH et aux scientifiques du NIH.
Nous estimons qu’entre les années fiscales 2010 et 2020, plus de 350 millions de dollars de redevances ont été versées par des tiers à l’agence et aux scientifiques du NIH, qui sont ensuite crédités en tant que co-inventeurs.
Étant donné que ces paiements enrichissent l’agence et ses scientifiques, chaque paiement de redevance peut constituer un conflit d’intérêts potentiel et devrait être divulgué.
Récemment, notre organisation, OpenTheBooks.com, a obligé le NIH à divulguer plus de 22 100 paiements totalisant près de 134 millions de dollars versés à l’agence et à près de 1 700 scientifiques du NIH. Ces paiements ont eu lieu pendant la période la plus récente disponible (septembre 2009 – septembre 2014).
Ces révélations sont le résultat de notre procès fédéral contre le NIH. L’agence admet détenir 3 000 pages de redevances notées ligne par ligne depuis 2009. Jusqu’à présent, ils n’ont publié que 1 200 pages. Les 1 800 prochaines pages couvriront la période 2015-2020.
Cependant, ce que le NIH a publié à ce jour nous donne un aperçu des largesses cachées en matière de rétributions. Par exemple, on estimait que seuls 900 scientifiques recevaient de telles rétributions, alors nous savons maintenant que l’univers est beaucoup plus vaste.
Les documents du NIH étant lourdement caviardés, nous ne pouvons voir que le nombre de paiements reçus par chaque scientifique et, séparément, le montant global en dollars par agence du NIH. Il s’agit d’un contrôle qui va à l’encontre de l’esprit et peut-être même des lois sur les documents publics.
Nous avons constaté que les dirigeants des agences et les scientifiques de haut niveau du NIH recevaient des paiements. Parmi les scientifiques de renom qui ont reçu des paiements au cours de la période, on peut citer
Dans les exemples ci-dessus, bien que nous connaissions le nombre de paiements versés à chaque scientifique, nous ne savons toujours pas combien d’argent a été payé, parce que le montant en dollars a été supprimé (expurgé) des divulgations.
Il a été difficile d’obtenir des informations utiles de l’agence sur ses paiements. Le NIH agit comme si ces paiements étaient un secret d’État. (Ils ne le sont pas, ou ne devraient pas l’être !)
Regardez comment le NIH utilise l’argent des contribuables pour essayer de les maintenir dans l’ignorance et dans l’obscurité :
Le NIH vous dit essentiellement, à vous, le contribuable, de payer et de vous taire. Ils vont gérer les affaires pour vous. Ils ont oublié qu’ils travaillent au nom du peuple américain.
L’agence est devenue beaucoup plus secrète depuis 2005.
En 2005, Associated Press avait utilisé avec succès la loi FOIA pour ouvrir la base de données des redevances du NIH. Ils ont découvert que 900 scientifiques avaient perçu 9 millions de dollars en redevances. En outre, 51 scientifiques bénéficiaires de redevances du NIH travaillaient alors sur des expériences impliquant des inventions pour lesquelles ils étaient déjà payés.
Parmi ces 51 scientifiques (qui réalisaient des expériences impliquant des inventions pour lesquelles ils recevaient des redevances) figurait Anthony Fauci, directeur actuel et de l’époque du National Institute of Allergy and Infectious Diseases. Fauci a reçu 45 072,82 dollars entre 1997 et 2004 pour une licence de brevet sur un traitement expérimental du sida. Le NIH avait déjà financé ce traitement à hauteur de 36 millions de dollars.
À ce jour, Fauci continue de recevoir des avantages approuvés par le NIH sans avoir à rendre beaucoup de comptes. Par exemple, en février 2021, Fauci a reçu un prix d’un million de dollars de la Fondation Dan David en Israël pour avoir « oser dire la vérité au pouvoir » pendant l’administration Trump.
Aujourd’hui, le NIH est une porte tournante pour des dizaines de milliards de dollars de subventions gouvernementales couplées à des centaines de millions de dollars de rétributions par des sociétés privées dont les noms ne sont pas publiés.
Il faut absolument mettre en lumière cette alliance potentiellement impie.
Lorsqu’un bureaucrate fédéral apparaît à la télévision pour nous donner des instructions en matière de santé, qui l’a payé et pour quelle recherche et technologie ? Lorsqu’un patient accepte un essai clinique ou un traitement expérimental, quels intérêts financiers sont en jeu ?
Au lieu d’incessants secrets et de batailles judiciaires prolongées, il est grand temps que le gouvernement divulgue systématiquement les paiements de rétributions.
Le NIH doit être honnête avec le peuple américain et ouvrir les livres sur ces rétributions faites à l’agence et à ses scientifiques.
Note : Nous avons contacté le NIH pour un commentaire et n’avons reçu aucune réponse.
Dans les 36 heures suivant la publication de notre enquête, le membre du Congrès John Moolenar (R-MI), lors d’une audition de la commission des crédits, a interrogé le directeur par intérim du NIH, Lawrence Tabak, sur les redevances. Tabak a admis que les paiements de redevances des NIH relèvent du conflit d’intérêts.
Adam Andrzejewski
Traduit par Wayan pour le Saker Francophone.
L’article Fauci est l’un des bénéficiaires des 350 millions de dollars versés secrètement au NIH est apparu en premier sur PLANETES360.
Le président d'Alibaba se vante d'avoir mis au point une technologie permettant de surveiller les voyages et la consommation des gens, entre autres, afin de créer une cote de crédit « climatique » https://t.co/WUnpzLGBiR
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
…
L’article La cote de crédit « climatique » : Le président d’Alibaba se vante d’avoir mis au point une technologie permettant de surveiller les voyages et la consommation des gens est apparu en premier sur PLANETES360.
Google Lite : DuckDuckGo signe un accord secret avec Bill Gates pour suivre les utilisateurs en ligne https://t.co/O2WXG5C78S
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
…
L’article Google Lite : DuckDuckGo signe un accord secret avec Bill Gates pour suivre les utilisateurs en ligne est apparu en premier sur PLANETES360.
…
L’article Un 11ème vaccin anti-Covid validé par l’OMS est apparu en premier sur PLANETES360.
« Cette guerre entre l’OTAN et la Russie est une lutte finale entre deux systèmes qui s’affrontent »
source : France Soir
Source : reseauinternational
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Par Adam Andrzejewski – Le 10 mai 2022 – Source Open the books
L’année dernière, le National Institute of Health, l’employeur d’Anthony Fauci, a distribué 30 milliards de dollars de subventions gouvernementales à environ 56 000 bénéficiaires. Cette largesse avec l’argent du contribuable permet de s’acheter beaucoup de faveurs et d’influence dans les secteurs de la science, de la recherche et des soins de santé.
Cependant, lors de notre enquête, nous avons découvert que des centaines de millions de dollars de paiements circulent également dans l’autre sens. Il s’agit de redevances versées par des tiers (comme les entreprises pharmaceutiques) aux NIH et aux scientifiques du NIH.
Nous estimons qu’entre les années fiscales 2010 et 2020, plus de 350 millions de dollars de redevances ont été versées par des tiers à l’agence et aux scientifiques du NIH, qui sont ensuite crédités en tant que co-inventeurs.
Étant donné que ces paiements enrichissent l’agence et ses scientifiques, chaque paiement de redevance peut constituer un conflit d’intérêts potentiel et devrait être divulgué.
Récemment, notre organisation, OpenTheBooks.com, a obligé le NIH à divulguer plus de 22 100 paiements totalisant près de 134 millions de dollars versés à l’agence et à près de 1 700 scientifiques du NIH. Ces paiements ont eu lieu pendant la période la plus récente disponible (septembre 2009 – septembre 2014).
Ces révélations sont le résultat de notre procès fédéral contre le NIH. L’agence admet détenir 3 000 pages de redevances notées ligne par ligne depuis 2009. Jusqu’à présent, ils n’ont publié que 1 200 pages. Les 1 800 prochaines pages couvriront la période 2015-2020.
Cependant, ce que le NIH a publié à ce jour nous donne un aperçu des largesses cachées en matière de rétributions. Par exemple, on estimait que seuls 900 scientifiques recevaient de telles rétributions, alors nous savons maintenant que l’univers est beaucoup plus vaste.
Les documents du NIH étant lourdement caviardés, nous ne pouvons voir que le nombre de paiements reçus par chaque scientifique et, séparément, le montant global en dollars par agence du NIH. Il s’agit d’un contrôle qui va à l’encontre de l’esprit et peut-être même des lois sur les documents publics.
Nous avons constaté que les dirigeants des agences et les scientifiques de haut niveau du NIH recevaient des paiements. Parmi les scientifiques de renom qui ont reçu des paiements au cours de la période, on peut citer
Dans les exemples ci-dessus, bien que nous connaissions le nombre de paiements versés à chaque scientifique, nous ne savons toujours pas combien d’argent a été payé, parce que le montant en dollars a été supprimé (expurgé) des divulgations.
Il a été difficile d’obtenir des informations utiles de l’agence sur ses paiements. Le NIH agit comme si ces paiements étaient un secret d’État. (Ils ne le sont pas, ou ne devraient pas l’être !)
Regardez comment le NIH utilise l’argent des contribuables pour essayer de les maintenir dans l’ignorance et dans l’obscurité :
Le NIH vous dit essentiellement, à vous, le contribuable, de payer et de vous taire. Ils vont gérer les affaires pour vous. Ils ont oublié qu’ils travaillent au nom du peuple américain.
L’agence est devenue beaucoup plus secrète depuis 2005.
En 2005, Associated Press avait utilisé avec succès la loi FOIA pour ouvrir la base de données des redevances du NIH. Ils ont découvert que 900 scientifiques avaient perçu 9 millions de dollars en redevances. En outre, 51 scientifiques bénéficiaires de redevances du NIH travaillaient alors sur des expériences impliquant des inventions pour lesquelles ils étaient déjà payés.
Parmi ces 51 scientifiques (qui réalisaient des expériences impliquant des inventions pour lesquelles ils recevaient des redevances) figurait Anthony Fauci, directeur actuel et de l’époque du National Institute of Allergy and Infectious Diseases. Fauci a reçu 45 072,82 dollars entre 1997 et 2004 pour une licence de brevet sur un traitement expérimental du sida. Le NIH avait déjà financé ce traitement à hauteur de 36 millions de dollars.
À ce jour, Fauci continue de recevoir des avantages approuvés par le NIH sans avoir à rendre beaucoup de comptes. Par exemple, en février 2021, Fauci a reçu un prix d’un million de dollars de la Fondation Dan David en Israël pour avoir « oser dire la vérité au pouvoir » pendant l’administration Trump.
Aujourd’hui, le NIH est une porte tournante pour des dizaines de milliards de dollars de subventions gouvernementales couplées à des centaines de millions de dollars de rétributions par des sociétés privées dont les noms ne sont pas publiés.
Il faut absolument mettre en lumière cette alliance potentiellement impie.
Lorsqu’un bureaucrate fédéral apparaît à la télévision pour nous donner des instructions en matière de santé, qui l’a payé et pour quelle recherche et technologie ? Lorsqu’un patient accepte un essai clinique ou un traitement expérimental, quels intérêts financiers sont en jeu ?
Au lieu d’incessants secrets et de batailles judiciaires prolongées, il est grand temps que le gouvernement divulgue systématiquement les paiements de rétributions.
Le NIH doit être honnête avec le peuple américain et ouvrir les livres sur ces rétributions faites à l’agence et à ses scientifiques.
Note : Nous avons contacté le NIH pour un commentaire et n’avons reçu aucune réponse.
Dans les 36 heures suivant la publication de notre enquête, le membre du Congrès John Moolenar (R-MI), lors d’une audition de la commission des crédits, a interrogé le directeur par intérim du NIH, Lawrence Tabak, sur les redevances. Tabak a admis que les paiements de redevances des NIH relèvent du conflit d’intérêts.
Adam Andrzejewski
Traduit par Wayan pour le Saker Francophone.
Les #CDC admettent qu’un jeune garçon est mort d’une inflammation cardiaque après s’être fait vacciné contre le #Covid#enfants #vaccins #effetssecondaires #USA https://t.co/cPdPyuqAP9 pic.twitter.com/XNOWv40P0x
— Epoch Times France (@EpochTimesFR) May 25, 2022
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Pierre Jovanovic : Préparez-vous avant qu’il ne soit trop tard VIDEO PREMIERE à 21h
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Le pilote d’une grande compagnie aérienne fait un arrêt cardiaque entre deux vols après avoir été vacciné contre le #Covid#vaccin #pilote #avion #USA https://t.co/seHwAsLscy pic.twitter.com/Qi8dcYCA97
— Epoch Times France (@EpochTimesFR) May 25, 2022
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Les 16 coureurs qui se sont effondrés et le coureur qui est décédé lors du semi-marathon de Brooklyn étaient tous entièrement vaccinés https://t.co/bc5IxQ0yji
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
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Miles Guo lanceur d’alerte chinois « La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »
Miles Guo lanceur d'alerte chinois
"La variole du singe n'est qu'une excuse ! C'est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid !
Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid !'' pic.twitter.com/9VMpTcuodU
— Medinlu
(@Medinlu27) May 25, 2022
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Le président du Crédit Suisse se rend au Forum économique mondial pour promouvoir l'idée des monnaies numériques des banques centrales https://t.co/3tydMxwD79
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
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La nouvelle aurait pu faire l’effet d’une bombe mais elle est passée relativement inaperçue. Un article publié dans la revue scientifique Journal of Materials Chemistry B en février 2022 révèle l’utilité de nano matériaux métalliques et d’oxyde de graphène dans les vaccins contre Covid. Toute la presse subventionnée avait dénoncé cette fausse information « complotiste ».
Seul l’accès au résumé de l’article est publiquement disponible, l’article complet doit être demandé à l’auteur. Dans le contexte que nous vivons depuis plus d’un an et la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry sont choquantes.
Graphène et nanotubes de carbone comme adjuvant dans les vaccins
Dans un article intitulé Nano dimensions/adjuvants in COVID-19 vaccines, on apprend que « les vaccins proposés (sur le marché) contiennent plusieurs principes actifs vaccinaux différents (VAP), tels que le virus inactivé, l’antigène, l’ARNm et l’ADN, qui sont associés à des adjuvants standard ou à des nanomatériaux (NM) […] composés par exemple d’oxyde de graphène, de nanotubes de carbone, de micelles, d’exosomes, de vésicules membranaires, de polymères ou de NM (nanomatériaux) métalliques, en s’inspirant des nano-vaccins anticancéreux, dont les adjuvants peuvent partager certaines de leurs propriétés avec celles des vaccins viraux ».
Mais alors le professeur Alphandery viendrait apporter une information selon laquelle l’ANSM -comme elle l’indique elle-même – permet « de garantir au mieux la qualité, la sécurité et l’efficacité de leur utilisation (vaccins contre le Covid) ». Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ?
Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. « Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes ». Ah, des nanoparticules magnétiques ? Ne pourraient-elles pas être à l’origine d’une réaction magnétique avec des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation ? Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme.
A l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Surement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations – même si nous n’en avions plus besoin – puisque les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une dictature mais pas dans une démocratie.
Une confirmation de ce que de nombreux scientifiques et spécialistes ont dénoncé
Cet article valide de nombreux éléments assénés depuis plusieurs mois, voire plus d’une année :
Le Pr Alphandery aurait-il fait une boulette en publiant cet article ? S’est-il seulement rendu compte de ce qu’il dévoilait ? Sera-t-il publiquement traité de « complotiste » pour sauver la face et maintenir le postulat de la presse subventionnée : « Non, il n’y a pas d’oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer contre le Covid-19 ». Ni dans les autres bien entendu.
arnauddebrienne
Le vaccin contre la variole du singe financé par Fauci a été approuvé par la FDA en 2019 https://t.co/WACqf0wz9Z
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 26, 2022
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par Hashtable.
Ouf, une nouvelle panique arrive ! Il était temps et le timing est particulièrement serré.
En effet, la guerre russo-ukrainienne semble marquer le pas, à mesure que Zelensky et Poutine commencent à émettre des velléités de vouloir négocier.
En outre, le Covid n’intéresse plus personne ; il ne reste plus guère que quelques petits pétochards qui tremblent encore d’une douzième vague (ou treizième ? on perd le fil, que voulez-vous), mais qui ont bien du mal à mobiliser les plateaux télé avec leurs poulains experts largement tombés en disgrâce.
Quant aux petites gesticulations politiques autour du nouveau gouvernement français, elles ne parviennent pas à déclencher le moindre enthousiasme, au contraire : au vu de la quantité maintenant critique de bras cassés et d’ex/futurs repris de justice, le sujet va rapidement devenir miné pour tous les journaux de révérence qui vont devoir rapidement meubler leurs premières pages.
Il faut donc trouver autre chose, quelque chose de grand, de violent, du « qui fait peur » et qui mobilise le monde entier, avec à la clé des douzaines de palettes d’argent liquide mobilisées. Et ça tombe bien, des cas de variole du singe ont été fort opportunément déclarés dans différents pays occidentaux : États-Unis, Royaume-Uni, France, Belgique, certainement ailleurs en Europe…
Rapidement, le monde occidental est saupoudré de malades bubonescents.
Sapristi, on ne compte que quelques douzaines de cas, aucun mortel, mais déjà des titres grossissent dans une presse à l’affût, prête à bondir sur le lecteur niaisement prêt à se laisser couler dans un été quasi-normal : que nenni, une nouvelle pandémie arrive !
Évidemment, il est difficile ici de faire le moindre pronostic épidémiologique d’autant qu’on a vu ce que les précédents modèles valaient (de la crotte) et relancer le bastringue est donc plus périlleux. Il faudra donc procéder avec prudence mais ne pas hésiter à affoler, préventivement et par principe de précaution.
Cependant, rappelons qu’officiellement, ce virus est bien moins dangereux que la variole humaine et que le vaccin de cette dernière protège assez efficacement contre la variole du singe – au contraire de l’actuel bricolage de Pfizer pour le Covid, véritable passoire comme en témoignent les pleurnicheries de certains triples ou quadruples vaccinés qui attrapent grippes sur rhumes. En outre, la transmission humaine de ce virus animal semble beaucoup moins rapide et facile que pour l’omicron.
En toute théorie donc, les mesures habituelles qu’on employait encore couramment il y a deux ans devraient largement suffire : isolement des malades (et seulement de ceux-ci), traitements symptomatiques de base et suivi attentif des formes les plus graves, rares et limitées.
Mais en pratique et comme l’a montré la précédente période, on peut s’attendre au contraire à une remontée de l’hystérie confiniste et vaccinale : apparemment, développer une immunité naturelle et une bonne santé par les procédés habituels (nourriture saine et variée, soleil et exercice, vitamines notamment C et D, et sels minéraux notamment zinc) sera rapidement régulé voire interdit au profit de tout ce que le service public peut offrir à la fois de plus coercitif et de finement emboîté avec l’une ou l’autre industrie pharmaceutique par un capitalisme de connivence sans plus le moindre frein.
On pourrait croire ici à une petite exagération (ce n’est pourtant pas le style de la maison !) mais il suffit de voir les petits messages de plus en plus insistants dans la presse, les articles sensationnalistes et les annonces semi-officielles pour comprendre que tous (médias, institutions officielles et politiciens pas tous élus) veulent avidement nous rejouer la partition déjà jouée pour la précédente pandémie : le pouvoir gagné à l’époque fut addictif et les drogués ont besoin d’un nouveau shoot, encore plus massif (à vos dépens).
D’ailleurs, on commence déjà à retrouver les mêmes bricolages de sites web visant à faire disparaître l’aspect mineur de ce virus (ici avec le NHS en Angleterre, ici au Pays-Bas) : que voulez-vous, il est impossible de faire vraiment peur avec les données rassemblées ces dernières décennies.
Et c’est donc sans surprise qu’on voit s’accumuler quelques faits troublants : certains parleront de complots, et d’autres de complotistes afin de discréditer tous ceux qui refusent de paniquer, mais il est difficile d’oublier la simulation circonstanciée de la NTI il y a quelques mois mettant en scène exactement ce virus, et à une date vraiment bien trouvée (débutant la simulation le 15 mai). Difficile d’oublier aussi cette très récente simulation du G7 avec un exercice sur la variole (humaine celle-ci). Pas simple d’oublier l’insistance de Bill Gates – le généreux mécène qui finance l’OMS, sa fondation Gates et des myriades d’ONG en lien direct avec vaccins et maladies virales – à évoquer une attaque terroriste avec la variole. Difficile de ne pas rapprocher ce qui se passe de l’actuelle mise en place ces derniers jours du traité de l’OMS évoqué ici-même en mars dernier visant à laisser tout pouvoir à cette institution en cas de pandémie au détriment des États souverains. Difficile aussi de ne pas voir les petites gesticulations (au timing parfait) des petits fact-checkers habituels dès les premiers soupçons.
Vraiment, ce paquet de coïncidences fortuites tout à fait liées au hasard parce que rien n’était prévu du tout, eh bien cela tombe à pic…
… Notamment pour remettre une couche de pass vaccinaux, de confinements, de vexations sur ceux qui refusent de se départir de leurs libertés pourtant considérées jusqu’à présent comme intrinsèques à la nature humaine et inaltérables, inattaquables par les pays dits démocratiques. Il devient vraiment difficile de ne pas voir l’acharnement de certains politiciens, de certaines célébrités non-élues mais trop influentes et de certaines institutions sur une partie de la population occidentale afin de lui faire passer le goût de s’exprimer démocratiquement.
Du reste, le contraste est très fort avec ces autres pays qui ont déjà subi des cas de variole du singe et n’ont globalement rien fait de spécial. Mieux : dans ces pays déjà « visités », on retrouve même différents pays occidentaux qui ont très bien su gérer des montées subites de cas dans le passé (États-Unis en 2003, Angleterre sur les cinq dernières années, et quasiment tous les pays d’Afrique équatoriale depuis des décennies) sans en passer ni par la case « autoritarisme sanitaire », ni par celle de la perte de souveraineté et de la mise en tutelle par l’OMS…
En fait, il semble que les populations d’Occident n’ont plus le droit de se reposer : pour elles, la tranquillité d’esprit et l’insouciance sont devenues impossibles à obtenir. Elles doivent être constamment tenues en haleine, improvisant leur vie comme au sein d’une série à suspense trépidante, sautant d’une catastrophe à la suivante sans jamais prendre le temps de se poser deux minutes, dire stop et tenter de réfléchir.
Il faut donc passer d’une panique à une autre, d’une terreur télévisuelle à la suivante, aussi vite que possible : si le Covid ne suffit pas après des millions de morts annoncés, la guerre thermonucléaire devrait faire l’affaire ! Et quand celle-ci ne semble pas se concrétiser, on met alors en exergue un virus au nom chargé de sous-entendus mortels.
Et à chaque fois, de façon systématique, non seulement on retrouve les mêmes noms, les mêmes institutions et les mêmes procédés médiatiques, mais à chaque fois, de façon systématique, on retrouve toujours la même mise en pièces des processus démocratiques habituels, la même évaporation de nos libertés et la même volonté de réduire les individus à leur simple expression de mammifères vaguement productifs.
Vraiment, quelle coïncidence !
source : Hashtable
L’article Variole du singe : à quoi peut-on s’attendre ? est apparu en premier sur PLANETES360.
« Quand allons-nous enfin faire quelque chose ? » Steve Kerr, entraîneur de l’équipe américaine de basket de Goden State Warriors (Californie), s’est énervé mardi soir, peu de temps avant un match que son équipe devait disputer à Dallas, au Texas, Etat où venait d’avoir lieu une tuerie dans une école.
Il s’est lancé dans un vibrant plaidoyer pour la régulation des armes à feu aux Etats-Unis. « Je ne vais pas parler de basket », a déclaré Steve Kerr lors d’une conférence de presse. « Depuis que nous avons quitté la séance d’entraînement, 14 enfants ont été tués à 600 km d’ici, et un enseignant (NDLR : le bilan a été revu à la hausse depuis). Au cours des dix derniers jours, des personnes âgées noires ont été tuées dans un supermarché à Buffalo, des fidèles asiatiques ont été tués en Californie du Sud, et maintenant des enfants ont été tués à l’école », a énuméré Kerr, la gorge serrée et les yeux embués.
L’article Tuerie au Texas : la colère d’un coach NBA après la mort de 19 enfants dans leur école est apparu en premier sur PLANETES360.
Washington a admis diriger 336 laboratoires biologiques dans 30 pays à travers le monde, dont 26 en Ukraine. Cependant, les contrats saisis par l’armée russe suggèrent que les États-Unis ont en réalité signé des contrats avec 49 pays, bien plus qu’ils ne l’aient admis.
Selon Washington ces contrats ne violent pas la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1975, bien qu’ils soient développés par un organe du Pentagone, l’Agence fédérale de réduction des menaces contre la Défense (Defense Threat Reduction Agency – DTRA).
L’armée russe affirme que la DTRA a mené des expériences biologiques sur des malades mentaux ukrainiens à l’hôpital psychiatrique n° 1 (village de Streletchyé, région de Kharkov) et a utilisé un agent tuberculeux pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk).
Les laboratoires biologiques militaires US en Ukraine ont déjà fait l’objet d’un débat au Conseil de sécurité, le 11 mars 2022. Les États-Unis ont expliqué que, loin de préparer de nouvelles armes biologiques, leur coopération en matière biologique militaire avec l’Ukraine visait exclusivement à détruire les restes des programmes soviétiques en la matière dans ce pays. Or cela ne répond pas au fait que ce programme est poursuivi dans 30 pays au moins, ni les crédits qui y sont attribués, ni qu’ils se poursuivent depuis une trentaine d’années.
La presse chinoise, quant à elle, fait remarquer que, dans les années 80, le United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases avait dispersé des moustiques Aedes aegypti vecteurs de la dengue, du chikungunya et du virus Zika sur sa propre population dans l’État de Géorgie. Aujourd’hui la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) mène des recherches sur les « Insectes alliés ».
Officiellement il s’agit de transformer des insectes en cyborgs (photo) pour qu’ils modifient génétiquement des plantes afin d’augmenter leur rendement, mais officieusement il pourrait s’agir de l’inverse : de stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines, avaient mis en garde la revue Science, en 20181.
Pour la presse chinoise, c’est cet objectif qui explique la dissémination des expériences de la DTRA dans tous les pays alentour de la Russie et de la Chine.
L’interdiction d’exporter des engrais russes à base de potasse entrave l’agriculture dans de nombreux pays, particulièrement en Afrique. La dissémination de mines navales au large de l’Ukraine empêche l’exportation des récoltes ukrainiennes vers l’Afrique et l’Asie. Cette situation fait peser une grave menace de famine mondiale dont le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, s’est déjà saisie.
source : Réseau Voltaire
L’article L’hypothèse chinoise sur les expériences biologiques militaires US est apparu en premier sur PLANETES360.
#ElonMusk, en plus d’être un entrepreneur de talent, un innovateur et l’homme le plus riche du monde, est aussi un homme qui risque sa position, sa fortune et sa réputation pour mener des combats que d’aucuns estimeraient être pour la bonne cause.
Il s’oppose à Joe Biden, il défend un idéal démocratique plus noble et par le biais du rachat de Twitter, il entend bien mettre un coup de pied dans la fourmilière.
Seulement voilà… le combat est rude, et il en subit les affres d’ores et déjà. On le salit, on le dégrade, et on le dissuade d’aller plus loin par tous les moyens. Mais comme vous le savez, il faut toujours distinguer le réel du récit.
Dans cette vidéo, on fait le point sur le soldat Elon Musk, seul au front contre une tyrannie qui joue de tous ses atouts pour le faire taire.
L’article Il faut sauver le soldat Elon Musk [Idriss Aberkane] est apparu en premier sur PLANETES360.
Ce jeudi 26 mai, dans le « débat », Jean-Marc Daniel et Nicolas Doze sont revenus sur la hausse du chômage pour le mois d’avril, une première depuis un an. Cette chronique est à voir ou écouter du lundi au vendredi dans Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Audrey Maubert sur BFM Business.
L’article Le débat : Chômage, retour à la réalité par Jean-Marc Daniel et Nicolas Doze est apparu en premier sur PLANETES360.
Commençons par un dispositif de surveillance devenu central dans nos vies en un clin d’œil : le pass sanitaire/vaccinal. Vous le replacez dans une évolution plus large des technologies qui ont permis l’application de la « répression par l’exclusion », jusque-là limitée. Comment expliquez-vous la faiblesse des critiques envers la généralisation d’un tel dispositif ?
Le propre de la « répression par l’exclusion » est d’être difficile à critiquer en masse. Elle se fonde sur une fracture entre personnes jugées désirables ou indésirables par l’État (gens du voyage et migrant·es, typiquement) en espérant que cette fracture et les différences de traitement qui en résultent freinent la solidarité des personnes non-exclues envers celles exclues. Avec des conséquences moins dramatiques, c’est sur ce type de fracture que repose le pass sanitaire pour réprimer par l’exclusion les personnes non-vaccinées, qui ne bénéficient pas toujours d’une grande solidarité. À droite comme à gauche, on ne manque pas d’excuses pour ne plus participer aux manifestations anti-pass : moqueries ou haine contre les personnes qui ont peur des nouvelles technologies (vaccins comme 5G) ; culpabilisation des personnes non-vaccinées ; refus d’être associé à des personnes de classe inférieure ; puis refus d’être associé à l’extrême droite qui, fatalement, est venue profiter de l’isolement politique dans lequel les militant·es anti-pass avaient été laissé·es. Pourtant, les systèmes de répression par l’exclusion sont au cœur de l’idéologie d’extrême droite et des politiques menées par le gouvernement, que ce soit contre les pauvres, les étranger·es ou toute personne déviant des normes réactionnaires. Le pass sanitaire, en montrant comment les nouvelles technologies peuvent décupler ces pratiques de contrôle et d’exclusion, devrait être une cible dans la lutte contre les idées d’extrême droite.
Loi sécurité globale, loi renseignement, lois antiterroristes… Il ne passe pas un an sans qu’une nouvelle loi vienne élargir l’usage des drones, des caméras de surveillance, de la reconnaissance faciale, des perquisitions administratives ou encore du partage des renseignements entre services. Le quinquennat Macron se distingue-t-il des précédents ?
« Le pass sanitaire, en montrant comment les nouvelles technologies peuvent décupler ces pratiques de contrôle et d’exclusion, devrait être une cible dans la lutte contre les idées d’extrême droite. »
Le rôle de Macron est probablement très faible dans ces évolutions. Sur ces sujets, ce sont les services de renseignement et la police qui ont toujours défini la marche à suivre – elle-même souvent la conséquences d’évolutions internationales : les Français tentent depuis plus de dix ans de rattraper leur retard technologique sur la NSA. Il a fallu attendre 2013 et les divulgations d’Edward Snowden pour que le gouvernement prenne la peine de légaliser les programmes de surveillance massifs et secrets développés par le renseignement français. S’agissant de la reconnaissance faciale, c’est la Chine qui semble inquiéter les polices européennes : hors de question pour l’Occident de perdre l’hégémonie technologique de l’oppression et de se faire distancer par l’empire du Milieu ! D’autant que les enjeux industriels sont immenses et que l’industrie française (Thalès, Atos, Idémia, Evitech…) promet, si on lui en donne l’argent et les lois nécessaires, de faire de la France un pays à la pointe de la surveillance biométrique1. Cette escalade sécuritaire est la conséquence naturelle de notre système économique, de la structure de notre État et de facteurs géopolitiques – autant de choses qui existaient bien avant Macron et risquent hélas de lui survivre.
En France, un des contre-pouvoirs clefs est la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), créée en 1978 et réformée en 2004. Vous critiquez souvent ses prises de position, ou plutôt leur absence. Faut-il la réformer ou la supprimer ?
La CNIL, malgré des moyens encore faibles face à l’ampleur des traitements de données personnelles qui sont réalisés, a déjà un certain nombre de ressources pour mettre de sérieux freins au développement de la technopolice – l’alliance des nouvelles technologies aux pouvoirs de police : ce qu’elle ne fait encore que trop rarement. C’est à la population de mettre la pression pour la faire changer de posture. Récemment, certains signes laissent penser que cette mobilisation commence à payer : la CNIL a rendu quelques décisions contre de nouvelles technologies de surveillance. Même si ces décisions interviennent souvent après que le travail ait été fait par la population (si la CNIL a bien fini par interdire les drones, par exemple, elle l’a fait plusieurs mois après nos actions victorieuses devant le Conseil d’État), c’est probablement un bon début. Continuons dans cette voie tout en nous souvenant qu’il sera difficile d’espérer une pleine protection de la part de la CNIL et qu’il est donc nécessaire que la population continue de s’organiser pour se défendre elle-même.
Le règlement général sur la protection des données (RGPD), adopté en 2016, est censé offrir un des cadres les plus sûrs du monde en termes de protection des données personnelles. Côté utilisateur, il s’est surtout traduit par une multiplication des messages plus ou moins clairs nous demandant d’accepter des cookies pour « améliorer notre expérience ». Quel bilan en tirez-vous ?
En 2016, nous étions très mitigés s’agissant du RGPD. À nos yeux, il ne changeait pas grand-chose par rapport au droit européen antérieur qui, depuis 1995, offrait une vague protection de nos données personnelles. En 2018, toutefois, au moment où le texte allait entrer en application, il a profité d’une très forte et surprenante médiatisation. Nous avons donc rangé notre pessimisme pour surfer sur la vague et tenter de pousser des interprétations juridiques capables de subvertir le modèle économique du capitalisme de surveillance. C’est pourquoi nous avons déposé, avec 12 000 personnes, des plaintes collectives contre Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft dans le but de les empêcher de faire du ciblage publicitaire en Europe. Trois ans plus tard, le résultat est mitigé : Amazon vient de recevoir une amende record de 746 millions d’euros au Luxembourg suite à notre plainte, avec obligation sous astreinte d’arrêter la publicité ciblée sans notre consentement. Amazon a fait appel de la décision et n’a pas encore changé son comportement. Les quatre autres plaintes sont bloquées en Irlande, où les entreprises sont situées et où l’autorité semblable à la CNIL ne parait pas pressée de travailler. Comme pour la CNIL en France, le seul blocage semble être politique : derrière un protectionnisme de façade, peu d’États européens souhaitent se mettre à dos les GAFAM qui sont de puissants alliés en matière de censure, de développement technologique ou de propagande politique. Mais comme pour la CNIL, la population peut faire pression sur ces institutions plus ou moins indépendantes, et nous ne désespérons pas de quelques belles surprises à venir.
Sur le plan des données personnelles, on oppose souvent le modèle occidental – où des grands groupes privés sont les premiers à en organiser la collecte et à en profiter – au modèle chinois – où c’est l’État qui s’en sert pour développer des politiques de fichage et de social ranking. Une telle dichotomie permet-elle de penser les similarités et différences entre Chine, États-Unis et Europe ?
« L’Asie ne doit servir ni de repoussoir dystopique ni de rivale économique : nous y voyons surtout des populations subissant des technologies similaires à celles que nous subissons en Europe. »
Nous n’opposons pas de modèle prétendument occidental à un modèle prétendument chinois (où le secteur privé joue d’ailleurs un rôle fondamental) car il nous semble que ce discours permet surtout aux gouvernements européens de dissimuler la surveillance de masse qu’ils ont déjà installée, tout en leur offrant le prétexte pour en installer davantage afin de rattraper un prétendu retard vis-à-vis de la Chine. En réalité, en France, la surveillance de la population est extrêmement développée, qu’elle soit réalisée par l’industrie privée ou par l’État – qui tient à jour des fichiers sur la population, gérés par l’administration sans le contrôle de la justice, afin de savoir quelles personnes sont correctement intégrées dans la société ou, au contraire, posent des risques politiques et doivent ainsi se voir refuser l’accès à certaines professions ou à un titre de séjour.
Que sont précisément ces fichiers ?
Voyez par exemple le fichier TAJ2 ou le fichier PASP3. Le social ranking lui-même est directement inspiré des systèmes de credit ranking (évaluation de solvabilité) développé aux États-Unis. La reconnaissance faciale est l’héritière de l’anthropométrie française : une technique policière de mesure du corps développée au XVIIIe siècle. Aujourd’hui, fortes de ces échanges culturels, les industries occidentales et asiatiques collaborent pour développer leurs technologies policières, chacune expérimentant ses outils dans les pays de l’autre. On a récemment vu Huawei déployer gratuitement sa reconnaissance faciale dans des lycées à Marseille et Nice, pendant que la France organisait des expérimentations similaires à Singapour. Elles se servent chacune de l’autre comme prétexte pour avoir le soutien de son État et de sa population. L’Asie ne doit servir ni de repoussoir dystopique ni de rivale économique : nous y voyons surtout des populations subissant des technologies similaires à celles que nous subissons en Europe, et avec lesquelles nous aurions tout intérêt à tisser des solidarités.
Pour lutter contre l’emprise des grandes entreprises américaines, les GAFAM, le développement d’alternatives « souveraines » européennes voire françaises est souvent avancé comme la solution. Pourtant, avoir un Google parisien ou un Facebook berlinois changerait-il fondamentalement un modèle basé sur la collecte massive de données personnelles vendues à des annonceurs ?
Peu de monde souhaite véritablement l’apparition d’un Google parisien ou d’un Facebook berlinois. Le gouvernement français vante les mérites de Google et de Facebook dès que l’occasion se présente et n’aurait aucun intérêt à ce que ceux-ci disparaissent ou s’éloignent. Google et Facebook ont gratuitement repris à leur compte tout le travail de police de l’Internet, et le gouvernement a exprimé à de nombreuses reprises en être très satisfait (son seul problème concerne Twitter qui est moins coopératif que les deux autres). Pour le gouvernement français, remplacer Google et Facebook par des équivalents européens risquerait non seulement de les substituer à des acteurs moins efficaces, mais aussi de soumettre ces nouveaux acteurs aux lois et aux débats publics européens auxquels les GAFAM peuvent échapper en bonne partie. Le seul avantage pour le gouvernement serait d’avoir de gros acteurs français plus proches de ses services de renseignement, mais cette raison ne semble pas actuellement suffire pour entreprendre les démarches risquées et titanesques qui seraient nécessaires à l’apparition d’un Google ou d’un Facebook français – le gouvernement semble préférer la solution confortable du statu quo. Du côté de la population, comme vous l’avez bien souligné, celle-ci a bien plus intérêt à voir le modèle de surveillance publicitaire disparaître plutôt que changer de propriétaire. Cette solution est d’autant plus souhaitable que, juridiquement, le RGPD la rend tout à fait réaliste4.
Vous êtes plutôt critiques des initiatives, qu’elles viennent du gouvernement ou de la Commission européenne, qui visent à lutter contre la propagation des fake news et des propos haineux sur le Web, et particulièrement sur les réseaux sociaux. Faut-il réguler le contenu diffusé sur ces plateformes, au risque, donc, de censurer ?
Nous ne pensons pas que Google et Facebook puissent véritablement offrir des espaces de libertés d’expression : quand ils le font, ce n’est que de façon incongrue et temporaire. Au contraire. La raison d’être de ces entreprises est de créer des espaces d’expression inégale où sont favorisées les industries qui les financent pour diffuser leur propagande publicitaire au détriment du reste de la population – l’inverse de la liberté d’expression. Google et Facebook sont des modèles de censure par nature, de sorte qu’ils n’ont pas attendu que des lois le leur demandent pour censurer des propos contraires à leurs objectifs commerciaux. Les lois de censure (qu’elles prétendent lutter contre la haine ou contre le terrorisme) sont moins une menace pour les grands réseaux sociaux (qui ne s’en trouvent pas vraiment altérés) que pour les alternatives décentralisées déployées par la population. On ne peut que souligner l’échec colossal du CSA et de la justice pour lutter contre la propagation des idées de haine dans l’espace public. Par contre, ces lois présentent un tel poids qu’elles ont pour effet, si ce n’est pour but, de décourager en Europe le développement d’alternatives populaires, seules à même d’offrir sur Internet de véritables espaces d’expression où les uniques formes de censure ou de modération sont celles choisies par la population autogérée.
Tout ne se passe pas à l’échelle européenne ou nationale. Vous interpellez souvent des villes, de gauche comme de droite, pour leur goût immodéré pour la vidéosurveillance et tout autre outil qui contient les mots « smart » ou « big data ». Marseille est la dernière en date. Comment expliquer cet engouement pour des dispositifs dangereux pour la vie privée, et à l’efficacité d’ailleurs souvent contestée ?
« L’utilisation de caméras dans l’espace public n’est quasiment plus remise en cause au sein du champ politique et médiatique. Pourtant, il est bien au cœur de la technopolice. »
L’échelle locale est très intéressante à regarder s’agissant du déploiement de la technopolice. C’est d’ailleurs le nom que nous avons donné à une campagne lancée en 2019 qui fait aussi écho à l’invasion des technologies et l’accélération grandissante du tout-numérique dans les espaces urbains. Nous nous sommes aperçus que de nombreux dispositifs technopoliciers étaient d’abord déployés localement, dans différentes villes. Ces dispositifs incluent l’écoute urbaine, la vidéosurveillance automatisée (c’est-à-dire l’ajout d’une couche logicielle sur des caméras classiques avec détection de comportements anormaux, de maraudage, etc.), la reconnaissance faciale, des hauts parleurs couplés aux caméras, jusqu’aux logiciels de police prédictive. Les municipalités sont motrices dans la mise en place de ce qui est souvent présenté comme n’étant « que » des expérimentations. À l’origine de tous ces dispositifs, il y a le déploiement de la vidéosurveillance, à l’initiative des collectivités locales et incité par des financements publics. L’utilisation de caméras dans l’espace public n’est quasiment plus remise en cause au sein du champ politique et médiatique. Pourtant, il est bien au cœur de la technopolice : c’est sur cette infrastructure et sa croissance incessante qu’elle repose. Et si la vidéosurveillance s’est imposée comme solution, c’est le fait d’un enchevêtrement d’intérêts convergents entre les élus locaux et les industriels. Si les municipalités installent toujours plus de caméras, c’est parce qu’elles peuvent facilement capitaliser sur ces dispositifs. L’extension et le renforcement des dispositifs sécuritaires constituent ainsi des ressources que les élus peuvent exploiter politiquement : c’est ce qu’on observe à Nice, où Christian Estrosi ne cesse de crier à tue-tête que sa ville est la plus vidéosurveillée de France et, par conséquent, la plus sécurisée ! Lorsqu’un événement a lieu – du dépôt d’ordure sauvage à un attentat, en passant par un cambriolage -, l’annonce de l’installation de nouvelles caméras ou de reconnaissance faciale donne l’impression de faire quelque chose de concret, une mesure réalisable rapidement qui prétend résoudre un problème.
Qu’en est-il des industriels que vous mentionnez ?
Pour les acteurs privés, la technopolice représente un marché très lucratif. Que ce soit pour les industriels de la défense, donc militaires, comme Thalès, le champion français (vente d’arme, de drone, etc.), des entreprises historiquement du numérique, de l’énergie ou des start-up. Pour les entreprises d’armement, rien d’étonnant à ce qu’elles abreuvent aussi le marché de la sécurité intérieure en technologies de surveillance : le marché civil représente une perspective de débouchés à la R&D militaire – comme le géographe Stephen Graham le montre avec l’exemple des drones. Le marché de la sécurité n’est autre que la transformation et la traduction de technologies militaires vers celles du maintien de l’ordre afin de trouver des débouchés nationaux. En dehors des entreprises proprement sécuritaires, le marché de la surveillance intéresse aussi d’autres acteurs, attirant des entreprises spécialisées dans d’autres secteurs. Des entreprises des TIC [technologies de l’information et la communication] tentent ainsi de d’inscrire dans ce marché : IBM à Toulouse pour équiper une trentaine de caméras de vidéosurveillance de la métropole d’un logiciel de vidéosurveillance automatisée ; Cisco à Marseille et Nice pour équiper les lycées de portiques de reconnaissance faciale. Enfin, les start-ups ne sont pas en reste. Certaines se sont créées spécifiquement pour le marché de la sécurité urbaine tandis que d’autres, comme Two‑I, initialement spécialisée dans la reconnaissance d’émotions, se sont au contraire reconverties. Aujourd’hui, elle met au point des algorithmes de reconnaissance faciale, testés sur les supporters du stade de foot de Metz, ainsi qu’une plateforme d’hypervision permettant le pilotage à distance de la ville. Si le recours aux nouvelles technologies dans le but d’automatiser, de rationaliser et de rendre plus efficace la sécurité urbaine est si présent dans les grandes villes, c’est parce qu’il s’inscrit dans le nouveau récit néolibéral. Le recours à l’imaginaire d’une « smart city » montre à quel point les métropoles ont intégré la rationalité du New Public Management en appliquant ce capitalisme numérique à l’aménagement et à la gestion territoriale. En bref, si les municipalités sont si promptes à avoir recours à la technopolice et aux dispositifs de surveillance, c’est parce qu’elles y ont tout intérêt, économiquement comme politiquement.
Que ce soit au nom de la protection de l’environnement, de la participation des citoyens avec les « civic tech » et bien sûr de la sécurité, la multiplication des données – et donc de ses sources (capteurs, applications mobiles, caméras) – est censée apporter de nombreuses réponses aux défis que vont connaître les grands centres urbains dans les décennies à venir. Rejetez-vous en bloc le concept de smart city ou peut-on imaginer une « ville intelligente » sans entrer dans la surenchère technologique et sécuritaire ?
C’est une nouvelle « fiction urbaine », une manière pour le capitalisme numérique de s’attaquer à la gestion de l’espace urbain. La transformation des métropoles deviendrait soudain possible : les nouvelles technologies permettraient à des mégalopoles de pallier à la crise écologique tout en étant plus démocratiques et horizontales. Tout ça repose sur une croyance : à travers la maîtrise et le contrôle toujours plus fin et total des ressources, il serait possible de faire des économies d’énergie et d’être plus efficace dans l’allocation de celle-ci au sein des villes. Et, en bonus, cette numérisation verrait l’avènement d’une « citoyenneté augmentée », où les habitant·es toujours connecté·es seraient de véritable acteurs d’une ville toujours plus démocratique. C’est ce que le géographe Guillaume Faburel nomme la « prophétie technologique », soit le progrès technologique pour toute réponse aux problèmes sociaux. Ces fictions reposent notamment sur l’aménagement de multiples capteurs dans le paysage urbain : des caméras de vidéosurveillance, des capteurs sur les poubelles pour savoir quand elles sont pleines, des indicateurs de la pollution de l’air, des détecteurs de mouvement pour les lampadaires automatisés, etc. Cette automatisation, doublée d’une surenchère de nouvelles technologies, est inscrite dans l’ADN des smart cities : leur fameuse « intelligence » proviendrait de la collecte et de l’analyse des données produites par ces capteurs. En outre, la notion de safe city – soit une ville intelligente et sûre – est apparue, bien que différemment mis en avant selon les métropoles. Ce concept, né de la bouche des industriels, illustre le passage à l’automatisation de la sécurité urbaine et à la technopolice. La smart city et la safe city sont les deux faces d’une même pièce. Que ce soit pour une gestion soi-disant écologique de la ville ou bien pour mener de manière plus efficace la chasse aux pauvres, ce sont les mêmes infrastructures technologiques qui sont utilisées, les mêmes acteurs privés et le même marché économique sont convoqués.
Vous avez un exemple ?
« Que ce soit pour une gestion soi-disant écologique de la ville ou bien pour mener de manière plus efficace la chasse aux pauvres, ce sont les mêmes infrastructures technologiques qui sont utilisées. »
Le cas des lampadaires est assez parlant. Plusieurs villes mettent en place des lampadaires connectés, dotés de détecteur de mouvement, qui s’allument lorsqu’une personne passe, dispositif justifié par un argumentaire pseudo-écologique. L’ajout de capteurs permet en réalité d’intégrer les lampadaires dans les schémas de sécurité des villes – que ce soit pour installer une caméra dessus, pour augmenter la luminosité lorsque les policiers ont détecté quelques chose et cherchent à éclairer un événement ou encore pour y ajouter une recharge de téléphone ou une antenne 5G. Dans les faits, ça contribue encore une fois à éjecter les personnes les plus précaires des centres-villes : un lampadaire qui ne s’allume que lorsqu’il y a du passage invite à considérer l’espace public comme un endroit où transitent des flux, non comme un potentiel espace de vie. La ville intelligente contribue à un solutionnisme technologique qui cache de vraies issues, celles qui ne sont pas tenues par la technocratie au pouvoir mais construites par et pour les gens. Quid des lampadaires avec un interrupteur pour les allumer ou les éteindre ? La fable d’une ville intelligente est en train d’évoluer. Il ne s’agit plus uniquement de cibler les métropoles : désormais, ce sont des « territoires connectés » qui sont visés. Une manière d’apposer un maillage numérique à toutes les échelles possibles.
L’empreinte écologique du numérique devient de plus en plus préoccupante. Elle fait l’objet de nombreuses analyses et propositions. Le journaliste Guillaume Pitron pose par exemple la question de prioriser certains flux selon leur utilité sociale au nom de la sobriété énergétique. Ce fonctionnement viendrait toutefois remettre en cause un principe que vous défendez, celui de la neutralité du Net. Comment concilier ces deux préoccupations ?
Cela pose la question du sens politique et social que nous, en tant que société(s) connectée(s), voulons donner à Internet aujourd’hui. La neutralité du Net pose comme principe que les fournisseurs d’accès à Internet traitent tous les flux de communication de la même manière, sans bloquer, ralentir ou faire payer l’accès à certains contenus plutôt qu’à d’autres. Il s’agit d’un terrain où s’affrontent divers idéaux politiques et divers intérêts économiques, en prenant pour objet cette infrastructure technique, complexe et pleine de potentialités qu’est Internet. La neutralité peut recouvrir plusieurs dimensions politiques. L’une d’entre elles s’appuie sur une vision d’Internet en tant que bien commun, libre et accessible à tous et toutes de la même manière. C’est un bel idéal qui, dans les faits, rencontre un certain nombre d’obstacles : au niveau du fonctionnement des divers protocoles de communication, de la gestion des infrastructures, selon les moyens matériels personnels des gens qui se connectent ou en fonction de leur maîtrise des codes pour naviguer « librement » sur Internet. La neutralité du Net recouvre donc de multiples dimensions, à la fois technique, politique, économique et sociale.
Et l’empreinte écologique ?
Guillaume Pitron met un coup de projecteur sur la dimension écologique d’Internet. Ce qu’il nous semble interroger par ses travaux, c’est cette image d’Internet construite comme un espace virtuel (le cyberespace), libre et égalitaire par excellence, espace de tous les possibles complètement découplé des réalités physiques. Or il rappelle à raison qu’Internet, tel que nous le connaissons aujourd’hui, se construit grâce à des technologies et à des infrastructures coûteuses en énergie comme en matériaux rares et polluants, dont l’extraction et le traitement affectent de manière inégalitaire territoires et populations. Dans un même temps, certaines des valeurs dominantes qui gouvernent le développement des réseaux stipulent que tout doit être accessible partout à tout moment, de manière quasi instantanée, quel qu’en soit le coût écologique. Ce rapport au temps et à l’espace est caractéristique de nos sociétés modernes capitalistes. On pourrait faire, dans une certaine mesure, un parallèle avec la capacité de voyager jusqu’à l’autre bout du monde à très grande vitesse grâce au réseau de transport aérien. Cette « liberté de circuler » repose sur l’utilisation d’avions très gourmands et émetteurs de CO2 polluants : aujourd’hui, nous qui avons accès à cette technologie et conscience des enjeux écologiques, nous sommes amené·es à réfléchir en quels termes il nous paraît juste et légitime de prendre l’avion pour nous déplacer. De la même manière, nous pouvons réfléchir à nos pratiques de communication, aux manières de concilier l’ensemble de nos valeurs politiques : aussi bien la liberté et l’égalité d’accès et d’échange que la protection de l’environnement. Sans remettre en cause la neutralité du Net, on pourrait défendre ses usages purement médiatiques, de communications entre humains, avec des machines plus simples, plus lentes, et des réseaux gérés en bien commun. Réglementer les usages d’Internet peut être tout à fait compatible avec cette neutralité : celle-ci n’est pas affectée par le fait que nous n’ayons, par exemple, pas le droit de harceler. La neutralité du Net, à nos yeux, est importante car elle permet de mettre les gens à égalité, de faire en sorte que tout le monde puisse participer à la chose publique. D’éviter également de culpabiliser ou de pénaliser injustement les populations. C’est pourquoi nous n’avons pour l’instant traité le problème écologique que par le biais des industries, en attaquant le système publicitaire des GAFAM au cœur de la surconsommation.
source : Bruno Bertez
L’article La France, pays de surveillance est apparu en premier sur PLANETES360.
Une appréciation sur la situation en Ukraine (différente de celle du yetiblog), une analyse des manœuvres d'Erdogan et un point sur l'Extrême-Orient.
Observatus Geopoliticus
Le Grand jeu : ça chauffe !
yetiblog.org
Ce mercredi 25 mai c’est la journée mondiale des enfants disparus. En france, un enfant est signalé disparu toutes les 10 minutes.
C’est par exemple le cas de Lola Garnie, 14 ans. Elle n’a pas réintégré le foyer Les Marmousets à Saint-Étienne le 12 mars 2022 en fin d’après-midi.
La police Nationale a lancé un avis de recherche pour disparition inquiétante. Lola à les cheveux châtains. Les yeux marrons. Elle mesure 1m63 et st de corpulence forte. Le jour de sa disparition, elle portait une veste de jogging bleue.
Si vous avez des informations, contactez le commissariat de Saint-Étienne au 04.77.43.36.33 ou 04.77.43.28.23. Merci de Partagez cet avis de recherche.
Source : Actu Pénitentiaire
Un adolescent de 18 ans a ouvert le feu, mardi, dans une école primaire au Texas, tuant 19 jeunes élèves et deux adultes. Un drame qui a replongé l’Amérique dans un cauchemar chronique, Joe Biden exhortant à un sursaut pour réguler les armes à feu. « Il est temps de transformer la douleur en action », a insisté le président américain, visiblement ému, dans une allocution solennelle à la Maison Blanche.
« Quand, pour l’amour de Dieu, allons-nous affronter le lobby des armes ? », a lancé Joe Biden, se disant « écœuré et fatigué » face à la litanie des fusillades en milieu scolaire.
Cette dernière tragédie a fauché la vie d’enfants âgés d’une dizaine d’années tout au plus. Le tireur a tué ses victimes « d’une façon atroce et insensée » dans la ville d’Uvalde, a déclaré le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott.
Identifié comme Salvador Ramos, il est lui aussi décédé dans cette tuerie qui a touché la commune située à environ 130 kilomètres à l’ouest de San Antonio. Il a été tué par la police, ont indiqué des responsables du département texan de la sécurité publique, ajoutant que deux adultes sont également morts dans l’attaque, dont un enseignant.
Le tireur portait au moins un fusil et une tenue paramilitaire, a précisé le sergent Erick Estrada sur la chaîne CNN.
RIP Eva Mireles
— Dhikusooka Brian (@DhikusookaBrian) May 25, 2022https://t.co/cNZclCHZ16 Fourth Grade Teacher Eva Mireles died with14 children at Robb Elementary School Uvalde, Texas pic.twitter.com/urikLevHLW
Salvador Ramos, de nationalité américaine, aurait d’abord visé sa grand-mère, dont l’état de santé restait à préciser, avant de se rendre à l’école en voiture pour y perpétrer son massacre.
Les mobiles de cette attaque, l’une des pires dans une école depuis des années, restent pour l’instant inconnus.
La fusillade s’est produite à l’école primaire Robb, qui accueille des enfants âgés de moins de 10 ans à Uvalde.
Plus de 500 enfants, dont près de 90 % d’origine hispanique, étudiaient dans l’établissement pendant l’année scolaire 2020-2021, selon des données de l’État.
Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux montraient des enfants évacués en urgence, se donnant la main ou courant par petits groupes vers des bus scolaires jaunes, devant cet établissement aux bâtiments bas et plats, typiques du sud des États-Unis.
La fusillade s’est produite alors que Joe Biden était sur le chemin retour de sa tournée en Asie. Il a pris la parole le soir, dès son arrivée à la Maison Blanche. « Trop, c’est trop », s’est emportée de son côté la vice-présidente, Kamala Harris, appelant à « agir » sur le sujet des violences par armes à feu, un fléau national. « Nos cœurs continuent d’être brisés », a-t-elle déclaré. « Nous devons trouver le courage d’agir », a-t-elle ajouté à l’adresse du Congrès, impuissant à légiférer malgré les tragédies.
La Maison Blanche a par ailleurs ordonné la mise en berne des drapeaux dans tous les bâtiments publics pour « honorer les victimes » d’Uvalde.
Cette attaque a replongé le pays dans les affres des fusillades en milieu scolaire, qui se répètent fréquemment avec des images choquantes d’élèves traumatisés, obligés de se confiner dans leur classe avant d’être évacués par les forces de l’ordre et de parents paniqués cherchant désespérément à avoir des nouvelles de leurs enfants.
Le drame rappelle celui de l’école primaire de Sandy Hook, en décembre 2012 dans le Connecticut, où un déséquilibré âgé de 20 ans avait tué 26 personnes, dont vingt enfants âgés de 6 et 7 ans, avant de se suicider.
Chris Murphy, sénateur démocrate de cet État du nord-est des États-Unis, a « supplié » ses collègues élus d’agir, assurant que ces tragédies n’étaient pas « inévitables ». « Cela n’arrive que dans ce pays, et nulle part ailleurs. Dans aucun autre pays, les enfants vont à l’école en pensant qu’ils pourraient se faire tirer dessus ».
L’Amérique avait aussi été particulièrement marquée par une fusillade dans un lycée de Parkland, en Floride, qui avait fait 17 morts, dont une majorité d’adolescents, en 2018.
Cette nouvelle tuerie, d’autant plus choquante que les victimes sont des enfants, ne manquera pas de relancer les critiques sur la prolifération des armes à feu aux États-Unis, un débat qui tourne pratiquement à vide étant donné l’absence d’espoir d’une adoption par le Congrès d’une loi nationale ambitieuse sur la question.
La cheffe des démocrates au Congrès, Nancy Pelosi, a dénoncé un acte « monstrueux qui a volé l’avenir de chers enfants ». « Il n’existe pas de mots pouvant décrire la douleur et l’indignation face au massacre de sang-froid de petits écoliers et d’un enseignant », a-t-elle écrit dans un communiqué.
Ce mercredi matin, Emmanuel Macron a indiqué que la France partage le « choc et la peine du peuple américain » ainsi que la « colère » de ceux qui s’opposent à la prolifération des armes à feu aux États-Unis. « 19 victimes n’avaient pas plus de 10 ans. Dans leur école au Texas, des enfants et enseignants ont été lâchement assassinés. Le choc et la peine du peuple américain, la colère de ceux qui luttent pour mettre fin aux violences, nous les partageons », a écrit le président de la République sur Twitter.
19 victimes n’avaient pas plus de 10 ans. Dans leur école au Texas, des enfants et enseignants ont été lâchement assassinés. Le choc et la peine du peuple américain, la colère de ceux qui luttent pour mettre fin aux violences, nous les partageons.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 25, 2022
Source : Le Télégramme
par Thierry Meyssan
La guerre en Ukraine est un trompe l’oeil. Derrière les apparences de l’unité de l’Otan et de sa consolidation par de nouveaux adhérents, plusieurs gros joueurs ménagent la chèvre et le chou. En réalité tous ceux qui ne sont pas aveuglés par leur propre propagande savent que leur camp va perdre et qu’il planifie déjà d’autres ennemis sur d’autres champs de bataille. Washington fait contre mauvaise fortune bon cœur et utilise la pression russe pour serrer les rangs.
Cet article fait suite à :
1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
10 « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
13 « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
Sur le devant de la scène, l’Otan assure avoir été renforcée par la « folie de Poutine ». L’Ukraine, puissamment armée par les Occidentaux, mène une contre-offensive et repousse l’« envahisseur ». Au plan international, les sanctions portent leur fruit. La Finlande et la Suède, se sentant menacées, ont décidé d’adhérer à l’Alliance atlantique. Bientôt les Russes renverseront le « dictateur » du Kremlin.
Cette magnifique narration est contredite par les faits : seul un tiers environ des armes occidentales parviennent au front. Mais l’armée ukrainienne est épuisée. Presque partout elle recule et quelques exploits ne changent rien au tableau global. Les deux tiers des armes occidentales, notamment les plus lourdes, sont déjà disponibles au marché noir dans les Balkans, particulièrement au Kosovo et en Albanie devenus les principales places du trafic en la matière. Les sanctions occidentales font peser un risque de famine, non pas en Russie, mais dans le reste du monde et particulièrement en Afrique. La Turquie et la Croatie s’opposent à l’adhésion de nouveaux membres dans l’Otan. Il est possible de les convaincre, mais au prix de changements politiques radicaux auxquels les Occidentaux se sont toujours opposés.
Même si la Russie aura la sagesse de célébrer trop fort sa victoire, comme elle a su le faire en Syrie, celle-ci apparaîtra comme l’échec de la plus grande force militaire de l’Histoire, l’Otan. Une victoire sans appel puisque l’Alliance atlantique s’est physiquement impliquée dans le combat, tandis qu’elle se tenait alentour des champs de bataille en Syrie. De nombreux États vassaux de Washington vont tenter de s’affranchir. Il est probable que leurs dirigeants civils resteront mentalement tournés vers l’Occident, tandis que leur chefs militaires se tourneront plus rapidement vers Moscou et Beijing. Dans les années à venir, les cartes seront redistribuées. Il ne s’agira pas de passer d’un alignement sur Washington à un autre alignement sur les nouveaux vainqueurs, mais de créer un monde multipolaire où chacun sera responsable de lui-même. Ce qui se joue, ce n’est pas une redéfinition des zones d’influence, mais la fin de la mentalité établissant une hiérarchie entre les peuples.
De ce point de vue prospectif, il est fascinant d’observer la rhétorique occidentale. Quantité d’experts de l’ancien monde expliquent que la Russie veut reconstruire son empire. Ils assurent qu’elle a déjà reconquis l’Ossétie et la Crimée et attaque aujourd’hui le Donbass. Ils reconstruisent l’histoire, citations falsifiées du président Poutine à l’appui. Tous ceux qui étudient la Russie contemporaine et vérifient les données savent que c’est faux. L’adhésion de la Crimée à la Fédération de Russie et celles à venir de l’Ossétie, du Donbass et de la Transnistrie n’ont rien à voir avec un empire, mais avec la reconstitution de la nation russe, démembrée au cours de l’effondrement de l’Union soviétique.
Dans ce contexte, une petite partie des dirigeants occidentaux commence à contester les choix de leur suzerain états-unien. Le même phénomène avait eu lieu durant un trimestre, à la fin du mandat du président français Nicolas Sarkozy. Celui-ci voyant le désastre humain qu’il avait contribué à provoquer en Libye et son échec en Syrie avait accepté de négocier une paix séparée avec Damas. Cependant Washington, furieux de son indépendance, organisa sa défaite électorale au profit de François Hollande. Dans les jours suivant son accession à l’Élysée, ce dernier relança la machine de guerre occidentale pour une décennie. C’est précisément à ce moment-là que la Russie s’est engagée à intervenir en Syrie. Durant deux ans elle a fini de mettre au point de nouvelles armes, puis est venue combattre les jihadistes armés par les Occidentaux et dirigés par l’Otan depuis son Allied Land Command en Turquie.
Si les mots d’ordre de l’Otan ont triomphé dans la presse occidentale, nos études sur l’histoire, l’importance et la place des bandéristes dans l’Ukraine contemporaine ont largement circulé dans les milieux dirigeants du monde entier. De nombreux « alliés » de Washington refusent désormais de soutenir ces « Ukrainiens » qu’ils savent néo-nazis. Ils considèrent que, dans ce combat, c’est la Russie qui a raison. Déjà l’Allemagne, la France et l’Italie ont autorisé certains membres de leur gouvernement à discuter avec la Russie sans que cela ne change la politique officielle de leur pays. Au moins ces trois membres de l’Alliance atlantique mènent avec prudence un double jeu. Si les choses tournent mal pour l’Otan, ils seront les premiers à retourner leur veste.
Identiquement le Saint-Siège, qui a failli prêcher une nouvelle croisade contre la « Troisième Rome » (Moscou) et a diffusé des photographies du pape priant avec des épouses de bandéristes du régiment Azov, a également pris contact non seulement avec le patriarche Cyril, mais aussi avec le Kremlin.
Tous ces contacts, aussi discrets soient-ils, insupportent Washington qui essaye déjà de faire écarter les émissaires secrets. Mais précisément, le fait d’être officiellement limogés donne plus de latitude à ces émissaires pour négocier. L’important est qu’ils puissent rendre compte à qui de droit de ce qu’ils font. Il s’agit là d’un jeu dangereux comme le prouve la défaite électorale du président Sarkozy lorsqu’il tenta de s’affranchir de son sponsor états-unien.
Essayons de prendre un peu de distance avec les événements et de voir comment ils pourraient évoluer.
Pour que la Turquie et la Croatie acceptent l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan, il faudrait que l’Otan souscrive à leurs conditions. Celles-ci sont pour la Turquie (1) l’inscription du PKK et de l’Hizmet (Fethullah Gülen) sur les listes d’organisation terroristes, l’arrestation et l’extradition de leurs membres (2) le rétablissement de son industrie d’armement dans le programme de fabrication des F-35, et pour la Croatie (3), le changement des lois électorales en Bosnie-Herzégovine afin d’accorder l’égalité politique à sa minorité croate.
Le PKK ne représente pas les Kurdes en général, mais uniquement certains d’entre eux. Il s’agissait au départ d’un parti marxiste-léniniste combattant la dictature militaire turque durant la Guerre froide. Puis, après l’arrestation de son chef et la dissolution de l’URSS, il a changé de camp pour devenir un parti libertaire au service du Pentagone au Moyen-Orient. Aujourd’hui, c’est une milice mercenaire qui sert de couverture à l’occupation US en Syrie. Le considérer comme une organisation terroriste signifierait évacuer les GI de Syrie et restituer les puits de pétrole à Damas.
Fethullah Gülen est le père spirituel d’une vaste organisation caritative, présente dans de nombreux pays. L’extrader des États-Unis et considérer son organisation comme terroriste priverait la CIA de relais dans de nombreux pays africains et asiatiques turcophones. Cela ne pourrait se concevoir pour Washington que si l’AfriCom était déployé sur le continent Africain au lieu d’être exilé en Allemagne. Des négociations sont en cours pour l’établir au Somaliland, qui deviendrait un État internationalement reconnu.
Compte tenu de la longue série d’attentats que le PKK a perpétrée en Turquie et de la tentative d’assassinat du président Erdoğan suivie de la tentative de coup d’État en juillet 2016 dans lequel le Hizmet a joué un rôle central pour le compte de la CIA, Ankara est légitime dans ses demandes.
Le rétablissement de la Turquie parmi les nations fabriquant le F-35 ne coûte rien, mais sa radiation était une sanction face à l’achat par l’armée turque des armes antiaériennes russes S400. Donner satisfaction à Ankara pour élargir l’Otan face à la Russie serait pour le moins contradictoire et illisible. En outre faire fabriquer des F-35 par une puissance qui ne s’est pas gênée pour en critiquer la prétendue qualité peut aussi s’avérer gênant.
La Bosnie-Herzégovine a été créé par les Straussiens (Richard Perle n’était pas membre de la délégation états-unienne, mais bosniaque, aux accords de Dayton). Elle a été imaginée comme une entité homogène conformément à la pensée des Straussiens. La minorité croate (15 % de la population) y a donc été ostracisée. Leur langue n’est pas reconnue et ils ne disposent pas de représentants politiques. Accéder à la demande que la Croatie formule en leur nom signifierait remettre en cause les raisons pour lesquelles les Straussiens ont organisé les guerres de Yougoslavie (séparer les ethnies et créer des populations homogènes). Or, ce sont les Straussiens qui sont à la manœuvre en Ukraine.
À supposer que ces trois conditions soient remplies ou que les dirigeants politiques qui les ont formulées soient renversés, l’élargissement de l’Alliance atlantique à la Finlande et à la Suède confirmerait le changement de nature de l’Otan. Il ne s’agirait plus du tout d’une structure visant à stabiliser la région de l’Atlantique-Nord ainsi que le stipule le Traité, ce qui avait conduit, en 1995, le président Boris Eltsine à envisager sérieusement d’y faire adhérer son pays. L’Otan achèverait sa mutation en une administration militaire US de son empire occidental.
Observons maintenant les conséquences réelles des sanctions occidentales. Les mesures d’exclusion de la Russie du système financier international ne l’atteignent pas. Elle continue à importer et à exporter autant que de besoin, mais elle est contrainte de changer de fournisseurs et de clients. Elle met rapidement en place l’équivalent du SWIFT avec les Brics (l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine et l’Inde) mais elle ne peut plus commercer directement avec le reste du monde. D’ores et déjà, il est impossible d’acheter des engrais à base de potasse en Afrique. En effet, la Russie et la Biélorussie en sont les principaux exportateurs. Une famine se prépare. Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a déjà sonné l’alarme. Il demande que les Occidentaux admettent une exemption à leur embargo pour ce qui concerne les engrais à base de potasse.
Dans le cas le plus probable, celui selon lequel Washington ne changera rien à sa politique, la famine suscitera de nouvelles guerres et de vastes migrations vers l’Union européenne.
Il est pour le moins surprenant qu’après la chute de Marioupol, les États-Unis aient eu la volonté d’envoyer pour 40 milliards de dollars supplémentaires en Ukraine où ils en avaient déjà perdu pour 14 autres milliards de dollars. En réalité les deux tiers ne sont jamais parvenues à destination. Ces sommes ont été détournée. Bientôt pour environ 18 milliards de dollars d’armes seront disponibles au Kosovo et en Albanie. Soit l’on considère que le Pentagone jette l’argent par les fenêtres, soit qu’il investit en soustrayant ce gigantesque arsenal aux yeux du Congrès.
La sous-secrétaire d’État US aux Affaires politiques, la Straussienne Victoria Nuland, s’est donc rendue au Maroc, le 11 mai, pour présider une réunion de la Coalition globale contre Daesh. 85 États y participaient au niveau de leurs ministres des Affaires étrangères. Comme prévisible, Madame Nuland a dénoncé la reformation de Daesh, non plus au Moyen-Orient, mais au Sahel. Elle a invité tous les participants à se joindre aux USA pour combattre cet ennemi. Cependant chacun ayant constaté en Iraq et en Syrie le soutien massif du Pentagone aux jihadistes, tous les diplomates présents ont bien compris que l’orage ne tarderait pas à éclater. Il manquait des armes et le Pentagone ne souhaite pas se retrouver pris sur la fait d’en livrer à nouveau aux jihadistes. Il lui faudra juste les faire acheminer depuis les Balkans où elles attendent leurs utilisateurs finaux encore dans leurs caisses.
Une guerre au Sahel ne posera aucun problème : elle épargnera les grandes puissances et ne fera que des victimes africaines. Elle durera le temps qu’on l’alimentera et aucun allié ne se permettra de remarquer que ce conflit n’existe que depuis qu’ils ont envahi et détruit la Libye. Tout pourra continuer comme avant : pour une partie de l’humanité, le monde restera unipolaire avec Washington pour centre.
Source : Voltairenet.org
[Source : FraudWatchFrance]
De 00:00 à 4:12 – La fraude électorale institutionnelle ou la question des inscrits en surnombre et des fausses statistiques de l’INSEE. Des contrefeux et autres explications fantasques fournies par le régime qui ne résistent pas à une analyse statistique sérieuse pour laquelle la constitution d’un réservoir de 10 millions de voix frauduleuses devient très probable.
De 4:12 à 4:40 – Une démonstration par l’exemple avec la commune de Jean Lassalle où il y a plus d’inscrits que de citoyens français majeurs.
De 4:40 à 11:06 – Complicité dans le crime de haute trahison perpétré par les représentants de l’INSEE, du Ministère de l’Intérieur et du Conseil Constitutionnel. Leur nécessité de toujours frauder plus pour compenser le rejet massif par la population des candidats qui lui sont imposés par le régime.
De 11:06 à 16:36 – Les parades que les institutions ont déployées pour ne pas être démasquées et les preuves que nous mettons à disposition de tous.
De 12:48 à 14:09 – Un piège tendu à ceux qui doutent honnêtement ou l’arnaque Ariel Weil à Paris, ce représentant de l’agence de notation bancaire Moody’s qui a produit des évaluations frauduleuses à l’origine de la crise des Subprimes en 2008 !
De 16:36 à 20:40 – La nécessité de s’organiser pour ouvrir la boîte de Pandore.
De 20:40 à 25:39 – Le rôle objectif d’une ingénierie sociale qui ne parvient plus à masquer la fraude institutionnelle.
De 25:39 à 27:55 – La corruption des élus et l’avertissement aimable que nous leur lançons.
De 27:55 à 45:19 – Un aspect important que nous relevons mais qui n’est pas nécessaire à notre démonstration: le symbolisme par le délire numérologique ou comment le régime signe son crime et affiche son mépris envers la population (rendant ainsi ses chiffres surréalistes encore moins crédibles).
De 45:19 à 47:31 – Ce n’est pas nous qui le disons, ils s’en chargent eux-mêmes ! Ou la démonstration très inspirée de madame Christine Lagarde alors à la tête du FMI.
t.me/GroupeAnonyme
t.me/FraudWatchFrance
t.me/TintinInWonderland
Twitter: @FraudWatchFR
Source : Nouveau monde
Pfizer dit à un juge fédéral que Pfizer est propriétaire du gouvernement fédéral et qu’il est ainsi immunisé contre le droit normal des contrats
Paul Craig Roberts
Pfizer affirme que l’accord qu’elle a conclu avec Washington dans le cadre de la rubrique « Other Transaction Authority » lui permet de violer les règlements relatifs aux essais cliniques et les lois fédérales protégeant le public.
En d’autres termes, Pfizer a le pouvoir légal de commettre des fraudes qui tuent des gens.
Comme je l’ai expliqué à de nombreuses reprises, le gouvernement américain est privatisé. Il est dirigé par des intérêts privés dont les représentants se retrouvent au sein de la SEC, de la FDA, de l’EPA, de la Réserve fédérale et de toutes les autres agences de régulation. Comme George Stigler l’a clairement indiqué il y a 60 ans, les agences de réglementation américaines sont capturées par les industries qu’elles sont censées réglementer. Le pouvoir des intérêts privés vient également du fait que les intérêts privés sont les financeurs des campagnes politiques. Chaque élu – Chambre, Sénat, Président – et chaque fonctionnaire d’État et local sait qu’il/elle est en poste grâce aux contributions de la campagne. Cela signifie que les élus sont responsables devant leurs donateurs, et non devant les électeurs. Le pouvoir des intérêts privés a été renforcé par la décision de la Cour suprême des États-Unis qui a donné une capacité essentiellement illimitée aux sociétés d’acheter le gouvernement pour servir leurs intérêts.
Telle est la véritable image des États-Unis d’aujourd’hui. Les États-Unis sont un pays qui ne peut servir que des intérêts privés, jamais l’intérêt public, lui-même difficile à définir dans un pays où la politique identitaire est omniprésente.
Dans l’Amérique d’aujourd’hui, l’intérêt public est « l’intérêt de qui » ? Le multiculturalisme ne peut jamais aboutir à un intérêt uni. Aujourd’hui, il existe une multitude d’intérêts qui tentent de tout avoir tout en supprimant d’autres intérêts. Les féministes, autrefois une force puissante, sont en train de perdre face aux « transgenres ». Même les anciennes héroïnes féministes sont maintenant annulées et déplacées. Les Américains blancs, qualifiés de « racistes aversifs », ont perdu au profit des Noirs qui se sont vus accorder des préférences juridiques, violant ainsi le 14e amendement de la Constitution américaine qui a été adopté dans le but explicite d’établir l’égale protection de la loi. Les hétérosexuels autrefois sains d’esprit répondent désormais aux homosexuels autrefois criminels et doivent suivre une « formation à la sensibilité » pour apprendre la déférence envers les homosexuels, les minorités préférées et les demandeurs transsexuels. Aujourd’hui, la discrimination s’exerce à l’encontre de l’homme hétérosexuel blanc qui est qualifié de « terroriste national » s’il ne se joint pas à la persécution des hommes hétérosexuels blancs et ne vote pas pour Donald Trump. Le parti démocrate américain a défini son rival, le parti républicain, comme le parti des suprémacistes blancs, le parti des « déplorables de Trump ».
La société qui existe aujourd’hui aux États-Unis est tellement divisée qu’elle ne constitue plus un pays. Il n’existe AUCUNE CROYANCE OU PRINCIPE UNIFIÉ. Les États-Unis sont devenus une tour de Babel, et les Américains ne sont pas conscients de qui leur a apporté cette affliction et de l’effondrement sociétal qu’elle entraîne.
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Source : Paul Craig Roberts
Par Edward CURTIN. Commentaires
Source »» https://reseauinternational.net/les-subtilites-de-la-rhetorique-gauchi…
Le fait déconcertant est que de nombreux intellectuels de gogauche « respectés » (sic) sont en réalité les gardiens de l’empire. Opposition contrôlée. Chez de telles personnes, l’anticommunisme est profond et des demi-vérités sont habilement brandies pour prétendre à une impartialité élevée.
Chomsky : Maître de la demi-vérité (pendant 40 ans dans les rangs de la gauche opportuniste et réformiste. NDÉ). Il blâme et sauve souvent l’empire dans un même souffle. «Un fléau sur vos deux maisons» – tel que pratiqué par lui et d’autres personnes de stature publique (bourgeoise) similaire – reste une posture sournoise, typique des libéraux, (des Bobos gauchisants et autres chiendents NDÉ) et non des véritables anti-impérialistes.
Alors que les médias dits libéraux et conservateurs – tous à la solde des agences de renseignement – déversent la propagande la plus flagrante sur la Russie et l’Ukraine, si évidente qu’elle en deviendrait comique si elle n’était pas si dangereuse, les connaisseurs autoproclamés ingèrent également des messages plus subtils, souvent issus des médias alternatifs (le prolétariat nous en préserve. ).
Une femme que je connais et qui est au courant de mes analyses sociologiques de la propagande m’a contacté pour me dire qu’il y avait un excellent article sur la guerre en Ukraine dans The Intercept, une publication en ligne financée par le milliardaire Pierre Omidyar que je considère depuis longtemps comme un exemple majeur de reportage trompeur où la vérité est mélangée à des mensonges pour véhiculer un récit « libéral » qui soutient fondamentalement les élites dirigeantes tout en semblant les combattre. Cela n’a rien de nouveau, bien sûr, puisque c’est le modus operandi de tous les médias institutionnels, chacun à sa manière idéologique et malhonnête, comme le New York Times, CBS, le Washington Post, le New York Daily News, Fox News, CNN, NBC, etc. depuis très longtemps (il n’est jamais trop tard pour se réveiller. NDÉ).
Néanmoins, par respect pour son jugement et sachant combien elle se sent profondément concernée par toutes les personnes qui souffrent, j’ai lu l’article. Écrit par Alice Speri, son titre semblait ambigu – «La gauche en Europe fait face à la résurgence de l’OTAN après l’invasion de l’Ukraine par la Russie» – jusqu’à ce que je voie le sous-titre qui commence par ces mots : «L’invasion brutale de la Russie complique…» Mais j’ai continué à lire. Au quatrième paragraphe, il est devenu clair où cet article voulait en venir. Speri écrit que «En Ukraine, par contraste [avec l’Irak], c’était la Russie qui avait organisé une invasion illégale et non provoquée, et le soutien à l’Ukraine par les États-Unis était considéré par beaucoup comme crucial pour éviter des atrocités encore pires que celles que l’armée russe avait déjà commises.»
Alors qu’il s’agit ostensiblement de militants européens anti-guerre et anti-OTAN pris dans un dilemme, l’article poursuit en affirmant que si les États-Unis et l’OTAN se sont rendus coupables d’une expansion injustifiée pendant de nombreuses années, la Russie a été un agresseur en Ukraine et en Géorgie et est coupable de terribles crimes de guerre, etc.
Il n’y a pas un mot sur le coup d’État fomenté par les États-Unis en 2014, ni sur les mercenaires soutenus par la CIA et le Pentagone en Ukraine, ni sur leur soutien au bataillon néonazi Azov et aux années d’attaques de l’Ukraine dans le Donbass où plusieurs milliers de personnes ont été tuées. On suppose que ces actions ne sont pas criminelles ou ne sont pas des provocations. Et il y a ceci :
« La réponse hésitante des militants pacifistes européens est à la fois le reflet d’une invasion brutale et non provoquée qui a stupéfié le monde (sic) et celui d’un mouvement anti-guerre qui s’est réduit et marginalisé au fil des ans. La gauche, tant en Europe qu’aux États-Unis, a eu du mal à répondre à une vague de soutien à l’Ukraine qui va à l’encontre des efforts déployés depuis des décennies pour libérer l’Europe d’une alliance militaire dirigée par les États-Unis. »
En d’autres termes, l’article, couché dans une rhétorique anti-guerre, était une propagande anti-Russie. Lorsque j’ai fait part de mon analyse à mon amie, elle a refusé d’en discuter et s’est mise en colère contre moi, comme si j’étais donc un partisan de la guerre. J’ai constaté que c’est une réaction courante. (En effet, l’auteur est un partisan de la guerre réactionnaire – du côté russo-chinois du conflit – alors que d’autres bobos opportunistes sont favorables au côté USA-OTAN de la force. NDÉ).
Les gens passent si souvent à côté des contre-vérités contenues dans des articles qui sont en grande partie véridiques et exacts. Je le remarque constamment. Elles sont comme de petites graines glissées dans l’article en espérant que personne ne s’en rende compte ; elles opèrent leur magie presque inconsciemment. Peu de gens les remarquent, car elles sont souvent imperceptibles. Mais elles ont leurs effets, sont cumulatives et sont bien plus puissantes au fil du temps que les déclarations fracassantes qui rebuteront les gens, surtout ceux qui pensent que la propagande ne fonctionne pas sur eux. C’est le pouvoir d’une propagande réussie, qu’elle soit intentionnelle ou non. Elle fonctionne particulièrement bien sur les personnes « intellectuelles » et très éduquées.
Par exemple, dans une interview récente, Noam Chomsky, après avoir été présenté comme un Galilée, un Newton et un Descartes des temps modernes, parle de la propagande, de son histoire, de Edward Bernays, de Walter Lippman, etc. Ce qu’il dit est historiquement exact et instructif pour quiconque ne connaît pas cette histoire. Il parle avec sagesse de la propagande des médias étasuniens concernant leur guerre non provoquée contre l’Irak et il qualifie avec précision la guerre en Ukraine de « provoquée ». Et ensuite, concernant la guerre en Ukraine, il lâche cette déclaration surprenante :
« Je ne pense pas qu’il y ait des « mensonges significatifs » dans les reportages de guerre. Les médias américains font généralement un travail très honorable en rapportant les crimes russes en Ukraine (sic). C’est précieux, tout comme il est précieux que des enquêtes internationales soient en cours en vue d’éventuels procès pour crimes de guerre. »
En l’espace d’un battement de cil, Chomsky dit quelque chose de si incroyablement faux qu’à moins de le considérer comme un Galilée des temps modernes, ce que beaucoup font, cela peut passer pour vrai et vous passerez sans problème au paragraphe suivant. Pourtant, c’est une déclaration si fausse qu’elle en devient risible. La propagande médiatique concernant les événements en Ukraine a été si manifestement fausse et ridicule qu’un lecteur attentif s’arrêtera tout de suite et pensera : est-ce qu’il vient de dire ça ?
Chomsky considère donc maintenant que les médias, tels que le New York Times et ses semblables, qu’il a correctement fustigés pour avoir fait de la propagande pour les États-Unis en Irak et au Timor oriental, pour ne citer que deux exemples, font « un travail très honorable en rapportant les crimes russes en Ukraine », comme si, soudain, ils n’étaient plus les porte-parole de la CIA et de la désinformation étasunienne. Et il dit cela alors que nous sommes au milieu du plus grand blitz de propagande depuis la Première Guerre mondiale, avec sa censure, son Disinformation Governance Board (conseil de gouvernance de la désinformation) traquant les dissidents, qui frôlent la parodie de 1984 de Orwell.
Il est encore plus malin lorsqu’il affirme avec désinvolture que les médias font du bon travail en rapportant les crimes de guerre de la Russie, alors qu’il a déjà dit ceci à propos de la propagande :
« Ainsi, ça continue. En particulier dans les sociétés plus libres, (sic) où les moyens de violence de l’État ont été limités par l’activisme populaire, il est très important de concevoir des méthodes de fabrication du consentement et de s’assurer qu’elles sont bien assimilées, devenant aussi invisibles que l’air que nous respirons, notamment dans les cercles éduqués et structurés. L’imposition de mythes de guerre est une caractéristique régulière de ces entreprises. » (Ajoutons que le fascisme est l’accomplissement de la démocratie bourgeoise sous le totalitarisme et le militarisme. NDÉ).
C’est tout simplement magistral. Expliquer comment la propagande atteint les sommets et comment s’y opposer, puis en glisser un soupçon dans son analyse. Et pendant qu’il y est, Chomsky s’assure de faire l’éloge de Chris Hedges, l’un de ses disciples, qui a lui-même récemment écrit un article – “ L’âge de l’auto-illusion ” – qui contient également des points valables faisant appel à ceux qui en ont assez des guerres, mais qui aussi contient les mots suivants :
« Le revanchisme de Poutine est égalé par le nôtre. La désorganisation, l’inaptitude et le moral bas des conscrits de l’armée russe, ainsi que les échecs répétés du haut commandement russe en matière de renseignement, apparemment convaincu que la Russie écraserait l’Ukraine en quelques jours, révèlent le mensonge selon lequel la Russie est une menace mondiale. « L’ours russe s’est effectivement dégonflé », écrit l’historien Andrew Bacevich. Mais ce n’est pas une vérité que les faiseurs de guerre transmettent au public. La Russie doit être gonflée pour devenir une menace mondiale, malgré neuf semaines d’échecs militaires humiliants. »
Le revanchisme de la Russie ? Où ? Revanchisme ? Pour récupérer quel territoire perdu les États-Unis ont-ils jamais fait la guerre ? L’Irak, la Syrie, Cuba, le Vietnam, la Yougoslavie, etc. ? L’histoire des États-Unis n’est pas une histoire de revanchisme mais de conquête impériale, de saisie ou de contrôle de territoire, tandis que la guerre de la Russie en Ukraine est clairement un acte d’autodéfense après des années de provocations et de menaces EU/OTAN/Ukraine, ce que Hedges reconnaît. « Neuf semaines d’échecs militaires humiliants » ? – alors qu’ils contrôlent une grande partie de l’est et du sud de l’Ukraine, y compris le Donbass. Mais son faux message est subtilement tissé, comme celui de Chomsky, dans des phrases qui sont vraies.
« Mais ce n’est pas une vérité que les faiseurs de guerre communiquent au public. » Non, c’est exactement ce que les médias porte-parole des faiseurs de guerre – c’est-à-dire le New York Times (l’ancien employeur de Hedges, qu’il ne manque jamais de mentionner et pour qui il a couvert la destruction sauvage de la Yougoslavie par l’administration Clinton), CNN, Fox News, le Washington Post, le New York Post, communiquent chaque jour au public pour leurs maîtres. Des gros titres qui disent comment la Russie, tout en commettant des crimes de guerre quotidiens, échoue dans ses objectifs de guerre et que le héros mythique Zelensky mène les Ukrainiens à la victoire. Des propos selon lesquels « l’ours russe s’est effectivement dégonflé » présentés comme des faits.
Oui, ils gonflent le mythe du monstre russe, pour ensuite le percer avec le mythe de David battant Goliath.
Mais étant dans le domaine des jeux d’esprit (trop de cohérence conduit à la clarté et trahit le jeu), on peut s’attendre à ce qu’ils brouillent leurs messages de manière continue pour servir l’agenda étasunien en Ukraine et poursuivre l’expansion de l’OTAN dans la guerre non déclarée avec la Russie, pour laquelle le peuple ukrainien sera sacrifié. Orwell l’a appelé « double pensée » :
« La double pensée est au cœur même de l’Ingsoc, puisque l’acte essentiel du Parti est de recourir à la tromperie consciente tout en conservant la fermeté d’intention qui va de pair avec une honnêteté totale. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tout fait devenu gênant, puis, lorsque cela devient nécessaire, le tirer de l’oubli juste le temps qu’il faut, nier l’existence de la réalité objective et, en même temps, tenir compte de la réalité que l’on nie – tout cela est indispensable… avec le mensonge toujours en avance sur la vérité. »
Révélant tout en dissimulant et en injectant des inoculations de contre-vérités qui n’obtiendront qu’une attention superficielle de la part de leurs lecteurs, les écrivains mentionnés ici et d’autres ont un grand attrait pour l’intelligentsia de gauche. Pour des gens qui vénèrent fondamentalement ceux qu’ils ont investis d’infaillibilité et de génie, il est très difficile de lire attentivement des phrases et de déceler l’arnaque. Le subterfuge est souvent très habile et fait appel au sentiment d’indignation des lecteurs face à ce qui s’est passé dans le passé – par exemple, les mensonges de l’administration de George W. Bush sur les armes de destruction massive en Irak.
Chomsky, bien sûr, est le chef de la meute, et ses disciples sont légion, y compris Hedges. Depuis des décennies, ils évitent ou soutiennent les versions officielles des assassinats de JFK et RFK, des attentats du 11 septembre 2001 qui ont directement conduit à la guerre contre le terrorisme et à tant de guerres d’agression, et de la récente propagande Covid-19 avec ses verrouillages (ses confinements déments et meurtriers. NDÉ) et ses répressions dévastatrices des libertés civiles. Ils sont loin d’être des amnésiques historiques, bien sûr, mais considèrent manifestement que ces événements fondateurs n’ont aucune importance, car sinon ils les auraient abordés. Si vous attendez d’eux des explications, vous attendrez longtemps.
Dans un article récent – “ How the organized Left got Covid wrong, learned to love Lockdowns and lost its Mind : an Autopsy ” – Christian Parenti écrit ceci à propos de Chomsky :
« La quasi-totalité de l’intelligentsia de gauche (petite bourgeoise opportuniste et réformiste NDÉ) est restée psychiquement bloquée en mars 2020. Ses membres ont applaudi la nouvelle répression de la biosécurité et traité de menteurs, d’escrocs et de fascistes tous ceux qui n’étaient pas d’accord. Généralement, ils l’ont fait sans même s’engager sur des preuves et en évitant le débat public. Parmi les plus visibles, citons Noam Chomsky, l’anarcho-syndicaliste autoproclamé qui a appelé les personnes non vaccinées à «se retirer de la société» et a suggéré que l’on devrait les laisser mourir de faim si elles refusaient de se soumettre.»
La critique de Parenti sur la réponse de la gauche (pas seulement celle de Chomsky et Hedges) au Covid s’applique également aux événements fondateurs mentionnés ci-dessus, ce qui soulève des questions plus profondes sur la pénétration de la CIA et de la NSA dans les médias en général, un sujet qui dépasse le cadre de cette analyse.
Pour ceux, comme la femme libérale qui m’a renvoyé à l’article de The Intercept, qui diraient sans doute de ce que j’ai écrit ici : Pourquoi vous en prendre aux gauchistes ? ma réponse est très simple.
Les agendas pernicieux de la droite et des néoconservateurs sont évidents ; rien n’est vraiment caché ; on peut et on doit donc s’y opposer. Mais de nombreux gauchistes servent deux maîtres et sont beaucoup plus subtils. Ostensiblement du côté des gens ordinaires et opposés à l’impérialisme et aux prédations des élites à l’intérieur et à l’extérieur du pays, ils sont souvent les auteurs d’une rhétorique séduisante qui échappe à leurs partisans. Une rhétorique qui alimente indirectement les guerres auxquelles ils prétendent s’opposer.
À notre avis le problème de la révolution populaire ne se pose pas en termes de « gauche » ou de « droite » bourgeoise mais en termes de guerre réactionnaire impérialiste et de guerre populaire révolutionnaire, dilemme que ne peut résoudre le « pacifisme gauchiste ou droitiste ».
Voici un extrait du manifeste contre la guerre impérialiste, d’une brûlante actualité, publié en février 1915 par le groupe anarchiste (dont A. Berkman, E. Goldmann, E. Malatesta, D. Nieuwenhuis), pouvant servir de plateforme minimale de classe sur la question de la guerre:
« Aussi est-il naïf et puéril, après avoir multiplié les causes et les occasions de conflits, de chercher à établir les responsabilités de tel ou tel gouvernement. Il n’y a pas de distinction possible entre les guerres offensives et les guerres défensives. (…) Aucun des belligérants n’a le droit de se réclamer de la civilisation, comme aucun n’a le droit de se déclarer en état de légitime défense. (…) Quelle que soit la forme qu’il revête, l’État n’est que l’oppression organisée au profit d’une minorité de privilégiés. Le conflit actuel illustre cela de façon frappante : toutes les formes de l’État se trouvent engagées dans la guerre présente: l’absolutisme avec la Russie, l’absolutisme mitigé de parlementarisme avec l’Allemagne, l’État régnant sur des peuples de races bien différentes avec l’Autriche, le régime démocratique constitutionnel avec l’Angleterre, et le régime démocratique républicain avec la France. (…) Le rôle des anarchistes (des Révolutionnaires NDA), quels que soient l’endroit ou la situation dans lesquels ils se trouvent, dans la tragédie actuelle, est de continuer à proclamer qu’il n’y a qu’une seule guerre de libération: celle qui, dans tous les pays, est menée par les opprimés contre les oppresseurs, par les exploités contre les exploiteurs».
En complément je vous invite à lire ceci: Contre la Guerre Impérialiste, pour la Guerre de Classe – les 7 du quebec et ceci: Faisons la guerre à la guerre réactionnaire! – les 7 du quebec et ceci: LETTRE OUVERTE CONTRE LA GUERRE IMPÉRIALISTE – les 7 du quebec et ceci: 5 QUESTIONS POUR COMPRENDRE JUSQU’OÙ IRA LA GUERRE EN UKRAINE – les 7 du quebec et ceci: Guerre en Ukraine pour une pose dans la mondialisation – les 7 du quebec
Mon ami, Éric, me dit qu’il est en route pour le Grand Rassemblement à Ottawa, le 29 Janvier, 2022. Les Cow-Boys de la route ouvrent la voie aux retours aux bons sens. Les OUTSIDERS, déconnectés de RADIO CANADA, prennent les choses en main appuiés par la classe moyenne qui diminue et les pauvres qui ont doublés depuis l’élection de Trudeau. Environ cent vingt milles camions lourds sont en route de PARTOUT au Canada et convergent vers l’entonnoir, la ville unilingue, la capitale du DOMINION du Canada.
Après la Grande Vague Grise du temps de Mulroney quand il a essayé de diminuer nos pensions, voici que l’histoire se répète. Un million de contestataires réclament LA LIBERTÉ! ON le sait, Trudeau. Tes chiffres mentent ! Et on va le prouver. Le FAKE NEWS de RADIO CANADA, que Trudeau contrôle, c’est fini ! Une nouvelle aire commence le 29 janvier. Vous en faites parti ? Pourquoi pas?
Fini les masques, les vaccins, la folie furieuse d’une fausse pandémie ! Le vrai score c’est 1 à 0 pour le peuple contre Trudeau qui n’a eu que 23% du vote aux dernières élections. Pour qui se prend-t-il pour nous garder enchaînés derrière une remorque chargée, mais sans roux.
On veut AVANCER vers un avenir éblouissant sans restrictions débiles, une vraie démocratie. Qui est pour?
Moi, Éric.
John Mallette
Le Poète Prolétaire
Quel exploit ! En une semaine, la variole du singe a réussi à chasser de la une des journaux la guerre en Ukraine , la grippe covid et l’effondrement économique en cours. Parce que l’alerte est sérieuse et qu’il faut s’inquiéter de cette nouvelle menace infectieuse ? Je suis évidemment d’un avis contraire : comme tous ses prédécesseurs, ce nouveau péril viral est une baudruche appelée à se dégonfler quand les virocrates paniquards et les médias de grand chemin auront fini de se faire mousser. Voici quatre raisons de roupiller sur ses deux oreilles et d’observer tranquillement ce numéro de singeries du coin de l’œil.
Je présume que vous êtes au parfum : ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale » était déjà scénarisé et une première répétition des acteurs a eu lieu l’année dernière. En mars 2021, le Nuclear Threat Initiative (NTI) , en partenariat avec la Conférence sur la sécurité de Munich, a en effet procédé à une simulation de pandémie de variole du singe. L’exercice prenait comme base qu’un pays africain fictif était le théâtre d’une flambée de « monkeypox » d’origine terroriste et que celle-ci s’étendait aux pays voisins avant de déferler dans le monde entier en faisant 270 millions de morts. Une variole fabriquée en laboratoire et utilisée comme arme, c’est aussi le scénario d’épouvante que Bill Gates redoute depuis des années et qui a été pris au sérieux aux États-Unis puisque ce pays a constitué un stock de 100 millions de vaccins antivarioliques. Et bien avant encore , en 2012, la Commission Européenne a financé l’édition de la bande dessinée « Infected » qui préfigurait la « crise sanitaire » de 2020 mais dont l’intrigue démarrait avec l’apparition d’un redoutable virus simien infectant les humains. Comble de tous ces hasards, l’exercice du NTI prévoyait que l’attaque bioterroriste commencerait le 15 mai 2022 et se mondialiserait avant début juin. Or justement, il y a maintenant plus de 100 cas de variole du singe rapportés par l’OMS dans une douzaine de pays occidentaux, où la maladie n’est pourtant pas endémique. Il n’en fallait évidemment pas plus pour mettre le feu à la complosphère et enflammer des lanceurs d’alerte hurlant que les « élites globalistes » sont passées à la deuxième étape d’un programme génocidaire, avec comme instrument de ce crime de masse une particule virale tripatouillée dans des labos militaires. Fantasme ou réalité ? Vous connaissez ma réticence à souscrire à ce genre d’hypothèse. Pour moi, ce qui est prévu et planifié n’est pas forcément provoqué. Les plandémistes mondialistes guettent le moindre départ de feu pour en tirer les marrons et faire avancer leur agenda de « great reset », mais ce ne sont pas nécessairement eux qui allument les incendies. Et jusqu’à preuve certaine du contraire, aucun virus artificiel n’ a jamais pu être créé ni utilisé à des fins bioterroristes ailleurs que dans des films ou des BD de science-fiction. Ce qui me paraît plus probable, c’est que les tireurs de ficelle ont accès à des outils de prévision et d’anticipation que nous ignorons. Ainsi, fin 2019, ils ont pu lancer la « psy op’ » covidienne en tablant que la saison grippale serait légèrement atypique et que l’hystérie médiatique suffirait à déclencher la panique. Et en 2022, ils pouvaient s’attendre à ce que le monkeypox s’évade d’Afrique pour s’aventurer plus au Nord. Comment font-ils pour deviner ? Je ne sais pas, moi : les éruptions solaires ? Une conjonction astrale particulière ? L’effet connu et attendu d’une pollution chimique ou de l’adjonction d’un adjuvant dans les vaccins ? Comme vous le savez aussi, Néosanté privilégie cette dernière explication possible. L’émergence de la grippe covid est clairement liée à la commercialisation de nouveaux vaccins antigrippaux et celle de la variole du singe pourrait fort bien découler de la vaccination anticovid. Sur le net, on peut trouver des images d’effets secondaires cutanés des injections expérimentales qui font furieusement penser aux pustules varioliques. Et leur surgissement dans les pays les plus vaccinés mériterait à mon sens qu’on s’interroge sur cette étrange coïncidence. Quand une prophétie épidémique se réalise, il faudrait toujours suivre la piste toxique au lieu de s’emballer pour des machinations diaboliques et des manipulations biologiques hypothétiques.
Y-a-t-il spectre plus effrayant que la variole ? Rien qu’au siècle dernier, cette maladie horrible a fait 300 millions de victimes, son taux de létalité étant estimé à 30%. Un cadavre pour trois cas avérés, c’est autre chose que le gros rhume qui a fauché mille fois moins. Certes, la version supposément transmise par le singe est moins agressive que la forme humaine. Son pouvoir létal culminerait néanmoins à 10% et avoisinerait 1% pour la variante africaine qui semble avoir pris souche en Occident. Mais ça, cette mortalité-là, c’est en Afrique ! Ici, à l’image d’Ebola, ce poxvirus n’a jamais tué personne et d’après les premiers échos, il n’est pas près de le faire. Contrairement à ce qu’a tweeté le virocrate belge Emmanuel André, il existe un traitement efficace et même sans traitement, l’affection évolue naturellement vers la guérison. Les symptômes ? Fièvre, fatigue, maux de tête et douleurs articulaires, rien de bien grave s’il n’y avait ces éruptions de boutons qui disparaissent aussi spontanément. Il n’empêche : les images de pustules purulentes impressionnent et font croire que nous avons affaire au fléau d’antan qui tuait massivement et grêlait la peau des survivants. L’épouvantail va encore effrayer les pigeons qui seront prêts à obéir à tout pour se protéger du nouvel ennemi invisible. En guise d’antidote à l’hystérie potentielle, je préconise la lecture de deux livres récemment parus en français. Dans « Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ? », le chapitre consacré à la variole raconte notamment comment deux villes anglaises ont vaincu le mal au XIXème siècle, en assainissant les quartiers les plus miséreux et en supprimant… la vaccination. Alors que la maladie tuait de moins en moins en moins, ce sont en effet les campagnes d’inoculations qui ont réveillé l’épidémie et suscité des vagues dévastatrices. Je vous conseille surtout de vous procurer « Vaccination, la grande désillusion », ouvrage dans lequel le Dr Suzanne Humphries révèle que l’incidence de la variole a toujours épousé celle de la scarlatine, cette dernière étant même plus meurtrière que sa jumelle synchronique. Les courbes épidémiques sont identiques, or il n’y a jamais eu de vaccin pour la scarlatine qui a pourtant disparu sans être médicalement éradiquée. Ce simple fait historique devrait faire prendre conscience que les vaccins ne servent à rien et que les grands fléaux de jadis se sont évaporés dès que les conditions de vie et d’hygiène se sont améliorées. En Europe et en Amérique contemporaines, la variole du singe n’aura certainement pas le même impact qu’en Afrique.
Encore plus spectaculairement que le covid, le monkeypox « occidental » démontre d’ailleurs le monopole pathogène du terrain. Il s’avère qu’une grande majorité, si pas la totalité des personnes contaminées, sont des homosexuels de sexe masculin. Ici en Belgique, c’est même une sous-catégorie très particulière d’homos qui est touchée : les 4 infectés avaient participé au festival fétichiste Darklands qui a eu lieu du 4 au 9 mai à Anvers. Si vous avez plus de 18 ans et que vous n’êtes pas vite choqué, je vous invite à visiter le site de cet événement hallucinant. Parmi les activités proposées, il y avait notamment une excursion en car à travers la cité portuaire, non pour en admirer les sites culturels, mais pour assister au spectacle d’un homme déguisé en chien et urinant sur des murs ou des réverbères. Authentique ! Ce n’est bien sûr pas l’orientation sexuelle des festivaliers que je soupçonne d’être causale, ni même leur outrances pornographiques témoignant d’une grande souffrance intérieure. Les fantasmes pervers sont des fantômes cruels forgeant leurs chaînes dans la prime enfance et les traumatismes transgénérationnels. Mais je suis ahuri par ce que l’OMS a écrit sur son site et qui a été dupliqué dans le journal Le Soir : pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui met en garde contre la discrimination et la stigmatisation, le tropisme de la variole « pour les communautés d’hommes ayant des rapports avec des hommes » serait seulement dû « au comportement positif de recherche de santé dans ce groupe démographique ». Autrement dit, il n’y a pas de cas dans la population générale parce que les homos mâles, eux, se soignent et se dépistent mieux ! Plus délirant que ça, je ne vois pas. Et bien sûr, l’organisme onusien nous prévient que les clusters gay vont s’égayer dans la nature et que tout hétéro en contact étroit avec un autre, mêmes les enfants, sont à risque de contracter le virus baladeur. Manifestement, ils nous refont le coup du sida et leur prisme idéologique les empêche de voir que la maladie est manifestement le lot des homophiles s’adonnant à une sexualité hors-normes. Est-ce vraiment un hasard si, paraît-il, les cloques varioliques fleurissent sur les zones génitales ? Selon les experts, cette localisation est fort peu ordinaire. Le sexe débridé n’est cependant qu’un cofacteur tandis que la vraie cause se cache ailleurs. Concernant le syndrome d’immunodéficience acquise, l’hypothèse toxique du Pr Duesberg penche pour le recours aux poppers et autres drogues « récréatives » par des individus qui sont aussi des noctambules invétérés et de gros consommateurs d’antibiotiques. Et pour la variole du singe ? Les mêmes causes pouvant donner des effets différents, l’anamnèse donnerait probablement des résultats semblables. Mais il doit forcément y avoir une influence comportementale ou environnementale qui passe encore inaperçue. Et si c’était le vaccin covid ? Je serais très curieux de voir s’ il y a un seul non-vaxxé parmi les variolés. Si tous ont reçu la piqûre, on tiendrait là la pièce qui manque au puzzle. Ce qui est sûr, c’est que la pathologie n’émerge visiblement pas sur n’importe quel terrain et que celui-ci est très étroit, c’est-à-dire peu fréquent et certainement pas arpenté par le tout-venant. Ce dernier peut aimer, masser et caresser en toute insouciance.
L’arrivée de la variole permet aux mêmes marioles de revenir sur les plateaux télés. En Belgique, c’est l’inénarrable Marc van Ranst qui tient le premier rôle. Vous savez, c’est ce virologue qui a involontairement fait le buzz avec une vidéo où on le voit expliquer comment manipuler les médias et terroriser les gens en début d’épidémie. Il avait réussi son coup en 2009 avec la grippe H1N1, il a récidivé avec succès avec la grippe covid, et il met encore la presse dans sa poche avec la même recette ! Cette fois, toutefois, il ne préconise plus de masquer et de confiner tout le monde et se contente de conseiller un isolement hospitalier des malades et de leurs contacts, pendant 21 jours car c’est la durée d’incubation du virus. C’est une très bonne chose, la quarantaine des seuls infectés et de leurs proches car la méthode a déjà fait ses preuves … contre la variole ! Si vous l’ignorez, la légende selon laquelle cette maladie a été éradiquée par la vaccination de masse est erronée. Comme c’est écrit en toutes lettres dans le rapport final de l’OMS et comme le raconte le biologiste Michel Georget dans son livre « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe », c’est en effet la stratégie de « surveillance-endiguement » qui a permis de mettre fin au fléau alors que les campagnes vaccinales échouaient lamentablement. Les instances sanitaires ont aussi « vacciné en anneau » l’entourage des contaminés mais il est notoire que celui-ci était rarement atteint. C’est donc bien la quarantaine systématique des malades qui a donné le coup de grâce à la variole humaine dans les années 60-70. Dans la vision pasteurienne, la victoire provient bien sûr du confinement du virus et de ses porteurs. La maladie « extrêmement contagieuse » se serait éteinte parce que l’agent infectieux ne circulait plus. Dans une autre perspective, il est beaucoup plus évident qu’un feu s’éteint quand on ne l’alimente plus en combustible. La variole s’est fait la malle parce que les derniers malades ont été coupés de leurs lieux de vie misérables et pris en charge médicalement, la médecine ne se résumant heureusement pas à l’administration de médicaments. À terrain qui progresse, épidémie qui régresse. Et à mon avis, c’est ce qui va se passer avec le monkeypox : les homos déjantés vont être plongés dans un contexte bien plus favorable à la santé et seront nécessairement sevrés de leurs assuétudes malsaines, ce qui va coïncider avec le recul des « infections ». En plaidoyer pour ma chapelle antipasteurienne, je signale ce que j’ai maintes fois souligné dans le dossier covid : il n’y a pas non plus de « patients zéro » trouvés et de chaînes de transmission identifiées pour la variole du singe, et ce dans aucun pays, ce qui est une faille colossale dans la théorie virale et une illustration claire qu’il n’y a pas de contagion, du moins pas au sens classique du terme. Quelle que soit la bonne explication, il est en tout cas très probable que la technique de « surveillance-endiguement » soit suffisante pour étouffer dans l’œuf l’épidémie. Maintenant, il ne faudrait pas que les injecteurs fous entrent dans la danse. Aux États-Unis et en France, les autorités songent déjà à vacciner à tour de bras. L’Espagne et la Grande-Bretagne ont déjà commandé leurs doses. Or même des disciples de Pasteur décommandent formellement de vacciner lors des flambées épidémiques, et contre la variole en particulier. Si vous lisez cet article récemment publié par le Dr Vincent Reliquet, vous aurez froid dans le dos et penserez sans doute, comme moi, qu’un nouveau désastre vaccinal n’est pas exclu. Ce qui est peut-être le but….
Source : Néo Santé
Adélaïde, stagiaire dans notre rédaction depuis cinq mois, a été recalée d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de son passé dans la presse “d’extrême droite”. Elle raconte ce moment. Un sommet de sectarisme.
[…]La responsable me demande de me présenter. Enthousiaste et honorée d’être là, au cœur de cette institution réputée dans le monde entier, je me lance : « Je m’appelle Adélaïde. J’ai 23 ans. Après une double licence histoire-science politique à la Sorbonne, j’ai effectué un master 1 et un master 2 de science-politique spécialisé en communication politique et institutionnelle toujours dans le même établissement. » Elle sourit et semble contente de constater que je sors de cette université parisienne. Je poursuis en évoquant longuement ma passion pour l’art et notamment le ballet. Je montre à mon interlocutrice que je connais bien les rouages de l’Opéra de Paris et que je suis quotidiennement son actualité.
[…]Camille confie m’avoir fait venir à cet entretien pour que je m’explique. « Vous pensiez vraiment qu’avec un tel CV vous pourriez être embauchée dans le monde de la culture ? », me dit-elle, sardonique, tout en me concédant une certaine forme de courage (j’aurais pu passer sous silence mes expériences dans la presse d’opinion). « On va s’arrêter là pour ne pas vous faire perdre votre temps et le mien », finit-elle par lâcher, visiblement lassée par son propre sadisme. Tout est clair : elle avait aucunement l’intention de prendre sérieusement en compte ma candidature.
Étonnée par la tournure que prend l’entretien, je lui dis posément : « Attendez Madame, avant de partir j’aimerais revenir sur un point. Tout cela est bien paradoxal. Vous prônez à juste titre la diversité et l’inclusion, mais vous fermez vos portes à une jeune femme compétente seulement parce qu’elle n’a pas les mêmes convictions politiques que celles de votre équipe et des vôtres. » Camille me répond en souriant : « Mais Madame, le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit. »
[…]
Au cours de notre entretien, Camille m’avait prévenu : « Le monde de la culture est de gauche, ne perdez pas votre temps à postuler. »
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MESSAGE
de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Président de l’Académie du Gaullisme
Le 25 Mai 2022
Mainmise des États-Unis sur lEurope
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur lEurope, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes qui « fatiguées de trop longs efforts préfèrent quon les dupe pourvu quon les repose » selon le jugement de Tocqueville .
Cette mainmise américaine sur lEurope a été conduite au nom de la démocratie, avec les fameuses révolutions de couleurs dans tous les ex satellites soviétiques dont les populations aspiraient légitimement à respirer lair de la liberté retrouvée ou dune liberté inédite.
La démocratie sest installée dans de nombreux pays de lex URSS, la Pologne, la Bulgarie , la Roumanie, les pays baltes pour ne citer que les principaux. Toutefois la démocratie revêt une dimension particulière, elle est couplée avec ladhésion à lOTAN, laquelle seffectue même avant lentrée dans lUnion européenne.
En Roumanie il est symptomatique de voir à lentrée du ministère de affaires étrangères le drapeau roumain avec lemblème de lUE et lemblème de lOTAN. La Roumanie a dailleurs adhéré à lOTAN le 29 Mars 2004 et à lUE le 1er Janvier 2007.
En Ukraine les manifestants portant des calicots «Orange » en Novembre 2014 place Maïdan dénoncent les fraudes des élections présidentielles du président pro-russe et obtiennent de nouvelles élections. Il est avéré que les manifestants ont reçu le soutien actif des Américains. Cest à cette date que lUkraine se tourne vers lOTAN et lUE et reçoit des armements et renseignements de Washington, sans oublier de nombreux conseillers.
La combativité reconnue des Ukrainiens nest pas étrangère à ces multiples aides américaines, il ny a pas de miracle, Washington a ainsi la ferme volonté davancer ses pions en Europe !
Mais avec les demandes dadhésion à lOTAN de la Finlande et de la Suède, la mainmise américaine franchit une étape décisive et les pays européens passent tous sous la tutelle de Washington.
Adieu politique étrangère indépendante, adieu défense européenne, écoutez, va-nu-pieds, loncle Sam se charge de tout et pense pour vous, cest beaucoup plus efficace que vos éternelles chamailleries…
Les États-Unis après leur débandade afghane se refont ainsi une relative crédibilité à peu de frais grâce à leurs vassaux européens qui croient dur comme fer dans lalliance avec ce puissant, qui lui pense dabord à ses intérêts politiques, militaires et économiques.
Cest le retour du bon vieux temps, lennemi rouge la Russie – est lennemi parfait , il doit être puni, affaibli puisque je vous le dis moi Oncle Sam !
Et si vous avez encore des doutes sur la mainmise américaine sur lEurope réjouissez-vous bonnes gens dapprendre que le Secrétaire général délégué de lOTAN Mircea Geoana se félicite de la victoire de la chanson ukrainienne à lEurovision …lOTAN soccupe aussi de la chansonnette … CQFD !
La France peut- elle accepter cette vassalisation ? Évidemment non ; mais Emmanuel Macron nen dit mot et hurle avec les loups. Pire il soutient la logique de guerre otanienne alors quil devrait tout mettre en uvre pour trouver une solution diplomatique, même si cela déplaît aux va-t- en-guerre qui, rêvant dune victoire militaire, contribuent à lescalade, à un engrenage qui conduisent dans le mur !
Pour la bonne compréhension du processus en cours « vassal » vient du latin médiéval « vassalus » et du latin « vassus » qui signifie … serviteur , sans commentaire !
« Ne soyez le Vassal daucune âme, ne relevez que de vous-même »
Honoré de Balzac »
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Et voilà moderna qui rentre dans la course du vaccin variole du singe.
LOL
On est reparti pour un tour#leCirqueContinuehttps://t.co/qkOnQ5LisK— Christine Cotton (@ChrisCottonStat) May 25, 2022
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Des photos du Premier ministre britannique Boris Johnson partageant un verre à Downing Street en 2020, en plein confinement, ont relancé les accusations de mensonges contre lui, juste avant la publication très attendue d’un rapport sur le « partygate ».
#BorisJohnson #Partygate #royaumeuni
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A la suite de la découverte de la Quinta Columna en matière de composition des « toxins » les alerteurs qui relayaient l’info étaient qualifiés de complotistes tant par les toubibs corrompus ou incompétents que par la presse MSM.
On est curieux de voir l’attitude que tous ces véreux vont adopter maintenant et quels seront les nouveaux éléments de langage.
Seul l’accès au résumé de l’article est publiquement disponible, l’article complet doit être demandé à l’auteur. Dans le contexte que nous vivons depuis plus d’un an et la campagne mondiale de dénigration contre les scientifiques qui ont affirmé que les vaccins Covid regorgeaient de graphène et d’oxyde de graphène, les allégations du Pr Alphandéry sont choquantes.
Dans un article intitulé Nano dimensions/adjuvants in COVID-19 vaccines, on apprend que « les vaccins proposés (sur le marché) contiennent plusieurs principes actifs vaccinaux différents (VAP), tels que le virus inactivé, l’antigène, l’ARNm et l’ADN, qui sont associés à des adjuvants standard ou à des nanomatériaux (NM) […] composés par exemple d’oxyde de graphène, de nanotubes de carbone, de micelles, d’exosomes, de vésicules membranaires, de polymères ou de NM (nanomatériaux) métalliques, en s’inspirant des nano-vaccins anticancéreux, dont les adjuvants peuvent partager certaines de leurs propriétés avec celles des vaccins viraux ».
Mais alors le professeur Alphandery viendrait apporter une information selon laquelle l’ANSM -comme elle l’indique elle-même – permet « de garantir au mieux la qualité, la sécurité et l’efficacité de leur utilisation (vaccins contre le Covid) ». Il n’est pourtant nulle part mentionné que les vaccins contre Covid contiennent de l’oxyde de graphène, pas davantage dans la composition des vaccins mentionnée par les fabricants que sont Moderna, Pfizer BioNtech, Johnson & Johnson et AstraZeneca. L’ANSM aurait-elle menti par omission ?
Le Pr Alphandéry est conseiller scientifique de la Start Up Nanobactérie. « Créée en 2008, elle est leader mondial dans le domaine des applications médicales des nanoparticules magnétiques synthétisées par les bactéries magnétotactiques, appelées les magnétosomes ». Ah, des nanoparticules magnétiques ? Ne pourraient-elles pas être à l’origine d’une réaction magnétique avec des vidéos montrant des pièces, des fourchettes et même des téléphones portables aimantés au point d’inoculation ? Le fact-checking nous dit pourtant que c’est un montage et qu’il n’y a pas de magnétisme.
A l’été 2021, les japonais ont retourné 1,6 millions de sérums anti Covid Moderna à cause de particules métalliques trouvées dans ces produits. Surement les japonais n’étaient-ils pas davantage informés de la composition des vaccins. Merci donc au Pr Alphandéry de nous avoir donné quelques confirmations – même si nous n’en avions plus besoin – puisque les vaccinations ont eu lieu sans le consentement libre et éclairé des patients. Ce qui est normal dans une dictature mais pas dans une démocratie.
Cet article valide de nombreux éléments assénés depuis plusieurs mois, voire plus d’une année :
Le Pr Alphandery aurait-il fait une boulette en publiant cet article ? S’est-il seulement rendu compte de ce qu’il dévoilait ? Sera-t-il publiquement traité de « complotiste » pour sauver la face et maintenir le postulat de la presse subventionnée : « Non, il n’y a pas d’oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer contre le Covid-19 ». Ni dans les autres bien entendu.
Source : L’Echelle de Jacob
Un milliard de personnes risquent de subir des coupures de courant en raison de la saturation des réseaux mondiaux https://t.co/tNQKoXsvrx
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 25, 2022
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« Les accusations de viol ne mettent pas en danger une place au gouvernement. On ne peut pas accepter. Les femmes ne sont plus dans une situation où elles se taisent. »
Une manifestation regroupant quelques centaines de personnes a défilé ce mardi 24 mai au soir, pour protester contre le maintien de Damien Abad ministre des Solidarités. Ce dernier est accusé de viols et violences sexuelles par deux femmes, ce qu’il conteste. Ce mercredi le parquet de Paris a annoncé ne pas ouvrir d’enquête préliminaire « en l’état ».
Journaliste : Antoine Etcheto
Montage : Antoine Etcheto
Images : Antoine Etcheto
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
L’article ABAD, DARMANIN : « L’ÈRE DE L’IMPUNITÉ EST TERMINÉE » est apparu en premier sur PLANETES360.
Deuxième épisode de “Direction Palais Bourbon”, notre module qui vous dit tout sur la campagne en vue des législatives.
Au sommaire : Emmanuel Macron et l’épreuve de feu à laquelle il soumet, tel un Néron dans les gradins d’une arène, les ministres et ex-ministres de son camp. A commencer par la Première ministre Elisabeth Borne, qui sera contrainte de démissionner en cas de défaite. Nous pensons aussi à Jean-Michel Blanquer, débarqué du ministère de l’Education nationale et qui doit gagner les législatives pour continuer d’exister politiquement. Sur le terrain, Borne et Blanquer se font chahuter. Dure dure la vie loin des tapis rouges et des lustres dorés de la République…
Qui mérite la médaille d’or du trolling politique ? Le petit parti pro-chasse LMR, le mouvement pour la ruralité, qui a réussi à présenter une Sandrine Rousseau contre LA Sandrine Rousseau écolo, candidate de la NUPES.
Jordan Bardella, président du Rassemblement national et successeur putatif de Marine Le Pen, a gaffé sur France Info. Une bourde qui s’inscrit dans une série d’instants dignes de “Malaise TV”. Des instants offerts gratuitement par les candidats RN.
Et la circonscription du jour est celle de Damien Abad, tout nouveau ministre des Solidarités venu des Républicains, et qui est d’ores et déjà sur la sellette. Accusé de viols, il était toujours au gouvernement, au moment où nous tournions.
L’article LÉGISLATIVES : GROSSE PANIQUE EN MACRONIE ! est apparu en premier sur PLANETES360.
Alors que le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne a été dévoilé ce vendredi 20 mai 2022, le casting n’en finit pas de susciter des controverses. Promotion des fidèles de la Macronie comme Gabriel Attal, renouvellement de la confiance à des ministres collectionneurs de casseroles comme le garde des Sceaux Éric Dupont-Moretti ou encore le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin…
Au-delà de la présence de nombreuses figures du quinquennat précédent, quelques nouveaux visages ont fait une apparition remarquée, qu’il s’agisse de Pap Ndiaye nommé à l’Éducation, ou encore de Damien Abad, ex-président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, pourtant accusé de violences sexuelles par deux femmes.
Pour y voir plus clair et décortiquer la composition de ce nouveau gouvernement, Théophile Kouamouo reçoit le doctorant en sociologie Paul Elek.
L’article GOUVERNEMENT MACRON/BORNE : « CE NE SONT PLUS DES CASSEROLES, C’EST UNE CUISINE ! » est apparu en premier sur PLANETES360.
Comme les mouches changent d’âne Fauci change de vecteur, il passe de la chauve-souris des grottes du fer à cheval au singe. Et a propos de cheval n’oublions pas (car je suis cavalier et propriétaire de chevaux) que les canadiens avaient bricolé il y a quelques années en laboratoire une variole du cheval.
Les scientifiques souvent criminels contre l’humanité par pure cupidité et absence totale d’éthique ou de morale humaniste.
« La VARIOLE DU SINGE existe depuis TOUJOURS et est complètement BÉNIGNE dans l’immense majorité des cas, ne nécessite aucun traitement et se guérit toute seule !!! RENSEIGNEZ-VOUS ET PAR PITIÉ NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR CETTE FOIS-CI. »
« L’infection des cas initiaux résulte d’un contact direct avec du sang, des liquides biologiques ou des lésions cutanées ou muqueuses d’animaux infectés. En Afrique, on a documenté des infections humaines à la suite de la manipulation de singes, de rats géants de Gambie et d’écureuils infectés, les rongeurs étant vraisemblablement le principal réservoir du virus. La consommation de viande d’animaux infectés et insuffisamment cuite est un facteur de contamination possible.
La transmission secondaire, c’est-à-dire interhumaine, peut résulter de contacts étroits avec des sécrétions infectées des voies respiratoires, des lésions cutanées d’un sujet infecté ou d’objets récemment contaminés par des liquides biologiques ou des matières provenant des lésions d’un patient. La transmission se produit principalement par les particules des gouttelettes respiratoires et nécessite en général un contact face à face prolongé, ce qui expose les membres de la famille des cas évolutifs à un risque infectieux plus grand. Elle peut également survenir par inoculation ou par voie placentaire (orthopoxvirose simienne congénitale). Rien ne permet à ce jour d’affirmer que la seule transmission interhumaine permette de maintenir l’orthopoxvirose simienne dans la population humaine ».
La durée d’incubation (intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes) : en général de 6 à 16 jours, peut aller de 5 à 21 jours.
La période symptomatique se divise en deux phases : la première caractérisée par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une certaine fatigue, mais aussi par la présence de ganglions enflés et volumineux sous la mâchoire et au niveau du cou.
Dans la seconde phase, qui survient dans les 1 à 3 jours (voire plus) suivant l’apparition de la fièvre, c’est la fameuse éruption cutanée. Elle émerge en une seule poussée.
La période d’éruption cutanée (dans les 1 à 3 jours suivant l’apparition de la fièvre) avec les différents stades du rash, commençant souvent par le visage puis s’étendant sur les autres parties du corps. Le visage (dans 95 % des cas), les paumes des mains et les plantes des pieds (dans 75 % des cas) sont les plus touchés.
Le rash évolue en une dizaine de jours à partir des maculo-papules (lésions à base aplatie) vers les vésicules (petites ampoules remplies de liquide), puis les pustules et enfin les croûtes. La disparition complète de ces dernières peut prendre jusqu’à trois semaines.
Le nombre des lésions varie de quelques-unes à plusieurs milliers, touchant la muqueuse buccale (dans 70 % des cas), les organes génitaux (30 %), les conjonctives (paupières) (20 %), ainsi que la cornée (globe oculaire).
L’orthopoxvirose simienne guérit en général spontanément et les symptômes durent donc de 14 à 21 jours. Les cas graves se produisent plus fréquemment chez les enfants et sont liés à l’ampleur de l’exposition au virus, au mauvais état de santé du patient et à la gravité des complications.
ATTENTION SOURCE DE CONFUSION (déjà le premier cas grec était une varicelle, cf. infra)
Diagnostics cliniques différentiels à envisager : autres maladies à éruption cutanée, comme la variole, éradiquée officiellement de la planète des laboratoires militaires en conservent vraisemblablement) la varicelle, la rougeole, les infections bactériennes cutanées, la gale, la syphilis et les allergies médicamenteuses. L’adénopathie au stade prodromique peut être un signe clinique permettant de distinguer l’orthopoxvirose simienne de la variole.[1]
Non spécialiste sur ce sujet, je ne peux que vous livrer quelques réflexions tirées de l’article de l’AIMSIB dans lequel nos collègues le Dr Reliquet et Bernard Guennebaud mettent en garde sur les erreurs à ne pas commettre.
En fait, pas d’affolement contrairement au titre qui pourrait le laisser penser, c’est seulement s’ils décidaient de vacciner larga manu les sujets contacts avec le vaccin antivariolique humain (inefficace sur la variole du singe). Ils vous expliquent les erreurs à éviter et vous conseillent d’avertir vos amis espagnols.
« Résumé : Bill Gates l’a promis depuis des mois, quelqu’un l’a peut-être fait, voilà que le virus MKP de la variole du singe, version ouest-africain, est apparu concomitamment dans de nombreux pays européens dont la France, les USA, le Canada et ailleurs, touchant particulièrement une population d’homosexuels masculins ce qui n’est à ce jour expliqué par personne.
Comment des sujets qui n’ont pas voyagé peuvent avoir contracté cette maladie spécifiquement nigériane, extrêmement peu contagieuse et sur tous les continents en même temps ? Un gain de fonction bricolé en laboratoire hissera-t-il ce virus au-dessus de ses 2 % de mortalité habituelle ce qui le rendrait cent fois plus mortel que CoV-2 et corroborerait les prédictions de Gates ?
Ce qui est sûr, c’est que l’exploitation médiatique à visée de propagande thérapeutique a déjà commencé et que surtout, horreur de toutes les horreurs, les épidémiologistes les plus nuls du monde (ou les plus corrompus, mais ce sont souvent les mêmes) nous préparent une vaccination dangereuse, celle des sujets déjà mis en contact avec les malades.
Tout est démontré depuis le XIXe siècle, cette vaccination, si elle est mise en œuvre, tuera… Vincent Reliquet et Bernard Guennebaud coopèrent ici pour un éclairage urgent. Prévenez vos amis Espagnols, une nouvelle folie commence, probablement orchestrée depuis mars 2021 et vous verrez comment. »
LA PEUR BAISSAIT. IL FAUT LA RAVIVER, MAIS LES PEUPLES SERONT MOINS DUPES (espoir…)
La variole humaine est éradiquée depuis les années 80, mais il existe des souches dans un labo US et un russe à ce que l’on sait. Quid des labos secrets, par exemple ceux d’Ukraine ?
Il existe d’autres poxvirus comme celui du chameau ou celui du singe, le monkeypox.
Ces virus peuvent, le cas échéant, contaminer des humains comme cela s’était produit à plusieurs reprises depuis 1980.
Selon Nice-Matin, l’Espagne envisagerait de vacciner les contacts avec le vaccin utilisé contre la variole humaine (citée par AIMSIB). Et c’est là que le bât blesse et inquiète nos collègues qui ont travaillé cette histoire de la médecine depuis des années.
« Aucun vaccin n’a pour le moment été approuvé en Europe, mais face à la montée des cas de variole du singe sur le territoire espagnol, le ministère de la Santé a décidé de commander des milliers de doses de vaccin contre la variole classique. Le vaccin devrait être injecté aux personnes cas contacts. »
« Vacciner les sujets-contacts de la variole, la mauvaise idée de toujours
Cette vaccination des contacts fut utilisée de façon de plus en plus systématique et contraignante au cours de la campagne d’éradication de la variole humaine.
Il n’y a guère de doutes à avoir aujourd’hui pour pouvoir attribuer à cette vaccination des contacts les flambées épidémiques qui suivaient ces vaccinations et qui furent qualifiées “d’explosives et d’inattendues” par l’OMS.
Mais comme cette vaccination des contacts était pratiquée conjointement à l’isolement (mise en quarantaine le plus souvent) des malades et des contacts, la transmission du virus fut interrompue et ce succès fut largement attribué à tort à cette vaccination des contacts.
Cette mesure, qui aggravait la maladie et amplifiait les épidémies, fut ainsi introduite dans les plans variole des États et même rendue obligatoire en France pour les contacts de haut niveau par un décret de février 2003. » (…)
L’éradication de la variole fut une aventure dont l’issue favorable ne fut obtenue que de justesse. Il y avait beaucoup d’obstacles sur le terrain pour pouvoir appliquer partout où la variole était présente, l’isolement des cas qu’il fallait d’abord découvrir puis celui de leurs contacts.
Le succès de ces interventions, rendues parfois périlleuses par un réseau précaire de communications, fut malheureusement compromis par la vaccination de plus en plus systématique des contacts en raison de ce que j’ai proposé d’appeler les effets Buchwald :
Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).– Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole), la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement, cet effet se manifestera par une amplification des épidémies. » et aggravera la maladie par une amplification des épidémies.
Suit une longue démonstration sur les errements officiels et les rapports cachés sur l’éradication de la variole humaine dans laquelle B. Guennebaud grand spécialiste et historien du sujet tente de démontrer le rôle aggravant de la vaccination des cas contacts et le flou des données accessibles, ce qui après l’expérience du covid n’étonnera personne et encore moins les dossiers classés « secret défense ».
« L’irruption de cas de variole du singe frappant concomitamment une population plutôt homosexuelle masculine à la fois en France, au Royaume-Uni, au Portugal, en Espagne, en Suède, aux USA et au Canada [3], chez des sujets qui n’ont aucunement voyagé en Afrique de manière récente, laisse pantois. Il apparaît évidemment comme hautement improbable que cette dissémination soit le fait du hasard d’autant plus qu’une simulation de mars 2021 nous en donnait déjà une glaçante prédiction ».[4]
Il est trop tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage de « l’épidémie » collant absolument à la réalité actuellement vécue en Europe est un peu tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage.
On rappelle que Bill Gates est devenu le maître incontesté de toutes les décisions de l’OMS, car il en a pris le contrôle en même temps que toutes les décisions sanitaires des pays membres, en mars 2020 [5]. Cette simulation a eu lieu au plus haut niveau comme en atteste la liste des membres présents (voir l’article de l’AIMSIB), faut-il s’étonner ou pas d’y retrouver un salarié de la Bill et Melinda Gates Fundation, Chris Elias, ainsi d’ailleurs qu’un membre du board de chez Merck ?
Qu’en est-il dans la réalité ? Ce virus de la variole du singe est-il augmenté pour résister à la vaccination existante, comme dans la simulation du MSC ou s’agit-il d’un largage de virus sauvage non modifié ? (Dans des valises oubliées dans des aéroports comme nous le prédisait le sulfureux Bill Gates, informaticien qui se voudrait grand chef de la médecine mondiale !)
@Noiregoutte 19 mai :
Quoi qu’il en soit, nos Satan modernes ne font pas nécessairement ce qu’ils veulent et la prise de conscience des peuples sur la manipulation que nous subissons depuis plusieurs décennies et singulièrement depuis deux ans et demi, est une donnée non prise en compte par nos pseudo-tout-puissants.
Restons calmes pour ne pas dire zen.
Ne cédons pas à la peur que nos élites et médias souhaiteraient utiliser pour remplacer la peur du covid et de la guerre en Ukraine qui s’effritent.
MAIS ATTENTION AUX FAKE ET AUX DÉSIRS DE DAVOS :
« les médias mensongers vont-ils relater ses propos ? Klaus Schwab aux participants du Forum de Davos pour le WEF : “L’avenir est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle”. »
Eh bien non MONSIEUR, IL EXISTE AUSSI LES PEUPLES ET SURTOUT LES PEUPLES.
« Alors qu’il existe des symptômes proches entre les deux maladies, un premier cas suspect de variole du singe avait été détecté chez un touriste anglais en Grèce. La varicelle lui a finalement été détectée par suite de deux examens successifs ».[6]
« Maintenant que vous savez comment ça marche, on crée la peur et on impose un vaccin jamais validé, expérimental, dont on ne connaît pas le contenu, et que la compagnie va jusqu’à payer université, hôpitaux et médecins pour vous extorquer un consentement non éclairé, tout en ne payant pas les dommages et décès de vos proches… Vous savez cette fois, ce sera plus facile de choisir de dire “non”…
Le monkeypox a une létalité faible de 2 à 3 %. Rien à voir avec celle de la variole humaine qui dépasse 30 %.sauf s’ils y ont introduit des gènes pour gain de fonction.
Bizarre, Bill Gates avait annoncé qu’il y allait avoir une épidémie d’un virus dérivé de la variole et a investi sur un nouveau vaccin. Il est fort !
Bizarre que ça touche surtout les homosexuels masculins. Dans le communiqué DGS, il est dit que ça atteint surtout les homosexuels masculins et que la transmission se fait surtout par voie respiratoire. Il y a quelque chose qui m’échappe.C’est aussi très bizarre que les cas arrivent simultanément dans plusieurs pays éloignés. Il y a peu de chance pour une extension rapide et large, car les personnes symptomatiques sont couvertes de grosses vésicules, y compris sur le visage et se repèrent donc de loin. Ces malades ont de la fièvre et une grande fatigue. Ils ne sont pas en état de courir partout dans les transports ou au travail. Facile de les isoler (sauf si on leur dit de rentrer chez eux pour contaminer tout le monde). Le monkeypox est peu transmissible d’homme à homme. Il faut un contact étroit et prolongé.Ça semble impossible qu’il y ait émergence spontanée, en quelques jours, de cas isolés au Canada, aux USA et dans plusieurs pays d’Europe. Surtout que les malades n’avaient pas voyagé avant. La ficelle est trop grosse ! »
N’oublions pas que pour la variole du singe : les plus de 45 ans sont immunisés à 85 % par leur vaccination antivariolique des premiers jours. Ils ne pourront pas nous faire le coup de protéger les vieux !!!
Attention aux manipulations, même des archives : UK : ils sont en train de retirer des sites officiels les cas de variole du singe apparus en 2018, 2019, 2020… etc.
Au moment même des annonces, ils modifiaient déjà les sites qui parlaient de cette maladie. Tous ont été modifiés en mai 2022. Le 1er truc, de 1 % de mortalité, ils sont passés de 1 à 10 %, bientôt le « 1 % » va disparaître. Il faut chercher dans les livres d’avant 2000….
9:01 AM · 23 mai 2022· https://t.me/unis_vers/14457 :
Et révisons le diagnostic de varicelle, ça peut servir !
« La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques #cnews #BFM #LCI »
SANS OUBLIER LES FAKE NEWS : MERCI AUX TWITTOS à Jeanne d’Arc la bien nommée ! Allez faites tourner les fakes news sur la variole ! Regardez comme ils nous enfument ces enfoirés, articles à l’appui ! #FakeNews #VarioleDuSinge
Le Dr Robert Malone explique qui finance réellement ces programmes : « C’est quoi la variole du singe ? »
« … Ils ont déjà stocké des vaccins contre la variole. Ce qu’ils ont acheté, c’est plus de vaccins contre la variole… Le nom du produit s’appelle JYNNEOS… Il est commercialisé par Bavarian Nordic et tout ce que vous avez à faire, c’est de chercher la notice du produit JYNNEOS et vous trouverez la notice du produit et vous découvrirez que ce n’est absolument pas un produit bénin, tout comme l’ancien produit Dr. X, qui est un peu plus sûr que ce que j’ai connu avec ce produit lorsque je travaillais pour le DOD. Ce produit a comme l’un des principaux effets indésirables graves et rares. Attendez un peu, myocardite cardiotoxique. »
Nicole Delépine[1] Principaux repères sur l’orthopoxvirose simienne (who.int) []
Source : ns2017
« La France n’est plus ce qu’elle était, j’ai les larmes aux yeux. » (1)
(22/05/2022) Mohamed El Bachir
Quelles que soient les raisons qui ont poussé la Russie à …
Avis à ma dizaine de lecteurs fidèles! Beaucoup des arguments inscrits ici ont déjà été formulés dans des articles précédents. Cependant, il est important d’investiguer le cas de Mathieu Nadeau-Vallée et je désirais partager avec vous cette lettre, afin de …
Dites au revoir au SRAS-CoV-2, dites bonjour à l’agent pathogène de la variole du singe.
Communiqué de Tous unis pour nos enfants L’avenir de vos enfants vous préoccupe ? Si vous, parents, vous sentez prêts à relever le défi de leur offrir un monde plus serein, alors venez participer à la journée du samedi 28 mai « Nos Enfants, quel A-Venir? », près de chez vous. Participons en famille à cette journée, pendant laquelle […]
L’article Samedi 28 mai participez à « Nos Enfants, quel A-Venir? » avec le collectif “Tous unis pour nos enfants” est apparu en premier sur BonSens.org.
Plusieurs villes françaises ont commencé à distribuer des bons alimentaires à la population, pour compenser la hausse des prix, a rapporté lundi la chaîne de télévision France 2.
Le récit occidental, selon lequel la Russie est confrontée à une défaite face à l'armée ukrainienne, s'effondre. Le récit artificiel selon lequel l'Ukraine était en train de "gagner" a rendu Kiev délirant, ce qui a à son tour créé les conditions pour que Washington et Londres prolongent la guerre et y entrent progressivement indirectement et la transforment en une guerre d'usure contre la Russie.
Mais la réalité impérieuse est que les forces russes prennent progressivement le dessus dans la bataille du Donbass. Le porte-parole du ministère ukrainien de la Défense, a déclaré mardi, que "la phase la plus active" de l'opération spéciale russe a commencé dans le Donbass. Sur le plan militaire, les forces russes sont confrontées à la lourde tâche de prendre le contrôle des zones les plus fortifiées d'Ukraine, qui se sont préparées soigneusement à cette bataille pendant sept ans. Mais après leur victoire triomphale à Marioupol, les forces russes ont le vent en poupe.
Au cours des trois derniers mois, la priorité absolue de la Russie a été d'établir un corridor terrestre vers la Crimée et de mettre en place les fondements économiques du développement de la région. Cet objectif est rempli. C'est de ce point de vue qu'il faut comprendre les opérations en cours dans le Donbass. L'Ukraine et ses alliés occidentaux nourrissent l'espoir que les sanctions finiront par épuiser le potentiel militaire et économique de la Russie.
Mais nous sommes dans le monde réel. Selon les estimations de la Banque mondiale, l'économie ukrainienne pourrait se contracter de 45 % d'ici la fin de 2022. Les discussions sur une contre-offensive ukrainienne majeure, plus tard cette année, renforcée par l'armement lourd des alliés occidentaux, resteront une chimère. Kiev n'aura peut-être même plus suffisamment de main-d'œuvre pour mener une guerre d'ici la fin de l'année. La Russie est un ennemi redoutable et Kiev risque peut-être une reddition abjecte dans des conditions humiliantes, après la bataille du Donbass.
Les forces russes sont maintenant sur le point d'établir le contrôle total de la région de Lougansk, dans le Donbass. Le gouverneur ukrainien de la région orientale a reconnu mardi que « les Russes avancent dans toutes les directions en même temps ; ils ont amené un nombre insensé de combattants et d'équipements. La situation s'annonce de plus en plus précaire pour les forces ukrainiennes. (Écoutez le podcast Les champs de bataille du Donbass et au-delà , War on the Rocks)
Les principaux objectifs sont Popasnaya et Severodonetsk dans le Donbass et la ville d'Izyum, juste au nord dans la région de Kharkiv. Popasnaya et Izyum sont déjà sous contrôle russe, alors que les troupes russes sont entrées hier à Severodonetsk.
Les forces russes étendent actuellement leur zone de contrôle autour de Popasnaya, au nord, à l'ouest et au sud ; ils se sont approchés de la périphérie de la ville de Severodonetsk ; et ont repris leur avance à l'ouest et au sud d'Izyum.
Les derniers rapports indiquent que des groupes d'assaut de Popasnaya se dirigent vers l'ouest, en direction de Bakhmut, qui est une plaque tournante stratégique pour Kiev pour reconstituer ses forces dans la région orientale. L'autoroute entre Bakhmut et Lisichansk est à portée de tir des forces russes et l'approvisionnement militaire du groupe ukrainien à Severodonetsk et Lisichansk est devenu problématique.
Quant à Izyum, dans la région de Liman au sud (ouest de Severodonetsk), les forces russes ont encerclé les forces ukrainiennes. Les forces russes sont entrées hier dans la ville de Severodonetsk et des combats de rue sont en cours.
Severodonetsk est un atout hautement stratégique pour les deux parties. On estime que 15 à 16.000 militaires ukrainiens y sont déployés, qui ont été renforcés. Si les forces russes réussissent à piéger et à détruire les forces ukrainiennes entre Severodonetsk et Lysychansk, la capacité de Kiev à contester la région orientale du Donbass sera sérieusement affaiblie.
Lundi, les forces russes ont réussi à détruire tous les ponts sauf un vers Severodonetsk, menaçant de couper la ville de tout ravitaillement et renforts. Une retraite et un regroupement des forces ukrainiennes semblent trop tard. Le tableau d'ensemble est plutôt sombre. Le magazine National Interest a évalué l'évolution de la situation comme suit :
« La bataille à venir pourrait s'avérer décisive pour le déroulement de la campagne du Kremlin dans le Donbass. Le contrôle russe sur la région orientale du Donbass couperait l'Ukraine des zones comprenant son cœur industriel et remplirait l'objectif stratégique clé du Kremlin, d'établir un pont terrestre sécurisé vers la Crimée.
« Si l'armée russe réussit à piéger et à détruire les forces ukrainiennes entre Severodonetsk et Lysychansk, elle dégradera considérablement la capacité de l'Ukraine à contester la région orientale du Donbass. On ne sait pas si les unités militaires ukrainiennes dans le saillant de Severodonetsk envisagent de se retirer plus à l'ouest, afin d'éviter un éventuel enveloppement russe.
La prochaine grande cible dans le viseur russe est Sloviansk. La contrôler permettrait aux forces russes de pousser vers l'ouest et de rejoindre les forces poussant au sud-est d'Izyum. L'objectif est de contrôler les lignes d'approvisionnement par la route et de bloquer l'accès ukrainien aux voies ferrées de l'ouest. Dix brigades ukrainiennes ont été déployées à l'est lorsque la guerre a commencé en février, qui étaient considérées comme les soldats les mieux équipés et les mieux entraînés dont dispose Kiev.
En effet, la chute de Marioupol aux mains de l'armée russe représente un tournant. La Russie dispose désormais d'un corridor terrestre vers la Crimée et a mis fin au blocus de l'eau et de l'électricité en Crimée. Le canal d'eau douce reliant le fleuve Dniepr à la péninsule aride de Crimée est désormais entre les mains de la Russie. Il en va de même pour une centrale nucléaire au nord de la péninsule, sans parler du réseau électrique du sud-est de l'Ukraine, qui peut désormais être connecté à la Russie. Ce sont des gains stratégiques pour la Russie.
Au-delà du Donbass et de la Crimée, la Russie pourrait aussi avoir d'autres objectifs dans la région sud. Il y a eu des demandes - au niveau local jusqu'à présent - pour la fusion des régions méridionales de Zaporizhzhia, Kherson et Mykolaïv avec la Crimée (Russie), qui compte une importante population russe. Un certain degré d' intégration de cette région avec la Russie semble avoir commencé.
Dans la région de Kherson, le rouble russe a été introduit; Le russe, avec l'ukrainien, deviendra une langue d'État et deviendra la langue principale pour le travail de bureau, la communication et toutes les questions d'importance nationale ; l'enseignement dans les écoles et les universités se fera en russe. Les autorités de la région de Kherson ont exprimé la demande d'établissement d'une base militaire russe dans la région.
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolai Patrushev, a déclaré dans une interview publiée mardi que le gouvernement russe "ne court pas après les délais". En effet, les estimations occidentales semblent également anticiper les futures opérations russes dans les régions du sud. Il y a des pointeurs. Le 23 mai, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a annoncé que le Danemark fournirait à l'Ukraine un lanceur anti-navire Harpoon moderne et des missiles pour protéger ses côtes. Le 24 mai, la Hongrie a annoncé l'urgence nationale pour prendre des mesures immédiates afin de pouvoir protéger le pays contre les menaces émanant de la guerre en Ukraine. Au cours du week-end dernier, Moscou a publiquement exprimé son inquiétude face à une déclaration britannique sur la possibilité de fournitures d'armes de l'OTAN à la Moldavie.
"Crève et fais pas chier"
C'est comme ça que certains actionnaires de @TotalEnergies se sont adressés aux activistes du mouvement climat qui protestaient contre le modèle destructeur déployé par la multinationale. Soutien à elles et eux
#BlocageTotal pic.twitter.com/EDunbeQ863
— Greenpeace France (@greenpeacefr) May 25, 2022
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ALERTE INFO – Le parquet de #Paris n'ouvre pas d'enquête "en l'état" sur les accusations de viol visant le ministre des Solidarités Damien Abad, faute "d'élément permettant d'identifier la victime". (BFMTV) #DamienAbad
— Mediavenir (@Mediavenir) May 25, 2022
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Un mandat du FBI révèle un complot d'assassinat de Bush – Ted Cruz, indigné, exige que l'on "sécurise la frontière MAINTENANT" https://t.co/JmIVyk9Vzk
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 25, 2022
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"La civilisation pourrait ne pas survivre" – George Soros dit à Davos de "Vaincre Poutine (et Xi), sinon …" https://t.co/9ccjA3Rxl3
— Aube Digitale (@AubeDigitale) May 25, 2022
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"Cela va devenir vraiment horrible" : Les factures de gaz et d'électricité en Europe pourraient atteindre 4,5 % du revenu disponible en 2023 https://t.co/0R4INZbWto
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Le gouvernement britannique veut limiter l'organisation de manifestations en ligne et introduire des moniteurs à cheville pour les manifestants perturbateurs https://t.co/jUCYQ9Otj4
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 25, 2022
…
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DAVOS : Soros dit que l'Ukraine pourrait être le début de la Troisième Guerre mondiale https://t.co/ItYKK14rqv
— Anguille Sous Roche (@AnguilleSR) May 25, 2022
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Revue de presse :
Le risque de décès des enfants augmente entre 8100% et 30 200% après la vaccination Contre le Covid-19 par rapport aux enfants non vaccinés selon les données officielles de l’ONS https://t.co/7LmvKFmoDr— CourrierDesStratèges (@CStrateges) May 25, 2022
…
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GATES et SOROS vont pouvoir diversifier les activités de l'entreprise de tests COVID MOLOGIC qu'ils ont racheté en 2021 en GB!https://t.co/ZB93OTU3lw
— Véronique Hontang Preuilh (@VHPREUI) May 25, 2022
…
L’article L’OMS recommande des tests PCR pour dépister la variole du singe… GATES et SOROS vont pouvoir diversifier les activités de l’entreprise de tests COVID MOLOGIC qu’ils ont racheté en 2021… est apparu en premier sur PLANETES360.
Le traité de l'OMS induit la création d'un identifiant, un QR code numérique mondial. Le contrat a été passé par l'OMS à T-Systems, filiale de Deutsche Telekom.
Voici la preuve qu'ils veulent nous surveiller comme du bétail. pic.twitter.com/EROZIc2sOU
— Philippe Murer
(@PhilippeMurer) May 25, 2022
…
L’article ALERTE ! Nous allons être surveillé comme du bétail ! Le QR CODE Numérique Mondial arrive via l’OMS… est apparu en premier sur PLANETES360.
Pour le médecin urgentiste Gérald Kierzek : « Il faut réintégrer les soignants non-vaccinés » https://t.co/sfkhaeEMYw
— Marcel D. (@DubreuilhMarcel) May 25, 2022
…
L’article Pour le médecin urgentiste Gérald Kierzek : « Il faut réintégrer les soignants non-vaccinés » est apparu en premier sur PLANETES360.
À l'issue de la seconde guerre mondiale, et après Hiroshima, le monde a pris conscience du danger de la guerre après que le progrès scientifique et technique a donné aux hommes les moyens de mettre un terme à l'humanité. Il fut décidé alors que la conquête
- Tribune LibreComment les banquiers internationaux ont pris le contrôle des États-Unis.
L’histoire du terrorisme financier. Un documentaire de Bill Still, un investigateur historique indépendant. Publié en 1996, ce film raconte comment s’est opéré, sur environ 2 siècles, le détournement du système monétaire et bancaire états-unien et mondial. Il explique plusieurs conflits au cours de ces deux siècles dont les deux guerres mondiales, il explique l’origine des fameuses « crises boursières » et bien d’autres exactions.
Est-ce-que l’esclavage par la dette existe réellement ? Si oui, est-il inévitable ? Où est passé l’or que l’humanité extrait du sol depuis des millénaires ? Les États-Unis ont-ils eu des présidents honorables ? Qu’est-ce-que les banques centrales ? Qu’est-ce qu’une crise boursière ? D’où viennent les billets de banque ?
Ce docu répond à ces questions et bien d’autres ! Si vous aimez, partagez !
Il est possible que j’ai utilisé le terme « monnaie » là où il aurait fallu utiliser le terme « devise » et inversement.
House Banking & Currency Committee : Commission/Comité au système bancaire et aux devises.
J’ai préféré traduire « Central bankers » par « central-banquiers » car « banquier central » passe peut-être un peu trop inaperçu.
Déclaration de Andrew Jackson : pour plus d’info, lire la déclaration de Andrew Jackson trouvable ici : http://avalon.law.yale.edu/19th_centu…
Dans la phrase qui précède cette citation, il dit que le « market price of the stock », c’est à dire la valeur boursière de la banque, va augmenter de 30% si la loi passe, et que la banque, grâce à la loi s’assure un versement annuel de 200 000 $ payé par des impôts, cette somme rackettée servait à refléter le fantasme des banquiers d’augmenter la « valeur » de leur fortune bien mal acquise de 30%.
• Colonel Edward Mandel House « colonel » était un surnom, il n’avait aucune expérience militaire.
• Ernest Sad, apparemment ce n’est pas la bonne orthographe mais je n’ai pas trouvé la bonne.
• McKinley a aussi été assassiné en 1901 : coup de feu dans le ventre qui a tourné en gangrène.
• « Broker call loan » : En général des prêts de petites sommes qui ont la particularité de devoir être remboursées quand le banquier le décide. Il prévient quelques heures en avance et veut son pognon, avec des intérêts préalablement discutés.
• Non, ces milliards n’ont certainement pas été « donnés », ils ont été prêtés à très fort taux d’intérêt, plus de 20%. Je pense avoir lu quelque chose là-dessus chez Hervé Ryssen.
• « Commercial real estate » : Littéralement valeur commerciale immobilière. C’est la somme monétaire à laquelle on parviendrait si on comptait tous les bâtiments, tous les logements, toutes les constructions d’un pays, si on voulait le vendre à quelqu’un. Christine la banquière, par exemple…
source : YouTube/BobbyEarl
envoyé par Thémistoclès
L’article Les maitres des monnaies est apparu en premier sur PLANETES360.
La scène de violence, en pleine rue, a particulièrement choqué les riverains. Mardi aux alentours de 16 heures, une altercation a éclaté entre plusieurs individus, rue de Bègles à Bordeaux, dans le quartier de la gare Saint-Jean, quand un des protagonistes a soudainement ouvert le feu.
Selon Sud Ouest, quatre coups de feu ont été tirés, et deux hommes de 20 et 32 ans ont été légèrement blessés. Le tireur a pris la fuite. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’altercation entre ces individus aurait éclaté devant un squat situé au 146, rue de Bègles, après que le suspect a retrouvé les pneus de son véhicule crevés. Une enquête a été ouverte par l’unité d’atteintes aux personnes (UAP) de la Sûreté départementale.
L’article Bordeaux : un individu ouvre le feu en pleine rue et blesse deux personnes avant de prendre la fuite est apparu en premier sur PLANETES360.
Mortalité massive: près de 180 000 sont morts dans les 60 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 – le bureau des statistiques en Angleterre fait un aveu stupéfiant https://t.co/pw9gXvg6C4 via @cogiitocom
— Richard Krieger (@Krieger66362259) May 25, 2022
…
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Trafic d'héroïne et d'armes à Canteleu (76) : proche de Fabius, la maire socialiste de la ville, Mélanie Boulanger, accusée d'informer et aider les dealers, un véhicule de son adjoint utilisé pour le trafic (MàJ) – https://t.co/DIpzsfvf05 pic.twitter.com/wdhz4XitRr
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) May 25, 2022
…
L’article Trafic d’héroïne et d’armes à Canteleu (76) : proche de Fabius, la maire socialiste de la ville, Mélanie Boulanger, accusée d’informer et aider les dealers, un véhicule de son adjoint utilisé pour le trafic est apparu en premier sur PLANETES360.
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"COVID a été l'un des produits les plus rentables de tous les temps… toutes les 30 heures, un nouveau milliardaire a été créé pendant la pandémie"dit-elle à la foule de Davos. Dans un panel aux côtés du PDG de Moderna. https://t.co/lnFgwfkzgI
— @Kliment Levi (@LevyLoiseau) May 24, 2022
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Raphaël Valentin se trouve actuellement piégé par le confinement le plus strict au monde à Shanghaï. Il témoigne au micro de Ligne Droite.
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Le sénateur démocrate Chris Murphy s’est exprimé devant le Sénat, après la fusillade dans une école primaire du Texas qui a fait 21 morts dont 19 enfants âgés de 7 à 10 ans. Il a supplié ses collègues de «trouver un moyen d’avancer» et a assuré que ces tragédies n’étaient pas «inévitables»
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Notre partenaire François Bousquet revient sur la nomination de l’actuel et non moins polémique du ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye.
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Mc Kinsey : Macron pris au piège !
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Jean-Baptiste Djebbari, ex-ministre des transports a soutenu le secteur de l’hydrogène pendant qu’il était en poste, puis a promu une entreprise de voitures de luxe à hydrogène dans le cadre de l’exercice de ses fonctions, avant que l’on apprenne à quelques jours de la fin de son mandat qu’il rejoignait ladite société en tant qu’administrateur.
Ces pratiques dites de « pantouflage » sont de plus en plus courantes, et si elles sont légales la plupart du temps, elles posent la question plus large de la porosité entre les responsabilités publiques et le secteur privé : comment déterminer si les responsables politiques et les hauts fonctionnaires servent l’intérêt collectif ? Pour certains journalistes spécialisés comme Vincent Jauvert, le cadre législatif n’est pas à la hauteur, et permet la mise en place d’une « mafia d’État ».
Nota Bene : Après le tournage de cette vidéo, nous avons appris le mardi 24 mai 2022 que Jean-Baptiste Djebbari avait été recalé par La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP)sur autre un projet de reconversion chez l’armateur CMA CGM. Il voulait devenir vice-président exécutif chargé du pôle spatial que l’armateur envisage de créer.
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Par Moon of Alabama – Le 24 mai 2022
Le Pentagone fait le compte rendu de ses efforts pour vendre de nouvelles armes américaines aux nations qui se débarrassent de leurs anciennes armes en Ukraine.
Pour exprimer la gravité de la situation en Ukraine, le Pentagone a décidé de hisser à l’envers le drapeau bleu en haut-jaune en bas de l’Ukraine.
Accrocher un drapeau à l’envers est soit un signe de grande détresse soit d’ignorance culturelle. Étant donné qu’il s’agit d’un événement géré par le Pentagone, la dernière hypothèse est la plus probable.
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Les cinglés des pays baltes ont une autre idée géniale et bien sûr complètement irréalisable.
Le Royaume-Uni soutient le plan de la Lituanie pour lever le blocus russe des céréales en Ukraine
La Grande-Bretagne a soutenu en principe une proposition de la Lituanie visant à créer une coalition navale « de bonne volonté » pour lever le blocus russe de la mer Noire empêchant les exportations de céréales ukrainiennes.
Le ministre lituanien des affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis, a proposé ce plan lors d’entretiens avec la ministre britannique des affaires étrangères, Liz Truss, lundi à Londres.
« Le temps est très très court. Nous nous rapprochons d’une nouvelle récolte et il n’y a pas d’autre moyen pratique d’exporter les céréales que de passer par le port d’Odessa sur la mer Noire », a-t-il déclaré au Guardian. « Il n’y a aucun moyen de stocker ces céréales et aucune autre route alternative adéquate. Il est impératif que nous montrions aux pays vulnérables que nous sommes prêts à prendre les mesures nécessaires pour nourrir le monde. »
Landsbergis a proposé qu’une opération d’escorte navale, non gérée par l’OTAN, puisse protéger les navires céréaliers lorsqu’ils traversent la mer Noire et passent devant les navires de guerre russes. Il a suggéré que, outre la Grande-Bretagne, les pays touchés par la perte potentielle de céréales, comme l’Égypte, pourraient fournir la protection nécessaire. …
Il a déclaré que l’Ukraine devait exporter 80 millions de tonnes de blé rien que cette année et que la seule option était de passer par Odessa.
Laissez-moi aider M. Landsbergis en lui rappelant quelques faits :
Pourtant, certains ignorants se laissent prendre au piège de Landsbergis :
Après avoir rencontré M. Landsbergis, Mme Truss a déclaré que le Royaume-Uni souhaitait que des navires de la marine britannique se joignent à l’escorte si les aspects pratiques pouvaient être réglés, notamment le déminage du port et la fourniture à l’Ukraine d’armes à plus longue portée pour défendre le port contre une attaque russe. Le Royaume-Uni est en pourparlers avec ses alliés au sujet de ce plan, qui nécessiterait probablement l’accord des États-Unis pour être activé.
Mme Truss a déclaré : « Le Royaume-Uni travaille à une solution urgente pour faire sortir les céréales d’Ukraine ».
L’Ukraine n’est que le cinquième plus grand exportateur de blé, avec une part de marché de quelque 8 %. La Russie, le premier exportateur mondial de blé, aura une récolte record cette année. La question de la sécurité alimentaire mondiale est donc une question de prix et d’accessibilité, et non de quantité disponible au niveau mondial.
Je trouve le point de vue de Liz Truss sur le fait de « fournir à l’Ukraine des armes à plus longue portée pour défendre le port » assez intéressant. L’Ukraine n’a-t-elle pas affirmé avoir frappé le navire russe Moskva avec deux missiles de croisière de fabrication ukrainienne ? Si elle l’a vraiment fait, elle dispose déjà d’armes à plus longue portée pour frapper les navires russes. Truss est-elle en train de divulguer que l’Ukraine a menti sur ces tirs de missiles ?
L’idée d’envoyer un convoi d’escorte armé et des armes à longue portée est tout simplement folle. Ce dont l’Ukraine aurait besoin, ce ne sont pas seulement des missiles, mais des données de ciblage et un radar permettant de les acquérir. Malheureusement, les radars émettent des ondes électromagnétiques, ce qui les rend détectables et vulnérables. La Russie a déjà mis hors service plusieurs radars à Odessa et dans ses environs. Quel est le plan de Truss pour éviter cela ?
Sans parlez des sous-marins russes qui sont tout à fait suffisants pour couler dans la mer Noire tout ce que la Russie n’aime pas y trouver.
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Pendant ce temps, la guerre progresse en faveur de la Russie. Je n’ai pas le temps de montrer des cartes détaillées de ce qui se passe mais il y a deux chaînes Youtube raisonnables qui fournissent de bons rapports quotidiens basés sur des sources multiples. Il s’agit de Military Summary et Defense Politics Aaaaasia.
Dans le nord, Lyman est tombée et on rapporte que les troupes ukrainiennes se sont retirées après un court combat. À l’est, la ville de Severodonetsk, tenue par les Ukrainiens, est pratiquement isolée et fait l’objet d’une attaque féroce. Plusieurs autres villes autour du bourrelet de Popasna ont été prises par la partie russe. Au sud, la ville de Svetlodarsk est tombée après que les Ukrainiens ont tenté sans succès de détruire un barrage situé à proximité. Les troupes ukrainiennes ont battu en retraite sans combattre.
Au lieu de tenir les lignes par tous les moyens, les unités ukrainiennes semblent maintenant plus intéressées par la fuite. C’est plus sain pour elles et cela résout également leurs graves problèmes de ravitaillement. Comme d’autres lignes d’approvisionnement, la route Bakhmut-Lisichansk est maintenant sous le contrôle des tirs russes. Cette vidéo montre ce que cela signifie.
Ce que nous voyons maintenant, ce sont les effets de près de trois mois de guerre d’artillerie russe. Les troupes ukrainiennes de la ligne de front ont été écrasées et celles qui restent s’enfuient avant d’être détruites à leur tour. Le front commence à bouger en plusieurs points. Lorsque ces points se rejoindront, nous pourrions assister à la phase de bataille profonde tactique d’une opération profonde russe classique :
La bataille en profondeur envisage de briser les défenses avancées de l’ennemi, ou zones tactiques, par des assauts d’armes combinées, qui seraient suivis par des réserves opérationnelles mobiles fraîches et non engagées envoyées pour exploiter la profondeur stratégique d’un front ennemi. L’objectif d’une opération en profondeur est d’infliger une défaite stratégique décisive aux capacités logistiques de l’ennemi et de rendre la défense de son front plus difficile, impossible, voire inutile. Contrairement à la plupart des autres doctrines, la bataille en profondeur met l’accent sur la coopération interarmes à tous les niveaux : stratégique, opérationnel et tactique.
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C’est fou de voir qu’Henry Kissinger est le seul homme sain d’esprit dans la salle.
Henry Kissinger : L’Ukraine doit céder des territoires à la Russie
Henry Kissinger, homme d’État américain chevronné, a exhorté l’Occident à cesser d’essayer d’infliger une défaite cuisante aux forces russes en Ukraine, avertissant que cela aurait des conséquences désastreuses pour la stabilité à long terme de l’Europe.
L’ancien secrétaire d’État américain et architecte du rapprochement entre les États-Unis et la Chine pendant la guerre froide a déclaré lors d’une réunion à Davos qu’il serait fatal pour l’Occident de se laisser emporter par l’humeur du moment et d’oublier la place de la Russie dans l’équilibre des forces en Europe.
Kissinger a déclaré qu’il ne fallait pas laisser la guerre s’éterniser et il est à deux doigts de demander à l’Occident à faire pression sur l’Ukraine pour qu’elle accepte des négociations à des conditions très éloignées de ses objectifs de guerre actuels. …
Il a déclaré au Forum économique mondial que la Russie était une partie essentielle de l’Europe depuis 400 ans et qu’elle avait été le garant de la structure de l’équilibre des forces européennes à des moments critiques. Les dirigeants européens ne doivent pas perdre de vue la relation à long terme et ne doivent pas non plus risquer de pousser la Russie dans une alliance permanente avec la Chine.
Il est probablement trop tard pour inverser l’alliance entre la Russie et la Chine, mais je suis d’accord avec le reste.
Moon of Alabama
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.
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La protection du ponte prédateur sexuel d'Assur 2000 était chapeautée, selon le Parisien d'hier, par un ancien du GIGN nommé Christian G mais aucun rapport dieu merci. https://t.co/rF0DLQwx09
— Campagnol tvl (@TvlCampagnol) May 25, 2022